La baisse déjà observée en janvier 2012 se poursuit en février 2012 dans le secteur hôtelier français, selon les statistiques de Deloitte/In Extenso.
Et la chute de la fréquentation et des revenus semble s'être propagée aux catégories économique et super-économique. Surtout en province où les recettes sont en net recul dans plusieurs villes.
Les taux d'occupations (TO) des catégories Milieu de gamme et Grand Luxe sont ainsi inférieurs à 50 %, en région. Ce qui entraîne une chute du chiffre d'affaires de -7 % pour établissements haut de gamme. Une tendance un peu limité par la solidité du prix moyen des catégories économique et super-économique qui observent un recul moins prononcé du RevPAR.
Parmi les villes qui ont le plus souffert en février 2012, se trouvent Lyon, Nantes, Grenoble, Montpellier et Toulouse où la fréquentation a diminué de plus de 10 % par rapport à l'année précédente. En revanche, à Bordeaux, Angers et Avignon, le nombre de nuitées a progressé.
Dans ce contexte morose, Paris fait figure d'exception car la capitale n'enregistre aucune baisse de la demande sur l'ensemble des catégories d'hébergements.
Et la chute de la fréquentation et des revenus semble s'être propagée aux catégories économique et super-économique. Surtout en province où les recettes sont en net recul dans plusieurs villes.
Les taux d'occupations (TO) des catégories Milieu de gamme et Grand Luxe sont ainsi inférieurs à 50 %, en région. Ce qui entraîne une chute du chiffre d'affaires de -7 % pour établissements haut de gamme. Une tendance un peu limité par la solidité du prix moyen des catégories économique et super-économique qui observent un recul moins prononcé du RevPAR.
Parmi les villes qui ont le plus souffert en février 2012, se trouvent Lyon, Nantes, Grenoble, Montpellier et Toulouse où la fréquentation a diminué de plus de 10 % par rapport à l'année précédente. En revanche, à Bordeaux, Angers et Avignon, le nombre de nuitées a progressé.
Dans ce contexte morose, Paris fait figure d'exception car la capitale n'enregistre aucune baisse de la demande sur l'ensemble des catégories d'hébergements.