Raoul Nabet, Président de l'APST n'était pas présent à cette réunion la semaine dernière à Bercy. Et, c'est vrai, il était à l'Île Maurice, afin de rencontrer les patrons d'agences, membres du réseau Manor.
Il voulait expliquer à tous ces patrons, inquiets, les dispositions qu'entend prendre l’État afin que le consommateur soit encore plus protégé, et que, surtout, la France soit en conformité avec la « Loi » Européenne.
N'oublions pas que, dans tout ce grand bazar, c'est Bercy le chef. Nabet, comme il le dit lui-même, est « aux ordres ». « Bercy décide, j'exécute »
Nabet avait déjà pris la peine de se rendre au Congrès catastrophique de Sélectourie, dans la même optique, expliquer ! Et surtout faire comprendre que, si les cotisations augmentaient, ce qui est normal, le risque encouru restait le même et que, vraisemblablement, il n'y aurait pas de raisons d'augmenter les contre-garanties.
Et qu'il a fait la même chose devant les gens de Manor.
Pas chez ceux de Tourcomie... Mais faut peut-être pas exagérer, leur Président à vie, lui-même administrateur de l'APST ayant quand même fortement craché dans la soupe...
Il voulait expliquer à tous ces patrons, inquiets, les dispositions qu'entend prendre l’État afin que le consommateur soit encore plus protégé, et que, surtout, la France soit en conformité avec la « Loi » Européenne.
N'oublions pas que, dans tout ce grand bazar, c'est Bercy le chef. Nabet, comme il le dit lui-même, est « aux ordres ». « Bercy décide, j'exécute »
Nabet avait déjà pris la peine de se rendre au Congrès catastrophique de Sélectourie, dans la même optique, expliquer ! Et surtout faire comprendre que, si les cotisations augmentaient, ce qui est normal, le risque encouru restait le même et que, vraisemblablement, il n'y aurait pas de raisons d'augmenter les contre-garanties.
Et qu'il a fait la même chose devant les gens de Manor.
Pas chez ceux de Tourcomie... Mais faut peut-être pas exagérer, leur Président à vie, lui-même administrateur de l'APST ayant quand même fortement craché dans la soupe...
Je sais bien que, selon la morale chrétienne, quand on vous frappe sur une joue, il faut tendre l'autre, y'a des moments où point trop n'en faut.
Je m'attendais, lors de la prestation de Nabet, à ce que la salle réagisse, pose des questions qui fâchent. Après tout, dans les coulisses, chacun y allait de ses commentaires.
Rien. Un silence que les bons écrivains qualifient audacieusement (je rigole) de plomb.
Il paraît que, lors d'une prestation semblable au Congrès Selectour, c'était pareil. Pas une question, pas un commentaire.
Notons au passage, comme le rappelait Boris Reibenberg, dans un commentaire particulièrement mesuré (c'est quand même un concurrent direct de l'APST), qu'environ 60% des agences françaises ne sont pas éligibles à obtenir une garantie autre que celle de l'APST. Je salue d'ailleurs ici le « fair play ».
Personne d'ailleurs, ne s'est inquiété de savoir pourquoi le président de l'APST ne participait pas à la réunion à Bercy.
Et pour cause. D'abord, parce que l'APST avait délégué son Secrétaire Général, qui n'est quand même pas de la merde, ainsi que son vice-président, lequel n'est pas non plus une potiche.
Je m'attendais, lors de la prestation de Nabet, à ce que la salle réagisse, pose des questions qui fâchent. Après tout, dans les coulisses, chacun y allait de ses commentaires.
Rien. Un silence que les bons écrivains qualifient audacieusement (je rigole) de plomb.
Il paraît que, lors d'une prestation semblable au Congrès Selectour, c'était pareil. Pas une question, pas un commentaire.
Notons au passage, comme le rappelait Boris Reibenberg, dans un commentaire particulièrement mesuré (c'est quand même un concurrent direct de l'APST), qu'environ 60% des agences françaises ne sont pas éligibles à obtenir une garantie autre que celle de l'APST. Je salue d'ailleurs ici le « fair play ».
Personne d'ailleurs, ne s'est inquiété de savoir pourquoi le président de l'APST ne participait pas à la réunion à Bercy.
Et pour cause. D'abord, parce que l'APST avait délégué son Secrétaire Général, qui n'est quand même pas de la merde, ainsi que son vice-président, lequel n'est pas non plus une potiche.
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Et que nous ne sommes pas dans des organisations à la nord Corée : le travail est le fruit d'une réflexion collective et dûment entériné par des administrateurs qui votent en leur âme et conscience.
Même si certains, malgré leur vote, et sûrement par souci d'exister, retournent leur veste comme une crêpe pas fraîche et hurlent soudainement, tel le loup en folie.
A cela, j'ajouterais que l'objet de cette réunion Bercyçoise avait pour but de préparer la prochaine, celle du 18 décembre à venir.
Enfin, il est quand même intéressant de noter que, si les membres du Seto, inquiets eux aussi (et à juste titre) formulent des propositions concrètes, bien qu'à mon sens très compliquées, pour ne pas dire impossibles à mettre en œuvre, suivis d'ailleurs par le Snav, enfin conscient et réveillé, ils aimeraient bien disposer de l'aval de l'APST.
Laquelle, faut-il encore le rappeler, n'a pas, juridiquement, à faire des propositions à son patron, mais simplement à les exécuter.
Quel est ce président, grand amateur de bière, qui avait dit un jour : « Je dirige, il éxécute » ?
Y'a plus qu'à...
Même si certains, malgré leur vote, et sûrement par souci d'exister, retournent leur veste comme une crêpe pas fraîche et hurlent soudainement, tel le loup en folie.
A cela, j'ajouterais que l'objet de cette réunion Bercyçoise avait pour but de préparer la prochaine, celle du 18 décembre à venir.
Enfin, il est quand même intéressant de noter que, si les membres du Seto, inquiets eux aussi (et à juste titre) formulent des propositions concrètes, bien qu'à mon sens très compliquées, pour ne pas dire impossibles à mettre en œuvre, suivis d'ailleurs par le Snav, enfin conscient et réveillé, ils aimeraient bien disposer de l'aval de l'APST.
Laquelle, faut-il encore le rappeler, n'a pas, juridiquement, à faire des propositions à son patron, mais simplement à les exécuter.
Quel est ce président, grand amateur de bière, qui avait dit un jour : « Je dirige, il éxécute » ?
Y'a plus qu'à...