Pour L. Abitbol, en revanche, malgré sa réélection de justesse à la présidence du réseau, c’est clairement l’échec - DR
Comme d’habitude, c’est la médiocrité intellectuelle qui triomphait en cette matinée d’assemblée générale du réseau, à laquelle par souci de transparence, la presse avait été conviée.
Conviée étant un bien grand mot, il suffisait de se faire « agripper » par mon nouvel ami qui finalement ne l’est pas tant que ça, Jean-Jacques Bessière, pour s’en rendre compte très vite.
Parce que, chez ces gens-là, on pleure avant d’avoir mal. Quant au progrès et au changement économique, on s’en bat les roubignolles… Faut surtout rien changer à une vieille institution.
Pitoyable, mais finalement, on peut comprendre aisément le peu de réussite dans un monde qui a évolué, de ces agences de voyages ancrées dans leurs certitudes et leurs pratiques d’un autre siècle !
Toujours est-il que, tandis que la presse attendait benoîtement le début de cette assemblée, ce qui nous a permis d’échanger et de comparer nos différents potins, la salle frondait, réclamant notre éviction de ces débats qui pouvaient devenir virulents.
Secret, faut surtout pas que ces journaleux, que l’on sollicite régulièrement afin de diffuser les petits « pets de travers » qui affectent les uns ou les autres, puissent assister au grand déballage.
Conviée étant un bien grand mot, il suffisait de se faire « agripper » par mon nouvel ami qui finalement ne l’est pas tant que ça, Jean-Jacques Bessière, pour s’en rendre compte très vite.
Parce que, chez ces gens-là, on pleure avant d’avoir mal. Quant au progrès et au changement économique, on s’en bat les roubignolles… Faut surtout rien changer à une vieille institution.
Pitoyable, mais finalement, on peut comprendre aisément le peu de réussite dans un monde qui a évolué, de ces agences de voyages ancrées dans leurs certitudes et leurs pratiques d’un autre siècle !
Toujours est-il que, tandis que la presse attendait benoîtement le début de cette assemblée, ce qui nous a permis d’échanger et de comparer nos différents potins, la salle frondait, réclamant notre éviction de ces débats qui pouvaient devenir virulents.
Secret, faut surtout pas que ces journaleux, que l’on sollicite régulièrement afin de diffuser les petits « pets de travers » qui affectent les uns ou les autres, puissent assister au grand déballage.
Dominique Gobert et chien Charly
Faut surtout pas que les conneries gigantesques qui affectent les irrémédiables frondeurs, ceux qui sont régulièrement contre ce qui est pour et pour ce qui est contre puissent se donner en spectacle.
Circulez, on lave notre linge, peu ragoutant, entre nous. Je peux même pas dire en famille, il y a longtemps, chez Selectour, que cette conception n’existe plus…
"Bitbol", qui avait cru que la transparence ne pouvait que contribuer à ce renouveau du réseau, était bien gêné.
Nous sommes partis, comme nous sommes venus, conscients que l’ouverture d’esprit et le changement, ce n’était pas encore pour tout de suite dans cette profession. Ce qui, parce que nous sommes d’un esprit positif, mes camarades et moi, nous aura permis de découvrir un petit bistrot au comptoir tout en zinc juste à côté de ce Grand Hôtel….
Pour Laurent Abitbol, en revanche, malgré sa réélection de justesse à la présidence du réseau, c’est clairement l’échec.
Lire : Selectour : Laurent Abitbol réélu président
Il ne dispose en effet que d’une très courte majorité qui pourrait s’éroder très vite au gré des discussions. Il ne pourra pas non plus s’appuyer sur les « techniciens » du nouveau projet New Coop, lequel, qu’on le veuille ou non, représente clairement l’avenir économique du réseau.
Circulez, on lave notre linge, peu ragoutant, entre nous. Je peux même pas dire en famille, il y a longtemps, chez Selectour, que cette conception n’existe plus…
"Bitbol", qui avait cru que la transparence ne pouvait que contribuer à ce renouveau du réseau, était bien gêné.
Nous sommes partis, comme nous sommes venus, conscients que l’ouverture d’esprit et le changement, ce n’était pas encore pour tout de suite dans cette profession. Ce qui, parce que nous sommes d’un esprit positif, mes camarades et moi, nous aura permis de découvrir un petit bistrot au comptoir tout en zinc juste à côté de ce Grand Hôtel….
Pour Laurent Abitbol, en revanche, malgré sa réélection de justesse à la présidence du réseau, c’est clairement l’échec.
Lire : Selectour : Laurent Abitbol réélu président
Il ne dispose en effet que d’une très courte majorité qui pourrait s’éroder très vite au gré des discussions. Il ne pourra pas non plus s’appuyer sur les « techniciens » du nouveau projet New Coop, lequel, qu’on le veuille ou non, représente clairement l’avenir économique du réseau.
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Et une occasion unique de redonner au réseau créé par ce vieux Demonchy (lequel doit grogner comme un vieil âne) une nouvelle vitalité… Et un surcroît de bénéfices pour les adhérents.
Parce que, finalement, cette fronde n’est que crainte d’un projet qui n’est, encore une fois, qu’au stade de projet. Mais dont les conséquences financières ne peuvent qu’être bénéfiques, dans une économie adaptée à l’évolution du secteur.
Tout en préservant la liberté de chacun. Et en préservant quand même la place de la distribution face aux grands (et gros) fournisseurs industriels qui doivent sacrément rigoler en assistant à cette mascarade ridicule !
Et au fait, qu'en pensent tous ces fournisseurs qui voyaient en cette nouvelle conception, un moyen d'être enfin vendus à hauteur des commissions qu'ils versent. Faudra que je demande à Emirates...
Reste maintenant à savoir si Abitbol et les quelques adhérents qui pèsent près de 40% du volume d’affaires du réseau voudront malgré tout continuer à hisser ce réseau vers le haut…
Quand un âne ne veut pas boire, y’a rien à faire… Il vous filera un bon coup de sabots.
Parce que, finalement, cette fronde n’est que crainte d’un projet qui n’est, encore une fois, qu’au stade de projet. Mais dont les conséquences financières ne peuvent qu’être bénéfiques, dans une économie adaptée à l’évolution du secteur.
Tout en préservant la liberté de chacun. Et en préservant quand même la place de la distribution face aux grands (et gros) fournisseurs industriels qui doivent sacrément rigoler en assistant à cette mascarade ridicule !
Et au fait, qu'en pensent tous ces fournisseurs qui voyaient en cette nouvelle conception, un moyen d'être enfin vendus à hauteur des commissions qu'ils versent. Faudra que je demande à Emirates...
Reste maintenant à savoir si Abitbol et les quelques adhérents qui pèsent près de 40% du volume d’affaires du réseau voudront malgré tout continuer à hisser ce réseau vers le haut…
Quand un âne ne veut pas boire, y’a rien à faire… Il vous filera un bon coup de sabots.