Globalement, les cinq que nous avons interrogés ont sensiblement la même approche, même si certains ont tendance à travestir leur vérité…
En revanche, qu’ils soient patrons ou dirigeants d’instances professionnelles, une formulation est claire : baisser les charges du travail.
De façon, et c’est Abitbol qui le dit le plus clairement « à augmenter les salaires des collaborateurs ».
Pascal de Izaguirre, mon Basque Bondissant favori, ne recule devant rien, même si ces propos tiennent plus du « faites ce que je dis, pas ce que je fais », style « développer la compétitivité des agences de voyages face aux pure players ».
Notamment par le biais de la mise en place « de mesures économiques qui favoriseraient les réseaux d’agences de voyages par rapport aux pure players ». Ben, bravo la concurrence…
Sur la formation, sur l’image des métiers du tourisme et des voyages, là aussi, ils sont tous d’accord : campagne d’information, formations « qualifiantes ».
Bien évidemment, pour la partie « Tourisme en France », tous sont en phase avec la nécessité de devenir, pour notre destination, un véritable lieu d’accueil pour les touristes étrangers.
Et surtout, développer l’apprentissage des langues étrangères. L’anglais, bien sûr, mais le Basque n’a pas tort, le chinoa ou d’autres langues moins courantes mais indispensables.
En revanche, qu’ils soient patrons ou dirigeants d’instances professionnelles, une formulation est claire : baisser les charges du travail.
De façon, et c’est Abitbol qui le dit le plus clairement « à augmenter les salaires des collaborateurs ».
Pascal de Izaguirre, mon Basque Bondissant favori, ne recule devant rien, même si ces propos tiennent plus du « faites ce que je dis, pas ce que je fais », style « développer la compétitivité des agences de voyages face aux pure players ».
Notamment par le biais de la mise en place « de mesures économiques qui favoriseraient les réseaux d’agences de voyages par rapport aux pure players ». Ben, bravo la concurrence…
Sur la formation, sur l’image des métiers du tourisme et des voyages, là aussi, ils sont tous d’accord : campagne d’information, formations « qualifiantes ».
Bien évidemment, pour la partie « Tourisme en France », tous sont en phase avec la nécessité de devenir, pour notre destination, un véritable lieu d’accueil pour les touristes étrangers.
Et surtout, développer l’apprentissage des langues étrangères. L’anglais, bien sûr, mais le Basque n’a pas tort, le chinoa ou d’autres langues moins courantes mais indispensables.
Dominique Gobert et chien Charly
Ce qu’oublient de dire les uns et les autres étant qu’il faudrait avant tout faire comprendre à tous les acteurs du tourisme réceptif que la notion de « service et d’accueil » est quasiment l’essentiel de leur travail.
Et qu’il n’est pas du tout déshonorant de sourire en accueillant un client dans un hôtel, par exemple…
J’aime assez les réactions de nos dirigeants professionnels, tant du Ceto ou de EDV que celle d’Alix Petipatapon (pardon, Alix, ça me fait marrer) sur les véritables enjeux du tourisme en France, qu’il soit « récepteur » ou « exportateur ».
C’est Mas, je crois, qui souligne les distorsions fiscales qui existent en France au niveau réceptif.
Izaguirre a beau dire que, s’il était ministre, il partirait à la rencontre des plus grandes entreprises de ces mêmes pays pour leur faire découvrir ou redécouvrir notre pays et les convaincre d’organiser leurs conventions et séminaires en France. Et ainsi leur montrer notre fierté de les accueillir en France ».
Certes, fier de les accueillir, mais quand ces gens constatent que nos prix sont plus chers que leurs concurrents européens, ben c’est le budget qui compte.
Et qu’il n’est pas du tout déshonorant de sourire en accueillant un client dans un hôtel, par exemple…
J’aime assez les réactions de nos dirigeants professionnels, tant du Ceto ou de EDV que celle d’Alix Petipatapon (pardon, Alix, ça me fait marrer) sur les véritables enjeux du tourisme en France, qu’il soit « récepteur » ou « exportateur ».
C’est Mas, je crois, qui souligne les distorsions fiscales qui existent en France au niveau réceptif.
Izaguirre a beau dire que, s’il était ministre, il partirait à la rencontre des plus grandes entreprises de ces mêmes pays pour leur faire découvrir ou redécouvrir notre pays et les convaincre d’organiser leurs conventions et séminaires en France. Et ainsi leur montrer notre fierté de les accueillir en France ».
Certes, fier de les accueillir, mais quand ces gens constatent que nos prix sont plus chers que leurs concurrents européens, ben c’est le budget qui compte.
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Et Mas est clair là-dessus, en déclarant qu’il imposerait « à Bercy de supprimer le régime de TVA sur la marge qui met les entreprises qui reçoivent des touristes étrangers en situation de concurrence déloyale par rapport aux opérateurs étrangers ».
Et accessoirement, il « améliorerait la liaison tiers-mondiste » de Roissy-Paris !
Sans oublier de la part de la Chefe de l’APST, cette grande opération de nettoyage de nos villes, Paris en particulier, qui devient franchement dégueulasse !
Quant aux voyages des français vers l’étranger, ils sont unanimes : les vacances sont un droit pour tous ! Et j’aime la réaction encore de Madame Philippon qui offrirai à chaque enfant français qui n’est jamais parti en vacances, une semaine à la découverte de notre pays ».
Plus pragmatique (on sent l’homme d’affaires), le Basque utiliserait le chèque vacances pour les voyages à l’étranger. Avec un « bonus » pour ceux qui choisiraient TUI ? Bon, je rigole, pas de malice…
Ah si, faut quand même souligner le côté rêveur de ce bon Bitbol, qui « offrirait » un an de IATA gratuit à toutes les agences de voyages. Son côté Hamon, sans doute !
Mais au fait, je n’ai entendu personne parler d’une caisse de garantie de la part des compagnies aériennes qui pourraient défailler. Un oubli sans doute…
Et accessoirement, il « améliorerait la liaison tiers-mondiste » de Roissy-Paris !
Sans oublier de la part de la Chefe de l’APST, cette grande opération de nettoyage de nos villes, Paris en particulier, qui devient franchement dégueulasse !
Quant aux voyages des français vers l’étranger, ils sont unanimes : les vacances sont un droit pour tous ! Et j’aime la réaction encore de Madame Philippon qui offrirai à chaque enfant français qui n’est jamais parti en vacances, une semaine à la découverte de notre pays ».
Plus pragmatique (on sent l’homme d’affaires), le Basque utiliserait le chèque vacances pour les voyages à l’étranger. Avec un « bonus » pour ceux qui choisiraient TUI ? Bon, je rigole, pas de malice…
Ah si, faut quand même souligner le côté rêveur de ce bon Bitbol, qui « offrirait » un an de IATA gratuit à toutes les agences de voyages. Son côté Hamon, sans doute !
Mais au fait, je n’ai entendu personne parler d’une caisse de garantie de la part des compagnies aériennes qui pourraient défailler. Un oubli sans doute…