Tiens, c'est demain que s'ouvre cette nouvelle édition d'IFTM Top Résa.
Ce serait marrant qu'il y ait un peu de rififi, genre manif des professionnels du Tourisme du côté du stand Air France.
Encore que, côté rififi, on pourrait aussi assister à quelques belles passes entre distributeurs indépendants et leur tête de Turc, le Groupe TUI Marmara.
Mais là n'est pas franchement mon sujet ce matin.
Figurez-vous que ce week-end, accompagné de Chien Charly qui voulait monter à la ville se faire piquer et voir son vétérinaire favori (juste le vaccin annuel, merci pour ceux qui se sont inquiétés), nous avons eu l'idée de rentrer dans une agence de voyages.
C'était samedi et tout le monde semblait transpirer à grosses gouttes.
Ce serait marrant qu'il y ait un peu de rififi, genre manif des professionnels du Tourisme du côté du stand Air France.
Encore que, côté rififi, on pourrait aussi assister à quelques belles passes entre distributeurs indépendants et leur tête de Turc, le Groupe TUI Marmara.
Mais là n'est pas franchement mon sujet ce matin.
Figurez-vous que ce week-end, accompagné de Chien Charly qui voulait monter à la ville se faire piquer et voir son vétérinaire favori (juste le vaccin annuel, merci pour ceux qui se sont inquiétés), nous avons eu l'idée de rentrer dans une agence de voyages.
C'était samedi et tout le monde semblait transpirer à grosses gouttes.
Deux jeunes femmes, des téléphones dans toutes les mains, les yeux rivés sur les écrans d'ordi, se démenaient comme de jolies diablesses… afin de pallier le manque indécent des vols Air France.
Une cliente, accompagnée d'un petit chien tout frisé, genre Choupette, apprenant que l'agence lui avait trouvée une solution de remplacement, en avait quasi les larmes aux yeux. Le chien… moins !
Voilà, me suis-je dis, in petto, à quoi ça sert aussi, une agence de voyages. Et c'est pas plus cher !
Et, tout naturellement, me suis-je toujours dit en fors intérieur (j'ai pas de fort extérieur, désolé), ce serait le bon moment de le faire savoir.
Ce serait le moment, pour nos bons représentants institutionnels, de faire le siège des journaux, télés et radio, faire savoir que l'agence de voyages, c'est aussi conçu pour assister ses clients en cas de problème.
Ben c'est raté. C'était pourtant une belle occasion de communiquer.
A croire que le SNAV a fait l'impasse ou que son président de la commission communication était coincé à l'autre bout du monde par manque de vol Air France.
En fait, je suis un tout petit peu injuste.
Une cliente, accompagnée d'un petit chien tout frisé, genre Choupette, apprenant que l'agence lui avait trouvée une solution de remplacement, en avait quasi les larmes aux yeux. Le chien… moins !
Voilà, me suis-je dis, in petto, à quoi ça sert aussi, une agence de voyages. Et c'est pas plus cher !
Et, tout naturellement, me suis-je toujours dit en fors intérieur (j'ai pas de fort extérieur, désolé), ce serait le bon moment de le faire savoir.
Ce serait le moment, pour nos bons représentants institutionnels, de faire le siège des journaux, télés et radio, faire savoir que l'agence de voyages, c'est aussi conçu pour assister ses clients en cas de problème.
Ben c'est raté. C'était pourtant une belle occasion de communiquer.
A croire que le SNAV a fait l'impasse ou que son président de la commission communication était coincé à l'autre bout du monde par manque de vol Air France.
En fait, je suis un tout petit peu injuste.
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Le SNAV s'est fendu, vendredi 19, d'un communiqué, expliquant que l'agence de voyages était là pour "trouver une solution de remplacement à son client" et que ces derniers peuvent "mesurer "immédiatement les capacités que leur apporte leur interlocuteur, bien souvent au prix d'une importante surcharge de travail".
Et de féliciter "ses adhérents pour leur dévouement, leur réactivité et la qualité du service qu'ils délivrent aux voyageurs en galère".
Ben, je suppose que ça vous fait une belle jambe… Avant d'attaquer, justement, une seconde semaine de galère.
Encore une fois, les hôteliers des grandes villes, particulièrement ceux situés aux abords des grands aéroports, ont été beaucoup plus malins.
C'est Trivago qui révèle ce point. Figurez-vous que depuis le début de la grève des pilotes d'Air France, le prix moyen d'une nuit d'hôtel à Roissy a augmenté de 44%.
De 131€ (en moyenne) les deux premières semaines de septembre, le tarif de la nuitée bondissait à 189€ en début de grève.
Idem à Orly (+36%), et légères augmentation, tant à Paris, qu'à Lille ou Toulouse, par exemple !
Comme quoi, et là je rejoins bien volontiers mon ami Rick, "c'est bien l'argent qui mène le monde des affaires".
Et vous, agents de voyages, faudra expliquer à vos clients que les dégâts collatéraux causés par les pilotes d'Air France, ne sont pas pris en charge par la compagnie.
Encore une galère qui vous attend et à laquelle je compatis sincèrement…
Et de féliciter "ses adhérents pour leur dévouement, leur réactivité et la qualité du service qu'ils délivrent aux voyageurs en galère".
Ben, je suppose que ça vous fait une belle jambe… Avant d'attaquer, justement, une seconde semaine de galère.
Encore une fois, les hôteliers des grandes villes, particulièrement ceux situés aux abords des grands aéroports, ont été beaucoup plus malins.
C'est Trivago qui révèle ce point. Figurez-vous que depuis le début de la grève des pilotes d'Air France, le prix moyen d'une nuit d'hôtel à Roissy a augmenté de 44%.
De 131€ (en moyenne) les deux premières semaines de septembre, le tarif de la nuitée bondissait à 189€ en début de grève.
Idem à Orly (+36%), et légères augmentation, tant à Paris, qu'à Lille ou Toulouse, par exemple !
Comme quoi, et là je rejoins bien volontiers mon ami Rick, "c'est bien l'argent qui mène le monde des affaires".
Et vous, agents de voyages, faudra expliquer à vos clients que les dégâts collatéraux causés par les pilotes d'Air France, ne sont pas pris en charge par la compagnie.
Encore une galère qui vous attend et à laquelle je compatis sincèrement…