Le kangourou. C’est l’animal fétiche des Australiens.
On ne le trouve qu’ici, dans ce vaste pays continent, grand comme deux fois la France. Les touristes ne veulent pas repartir sans l’avoir vu gambader dans le bush.
Michael Seeliger, le directeur du tourisme international de l'Australie du Sud, a bien compris le potentiel de notoriété de cet animal et tente d’en tirer parti.
En effet, sa région abrite l’île des kangourous où évolue en toute liberté ce marsupial, mais aussi des koalas et cacatoès. « Vous pouvez aller à Sydney, mais vous n’en verrez qu’en cage » assure-t-il.
Un patrimoine naturel qui plaît aux Français, 6e marché européen émetteur, avec 13 800 visiteurs en 2010. Une fréquentation qui a augmenté de 16,9% en 2 ans. Les nuitées ont elles aussi explosé de 65%.
Des résultats très prometteurs pour le développement du tourisme dans une région au fort potentiel. Située au sud du pays, elle jouit d’un climat très doux, semblable à notre côte méditerranéenne.
On y produit d’ailleurs 70% des vins du pays. Les wineries de Clare Valley ou Barossa se trouvent à seulement quelques kilomètres de sa capitale Adélaïde.
L’Australie du Sud promet également des escapades dans une nature sauvage et préservée. Le fameux Bush Australien, appelé ici l’Outback se trouve à seulement trois heures de route de la capitale. Un immense désert aride, parsemé de lac aux couleurs ocre ; pour dormir à la belle étoile ou distribuer le courrier aux fermes les plus reculées !
On ne le trouve qu’ici, dans ce vaste pays continent, grand comme deux fois la France. Les touristes ne veulent pas repartir sans l’avoir vu gambader dans le bush.
Michael Seeliger, le directeur du tourisme international de l'Australie du Sud, a bien compris le potentiel de notoriété de cet animal et tente d’en tirer parti.
En effet, sa région abrite l’île des kangourous où évolue en toute liberté ce marsupial, mais aussi des koalas et cacatoès. « Vous pouvez aller à Sydney, mais vous n’en verrez qu’en cage » assure-t-il.
Un patrimoine naturel qui plaît aux Français, 6e marché européen émetteur, avec 13 800 visiteurs en 2010. Une fréquentation qui a augmenté de 16,9% en 2 ans. Les nuitées ont elles aussi explosé de 65%.
Des résultats très prometteurs pour le développement du tourisme dans une région au fort potentiel. Située au sud du pays, elle jouit d’un climat très doux, semblable à notre côte méditerranéenne.
On y produit d’ailleurs 70% des vins du pays. Les wineries de Clare Valley ou Barossa se trouvent à seulement quelques kilomètres de sa capitale Adélaïde.
L’Australie du Sud promet également des escapades dans une nature sauvage et préservée. Le fameux Bush Australien, appelé ici l’Outback se trouve à seulement trois heures de route de la capitale. Un immense désert aride, parsemé de lac aux couleurs ocre ; pour dormir à la belle étoile ou distribuer le courrier aux fermes les plus reculées !
Devenir incontournable
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La région est vendue par les principaux TO français, comme Asia, Voyageurs du Monde, Australie à la Carte et bien d’autres.
Mais elle reste souvent une option à caser dans un voyage qui ne dure en moyenne que 12 jours. Michael Seeliger souhaite que sa région devienne incontournable et fasse partie du package basique.
S’il avoue une petite compétition entre les différents bureaux des autres régions du pays, travaille tout de même avec l’OT nationale. C’est d’ailleurs une photo de l’île des kangourous qui a été utilisée dans la dernière campagne de pub, encore visible sur les murs du métro parisien.
Des partenariats sont également en cours avec certaines compagnies aériennes qui desservent la destination, comme Cathay ou Singapour Airlines. L’Australie du Sud est également desservie avec une escale par Qantas Airways, Air France, Malaysia Airlines et British Airways.
Le bureau tente également de convaincre les compagnies du golfe, comme Emirates, de desservir Adélaïde, afin de développer le tourisme européen.
Mais elle reste souvent une option à caser dans un voyage qui ne dure en moyenne que 12 jours. Michael Seeliger souhaite que sa région devienne incontournable et fasse partie du package basique.
S’il avoue une petite compétition entre les différents bureaux des autres régions du pays, travaille tout de même avec l’OT nationale. C’est d’ailleurs une photo de l’île des kangourous qui a été utilisée dans la dernière campagne de pub, encore visible sur les murs du métro parisien.
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![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
