Pas de surprise pour l’appel d’offres à candidature concernant la gestion de la Délégation de Service Public du palais des Festivals à partir de janvier.
C’est la Semec qui est reconduite pour 10 ans, elle était l'unique candidat.
GL Events, groupe d’origine lyonnaise qui gère déjà Acropolis ou Comexposium ont déclaré forfait pour des raisons économiques.
La Semec n'a jamais dégagé plus de 500 000 euros de marge ces dernières années, pour un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros.
D’autre part le nouveau contrat fixe, pour la première fois un plafond de subventions limité à 27,5 % du chiffre d'affaires global (donc moins de 10 millions d'euros aujourd'hui).
C’est la Semec qui est reconduite pour 10 ans, elle était l'unique candidat.
GL Events, groupe d’origine lyonnaise qui gère déjà Acropolis ou Comexposium ont déclaré forfait pour des raisons économiques.
La Semec n'a jamais dégagé plus de 500 000 euros de marge ces dernières années, pour un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros.
D’autre part le nouveau contrat fixe, pour la première fois un plafond de subventions limité à 27,5 % du chiffre d'affaires global (donc moins de 10 millions d'euros aujourd'hui).
La Sémec devra étoffer son offre culturelle
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Outre la gestion du palais, la Semec doit gérer la politique touristique de la ville et sa promotion une responsabilité publique sans profitabilité pour laquelle en règle générale les opérateurs privés n’ont pas les compétences.
La Sémec devra étoffer son offre culturelle et événementielle (66 spectacles par an à ce jour) avec un accès tarifaire privilégié aux Cannois.
Le palais est actuellement en pleine rénovation. Si l’activité salons reprend et que l’extension souterraine s’avère nécessaire la ville pourrait relancer une DSP sur 40 ans pour permettre au futur exploitant l’amortissement des travaux (70 M€) mis à sa charge.
Dans cette hypothèse la Semec devra s’associer à un groupe investisseur si elle souhaite être à nouveau candidate. Mais ceci n’est qu’une hypothèse.
La Sémec devra étoffer son offre culturelle et événementielle (66 spectacles par an à ce jour) avec un accès tarifaire privilégié aux Cannois.
Le palais est actuellement en pleine rénovation. Si l’activité salons reprend et que l’extension souterraine s’avère nécessaire la ville pourrait relancer une DSP sur 40 ans pour permettre au futur exploitant l’amortissement des travaux (70 M€) mis à sa charge.
Dans cette hypothèse la Semec devra s’associer à un groupe investisseur si elle souhaite être à nouveau candidate. Mais ceci n’est qu’une hypothèse.