Je reviens d'Egypte.
Et j'avoue avoir eu la tentation de comparer (audacieux, certes, mais…) la splendeur de cette civilisation il y a quelques 3000 ans et sa lente décadence, avec la splendeur de Fram et sa plus rapide chute !
Colson, Ramsès, même combat… Sauf que Ramsès a réussi à transmettre et faire durer son Empire.
Mais lui se voulait divinité suprême, tandis que Colson régnait sans vouloir écouter les voix des dieux.
On assiste en ce moment au résultat… Décidément, le monde est bien mal fait.
Si, au lieu de croire à son immortalité, Georges Colson avait eu l'habileté d'accepter la proposition formulée par Thomas Cook il y a un peu plus de cinq ans, (quelques dizaines de millions d'euros), il n'aurait aujourd'hui qu'à claquer des doigts et mettre royalement quelques euros symboliques pour récupérer cette entreprise !
Il aurait d'ailleurs été adulé… et pourrait songer à une retraite tranquille. Oui, la vie est mal faite… parfois !
Au lieu de cette sympathique hypothèse, chaque matin, quasiment, les collaborateurs de Fram attendent avec impatience et inquiétude, la parution des médias en espérant ne pas être trop vite détruits !
Psychologiquement, c'est aussi un cauchemar pour eux. Car, faut bien dire qu'ils ne sont pas ménagés par les annonces qui se succèdent à un rythme délirant. Un coup, ils sont rassurés par les chinois, le lendemain, c'est déjà foutu…
Certes, lorsque les "négociations" entre les différents repreneurs potentiels se sont déroulées, la confidentialité devait être préservée.
Et j'avoue avoir eu la tentation de comparer (audacieux, certes, mais…) la splendeur de cette civilisation il y a quelques 3000 ans et sa lente décadence, avec la splendeur de Fram et sa plus rapide chute !
Colson, Ramsès, même combat… Sauf que Ramsès a réussi à transmettre et faire durer son Empire.
Mais lui se voulait divinité suprême, tandis que Colson régnait sans vouloir écouter les voix des dieux.
On assiste en ce moment au résultat… Décidément, le monde est bien mal fait.
Si, au lieu de croire à son immortalité, Georges Colson avait eu l'habileté d'accepter la proposition formulée par Thomas Cook il y a un peu plus de cinq ans, (quelques dizaines de millions d'euros), il n'aurait aujourd'hui qu'à claquer des doigts et mettre royalement quelques euros symboliques pour récupérer cette entreprise !
Il aurait d'ailleurs été adulé… et pourrait songer à une retraite tranquille. Oui, la vie est mal faite… parfois !
Au lieu de cette sympathique hypothèse, chaque matin, quasiment, les collaborateurs de Fram attendent avec impatience et inquiétude, la parution des médias en espérant ne pas être trop vite détruits !
Psychologiquement, c'est aussi un cauchemar pour eux. Car, faut bien dire qu'ils ne sont pas ménagés par les annonces qui se succèdent à un rythme délirant. Un coup, ils sont rassurés par les chinois, le lendemain, c'est déjà foutu…
Certes, lorsque les "négociations" entre les différents repreneurs potentiels se sont déroulées, la confidentialité devait être préservée.
Pour notre part, mis au courant, nous avons respecté cette confidentialité avec les plus grands scrupules, conscient que la moindre parution pouvait tout faire capoter.
Car rien n'est franchement clair dans cette affaire.
Pourquoi les chinois du groupe HNA, si tant est que ce groupe se soit vraiment intéressé à cette reprise, comme le suggéraient respectivement mes confrères du Monde et des Echos, se sont "brutalement" retirés ?
Que diable ont-ils découvert dans ces audits "de dernière minute" ?
Je ne peux quand même pas croire que ces chinois, rompus aux affaires, aient pu faire une proposition sans avoir eu en main toutes les données de l'affaire.
Quant au groupe PromoVacances/Karavel, si tant est que leur candidature à la reprise soit maintenue, que veulent-ils réellement ?
Leur intérêt est-il dans la reprise de l'ensemble des activités du voyagiste ou seulement dans une partie des "appartements" de Fram ?
Que signifie également le "retrait" subit, paru sur Infogreffe le 20 Octobre dernier, de Marie-Christine Chaubet du Conseil de Surveillance de Fram ?
Et que signifie cette déclaration, pour le moins improbable, de la présidente de Selectour Afat (candidat associé aux chinois de HNA pour la reprise du TO), conseillant à ses adhérents (qui, eux aussi découvrent telle une série télévisée les différents épisodes de cette histoire) de conseiller à ses membres (pour les clients groupes) "une certaine forme de prudence" ?
Il est vrai que, pour le moment du moins et à l'heure où j'écris ces quelques lignes, comme le souligne la présidente du réseau, nous sommes (et je la cite) "à moyen terme, en l'absence d'informations sur le projet de reprise et la stratégie du repreneur potentiel" !
Encore faudrait-il qu'il existe véritablement un repreneur potentiel... car pour l'instant la "reprise" qui se profile ressemble plutôt à celle d'un rapiéçage !
Car rien n'est franchement clair dans cette affaire.
Pourquoi les chinois du groupe HNA, si tant est que ce groupe se soit vraiment intéressé à cette reprise, comme le suggéraient respectivement mes confrères du Monde et des Echos, se sont "brutalement" retirés ?
Que diable ont-ils découvert dans ces audits "de dernière minute" ?
Je ne peux quand même pas croire que ces chinois, rompus aux affaires, aient pu faire une proposition sans avoir eu en main toutes les données de l'affaire.
Quant au groupe PromoVacances/Karavel, si tant est que leur candidature à la reprise soit maintenue, que veulent-ils réellement ?
Leur intérêt est-il dans la reprise de l'ensemble des activités du voyagiste ou seulement dans une partie des "appartements" de Fram ?
Que signifie également le "retrait" subit, paru sur Infogreffe le 20 Octobre dernier, de Marie-Christine Chaubet du Conseil de Surveillance de Fram ?
Et que signifie cette déclaration, pour le moins improbable, de la présidente de Selectour Afat (candidat associé aux chinois de HNA pour la reprise du TO), conseillant à ses adhérents (qui, eux aussi découvrent telle une série télévisée les différents épisodes de cette histoire) de conseiller à ses membres (pour les clients groupes) "une certaine forme de prudence" ?
Il est vrai que, pour le moment du moins et à l'heure où j'écris ces quelques lignes, comme le souligne la présidente du réseau, nous sommes (et je la cite) "à moyen terme, en l'absence d'informations sur le projet de reprise et la stratégie du repreneur potentiel" !
Encore faudrait-il qu'il existe véritablement un repreneur potentiel... car pour l'instant la "reprise" qui se profile ressemble plutôt à celle d'un rapiéçage !
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