Marc Rochet patron de French Bee croit à la montée en puissance du low cost long-courrier - Photo Carlos Rodrigues
Parmi eux, Tim Clark, « Sir » Tim, emblématique patron d’Emirates.
La compagnie qui fait trembler les plus grands et qui, en quelques années, a réussi à remodeler le transport aérien mondial.
Sir Tim avait accepté, ce qui prouve quand même qu’APG et son Forum sont reconnus dans le monde entier, d’intervenir durant ces Rencontres.
L’homme qui ne parle jamais, je vous le dis franchement, m’a déçu. Certes, alors qu’Emirates va publier ses résultats dans quelques semaines, il était difficile de s’exprimer plus avant.
Néanmoins, j’attendais au moins un aperçu de la stratégie développée par Emirates face à ses concurrents et surtout son « approche » du client.
Sir Tim n’aura pas vraiment éclairé ma lanterne. Si ce n’est que pour lui, la demande des passagers en « haute contribution » est en constante augmentation, ce qui va conforter pour la compagnie du Golfe, ses investissements en termes de service haut de gamme. Particulièrement en classe Première.
En revanche, pas question de consolidation avec certaines compagnies de la région, « qui ont quelques difficultés ». Dont, bien évidemment Etihad et plus accessoirement sur le marché européen, Alitalia.
La compagnie qui fait trembler les plus grands et qui, en quelques années, a réussi à remodeler le transport aérien mondial.
Sir Tim avait accepté, ce qui prouve quand même qu’APG et son Forum sont reconnus dans le monde entier, d’intervenir durant ces Rencontres.
L’homme qui ne parle jamais, je vous le dis franchement, m’a déçu. Certes, alors qu’Emirates va publier ses résultats dans quelques semaines, il était difficile de s’exprimer plus avant.
Néanmoins, j’attendais au moins un aperçu de la stratégie développée par Emirates face à ses concurrents et surtout son « approche » du client.
Sir Tim n’aura pas vraiment éclairé ma lanterne. Si ce n’est que pour lui, la demande des passagers en « haute contribution » est en constante augmentation, ce qui va conforter pour la compagnie du Golfe, ses investissements en termes de service haut de gamme. Particulièrement en classe Première.
En revanche, pas question de consolidation avec certaines compagnies de la région, « qui ont quelques difficultés ». Dont, bien évidemment Etihad et plus accessoirement sur le marché européen, Alitalia.
Clairement, la réponse est négative : malgré quelques discussions, Emirates ne s’alliera pas avec Etihad, ni Alitalia !
Autre intervenant de choix, Marc Rochet, patron de French Bee. Brillant, clair, précis l’homme qui aurait pu devenir Président d’Air France, mais dont, par quelques mystères que la raison ignore, les grosses têtes du pouvoir n’en ont pas voulu.
Dommage. Mais lui croit à cette « montée » du transport aérien long courrier low-cost. A condition, et c’est primordial, de ne pas vouloir « adapter » le modèle des compagnies traditionnelles au système « low cost ».
« Il faut partir d’une feuille blanche », explique cet homme de bien et tenir compte d’une chose essentielle : « le client se fout du modèle : il veut du prix et des destinations claires » !
Avec une seule idée, celle des quatre « C » : client, coûts, capacité à « bouger » et le challenge, pour la compagnie, au quotidien. Un grand moment.
Autre intervention marquante, parmi toutes mais je ne peux pas être exhaustif, celle de Peter Bootsma, vice-président exécutif Commercial et Financier du Groupe Air France/KLM.
Autre intervenant de choix, Marc Rochet, patron de French Bee. Brillant, clair, précis l’homme qui aurait pu devenir Président d’Air France, mais dont, par quelques mystères que la raison ignore, les grosses têtes du pouvoir n’en ont pas voulu.
Dommage. Mais lui croit à cette « montée » du transport aérien long courrier low-cost. A condition, et c’est primordial, de ne pas vouloir « adapter » le modèle des compagnies traditionnelles au système « low cost ».
« Il faut partir d’une feuille blanche », explique cet homme de bien et tenir compte d’une chose essentielle : « le client se fout du modèle : il veut du prix et des destinations claires » !
Avec une seule idée, celle des quatre « C » : client, coûts, capacité à « bouger » et le challenge, pour la compagnie, au quotidien. Un grand moment.
Autre intervention marquante, parmi toutes mais je ne peux pas être exhaustif, celle de Peter Bootsma, vice-président exécutif Commercial et Financier du Groupe Air France/KLM.
Il n’aura pas un mot sur la situation du groupe, ce qui est finalement assez normal : on n’était pas là pour ça !
Mais, et c’est intéressant pour le futur, le Groupe a envie de « repenser » sa distribution vis-à-vis des attentes du client.
Bien entendu, grâce à la naissance de la nouvelle norme NDC, Air France entend en profiter. Pourquoi pas, explique Peter Bootsma, offrir aux passagers une offre de voyage « complète » ?
Oui, vous l’avez compris, Air France/KLM (ce n’est pas pour tout de suite, rassurez-vous), se verrait bien dans la peau d’un voyagiste « complet » : le vol, l’hébergement, la location de voiture… et même des activités à destination. Le tout en créant une plate-forme « commune » avec ses partenaires qui permettrait tant au grand public qu’aux distributeurs traditionnels de réserver ainsi un voyage « tout compris » !
Pourquoi pas ?
En revanche, quid des réglementations européennes, en termes de garantie financière… Ou, accessoirement d’immatriculation auprès d’Atout France ?
Du moins sur notre territoire…
Allez, on y croit !
Mais, et c’est intéressant pour le futur, le Groupe a envie de « repenser » sa distribution vis-à-vis des attentes du client.
Bien entendu, grâce à la naissance de la nouvelle norme NDC, Air France entend en profiter. Pourquoi pas, explique Peter Bootsma, offrir aux passagers une offre de voyage « complète » ?
Oui, vous l’avez compris, Air France/KLM (ce n’est pas pour tout de suite, rassurez-vous), se verrait bien dans la peau d’un voyagiste « complet » : le vol, l’hébergement, la location de voiture… et même des activités à destination. Le tout en créant une plate-forme « commune » avec ses partenaires qui permettrait tant au grand public qu’aux distributeurs traditionnels de réserver ainsi un voyage « tout compris » !
Pourquoi pas ?
En revanche, quid des réglementations européennes, en termes de garantie financière… Ou, accessoirement d’immatriculation auprès d’Atout France ?
Du moins sur notre territoire…
Allez, on y croit !
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