Après la faillite de Boiloris, l’APST va devoir sacrément ramer pour récupérer ces fameuses contre-garanties - DR : M.S.
Encore une fois, on assiste à des affaires peu reluisantes qui ne méritent que mépris et dégoût.
Encore une fois, la solidarité sert à conforter les individus peu scrupuleux.
Encore une fois, l’Association Professionnelle de Solidarité va payer pour une de ses brebis que je ne qualifierai pas.
Le 26 décembre dernier, juste durant la période de Noël, le réseau Boiloris et ses différentes composantes, déposait le bilan, tandis que son patron, Didier Munin, dînait tranquillement, en compagnie d’amis, chez un grand tour-opérateur, du côté des Alpes.
Je l’avais d’ailleurs joint ce soir-là, profitant également de la joyeuseté ambiante qui semblait régner autour de lui.
C’est vrai que c’était une période idéale pour aller passer quelques vacances au ski, profiter de l’air pur de la montagne et qu’après tout, planter ses sociétés, ses salariés et quelques clients, c’était pas grave.
D’autant que, finalement, on pourrait supposer que tout était « sous contrôle ».
Encore une fois, la solidarité sert à conforter les individus peu scrupuleux.
Encore une fois, l’Association Professionnelle de Solidarité va payer pour une de ses brebis que je ne qualifierai pas.
Le 26 décembre dernier, juste durant la période de Noël, le réseau Boiloris et ses différentes composantes, déposait le bilan, tandis que son patron, Didier Munin, dînait tranquillement, en compagnie d’amis, chez un grand tour-opérateur, du côté des Alpes.
Je l’avais d’ailleurs joint ce soir-là, profitant également de la joyeuseté ambiante qui semblait régner autour de lui.
C’est vrai que c’était une période idéale pour aller passer quelques vacances au ski, profiter de l’air pur de la montagne et qu’après tout, planter ses sociétés, ses salariés et quelques clients, c’était pas grave.
D’autant que, finalement, on pourrait supposer que tout était « sous contrôle ».
Nous avions déjà soulevé un gros lièvre, entre les différentes sociétés de Didier Munin, les SCI et ses propriétés plutôt classes et quelques autres incongruités.
Lire : Boiloris, quand on gratte un peu… ça sent le pâté ! et Boiloris, les clauses de loyer qui fâchent...
Néanmoins, le bon monsieur était adhérent de l’APST. Et, par conséquent les quelque 2,5 M€ du coût de cette faillite devaient être assumés par cette bonne institution.
Laquelle, comme le prévoient ses statuts, disposait de solides contre-garanties, en biens immobiliers notamment, pour la modique somme de 2,7 M€.
Inutile donc de trop s’inquiéter pour l’association qui comptait bien récupérer ce qu’elle avait déboursé.
Manque de pot, l’APST va devoir sacrément ramer pour récupérer ces fameuses contre-garanties.
Il est vrai que le personnage semble totalement dénué de scrupules. N’oublions pas qu’au passage, malgré la reprise par mon pote Salaün associé au groupe Sainte Claire de la majorité des agences en faillite, quelques salariés qui n’ont que leurs yeux pour pleurer seront restés sur le carreau.
Lire : Boiloris, quand on gratte un peu… ça sent le pâté ! et Boiloris, les clauses de loyer qui fâchent...
Néanmoins, le bon monsieur était adhérent de l’APST. Et, par conséquent les quelque 2,5 M€ du coût de cette faillite devaient être assumés par cette bonne institution.
Laquelle, comme le prévoient ses statuts, disposait de solides contre-garanties, en biens immobiliers notamment, pour la modique somme de 2,7 M€.
Inutile donc de trop s’inquiéter pour l’association qui comptait bien récupérer ce qu’elle avait déboursé.
Manque de pot, l’APST va devoir sacrément ramer pour récupérer ces fameuses contre-garanties.
Il est vrai que le personnage semble totalement dénué de scrupules. N’oublions pas qu’au passage, malgré la reprise par mon pote Salaün associé au groupe Sainte Claire de la majorité des agences en faillite, quelques salariés qui n’ont que leurs yeux pour pleurer seront restés sur le carreau.
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Peu importe pour le patron failli qui n’a pas failli quand il s’agissait de ses propres intérêts.
Parce que, figurez-vous, joyeux payeurs solidaires de l’APST, que cet homme de bien n’a rien trouvé de mieux que de « donner » tous les biens immobiliers (je ne sais pas pour les bagnoles) à des proches.
En l’occurrence, ses filles, sa compagne, peut-être son animal de compagnie encore que je ne croie pas qu’il puisse en avoir un…
Et ceci aura été fait les 30 et 31 décembre derniers, juste avant l’ouverture de la procédure collective !
Joyeuse bonne année !
Bien évidemment, Dame Philipon (petipatapon) est animée d’une colère froide, les plus dangereuses d’ailleurs. Parce que c’est absolument dégueulasse, ce genre de procédé.
Et que l’APST n’est pas un monstre impitoyable. Je connais quelques chefs d’entreprise en difficulté qui ont reçu une certaine compréhension et aide auprès de l’organisme et de sa présidente.
Dans un courrier que j’ai réussi à me procurer, délivré à ses élus, la présidente a décidé de prendre en main cette affaire personnellement.
Je n’ai pas réussi à la joindre mais la connaissant un peu, on sent une froide détermination à faire rendre gorge à celui qui a honteusement trahi !
Elle ne lâchera pas l’affaire et elle aura raison. Encore une fois, il y avait un ver dans le fruit.
Il serait temps de recourir à un pesticide efficace dans ce secteur !
Parce que, figurez-vous, joyeux payeurs solidaires de l’APST, que cet homme de bien n’a rien trouvé de mieux que de « donner » tous les biens immobiliers (je ne sais pas pour les bagnoles) à des proches.
En l’occurrence, ses filles, sa compagne, peut-être son animal de compagnie encore que je ne croie pas qu’il puisse en avoir un…
Et ceci aura été fait les 30 et 31 décembre derniers, juste avant l’ouverture de la procédure collective !
Joyeuse bonne année !
Bien évidemment, Dame Philipon (petipatapon) est animée d’une colère froide, les plus dangereuses d’ailleurs. Parce que c’est absolument dégueulasse, ce genre de procédé.
Et que l’APST n’est pas un monstre impitoyable. Je connais quelques chefs d’entreprise en difficulté qui ont reçu une certaine compréhension et aide auprès de l’organisme et de sa présidente.
Dans un courrier que j’ai réussi à me procurer, délivré à ses élus, la présidente a décidé de prendre en main cette affaire personnellement.
Je n’ai pas réussi à la joindre mais la connaissant un peu, on sent une froide détermination à faire rendre gorge à celui qui a honteusement trahi !
Elle ne lâchera pas l’affaire et elle aura raison. Encore une fois, il y avait un ver dans le fruit.
Il serait temps de recourir à un pesticide efficace dans ce secteur !