Et paf, ne manquait plus que cette grosse boulette, alors que tout se délite de partout !
C'est vrai que l'on ne se méfie jamais assez des réseaux dits "sociaux"…
Vous avez tous lu la diatribe (mais oui, je peux aussi écrire à la prout), rédigée de main de maîtresse par la grande prêtresse du Cediv à l'intention du Président de TUI France.
Une italienne pure souche face au Basque Bondissant... Cocasse, n'est-il pas ?
En clair, et pour faire court, alors que l'on croyait enfin enterrée la guerre entre distributeurs et producteurs, voilà que l'on découvre, à travers les réseaux sociaux, que l'un des acteurs majeurs de la production touristique cherche, par des moyens détournés et facebookiens à fourguer ses produits en se passant des distributeurs classiques.
Jusque-là, rien de bien nouveau.
Sauf qu'Adriana n'aime pas tellement danser au bal des cocus. Pas plus que sa famille, et, en Ritalie, la famille, ça compte...
D'autant que je sais pas vous, mais se retrouver trompé, ça fait jamais plaisir.
Du côté de TUI France, faut absolument gagner, c'est clair.
C'est vrai que l'on ne se méfie jamais assez des réseaux dits "sociaux"…
Vous avez tous lu la diatribe (mais oui, je peux aussi écrire à la prout), rédigée de main de maîtresse par la grande prêtresse du Cediv à l'intention du Président de TUI France.
Une italienne pure souche face au Basque Bondissant... Cocasse, n'est-il pas ?
En clair, et pour faire court, alors que l'on croyait enfin enterrée la guerre entre distributeurs et producteurs, voilà que l'on découvre, à travers les réseaux sociaux, que l'un des acteurs majeurs de la production touristique cherche, par des moyens détournés et facebookiens à fourguer ses produits en se passant des distributeurs classiques.
Jusque-là, rien de bien nouveau.
Sauf qu'Adriana n'aime pas tellement danser au bal des cocus. Pas plus que sa famille, et, en Ritalie, la famille, ça compte...
D'autant que je sais pas vous, mais se retrouver trompé, ça fait jamais plaisir.
Du côté de TUI France, faut absolument gagner, c'est clair.
Après avoir sonné les trompettes de la grande parade (oui, c'est assez musical ce soir, ça change), lors d'un congrès à Rome, le patron de TUI France avait annoncé que la distribution devait s'attendre à quelques "efforts"…
Des propos "nuancés" quelques mois plus tard, pour un retour (à la baguette) et à grand renfort de tambours battants vers les distributeurs envers qui toutes les attentes du groupe TUI étaient dorénavant tournées...
A la décharge de Pascal de Izaguirre, l'annonce malgré tout que ses produits seraient également vendus "en direct".
Mais et je cite ses propres guillemets "au même prix que chez les distributeurs" via Internet ou autre relais de vente.
Perso, je n'ai pas vu la page Facebook de Marmara (faudra m'expliquer Matt), mais je fais crédit à l'Italienne de Béziers dans ce cas précis.
D'autant que, finalement, cette "maladresse" de la part de TUI présage peut-être les grandes manœuvres que détiennent dans leurs besaces les actionnaires germains qui ont, enfin, réussi à prendre le pouvoir sur ce Groupe.
N'oublions pas que les grands-bretons de TUI, minoritaires dans l'actionnariat, détenaient jusqu'il y a peu, le pouvoir opérationnel.
Apparemment, la Grande Albion a plié devant la Germanie et le Basque Bondissant va devoir, encore une fois, expliquer, convaincre… et passer quelques nuits blanches !
En clair, se soumettre ou se démettre…
A moins que tout ceci ne soit que l'œuvre d'un webmaster (j'y peux rien, j'ai pas la traduc') fou, qui, dans un pas de deux (je vous l'avais dit, on reste dans le musical) endiablé, n'ai voulu offrir à son chef d'orchestre l'occasion de brader le stock.
Mais il reste le fusible incontournable et je pense que, tel que pour Monsieur Thevenoud, on nous dira lors de la conférence de mercredi chez TUI France, que tout ceci n'était qu'une "négligence" de la part…
De qui, au fait ?
La confiance et le respect de la parole ne seraient-ils, dans ce pays, que balivernes et billevesées ?
Des propos "nuancés" quelques mois plus tard, pour un retour (à la baguette) et à grand renfort de tambours battants vers les distributeurs envers qui toutes les attentes du groupe TUI étaient dorénavant tournées...
A la décharge de Pascal de Izaguirre, l'annonce malgré tout que ses produits seraient également vendus "en direct".
Mais et je cite ses propres guillemets "au même prix que chez les distributeurs" via Internet ou autre relais de vente.
Perso, je n'ai pas vu la page Facebook de Marmara (faudra m'expliquer Matt), mais je fais crédit à l'Italienne de Béziers dans ce cas précis.
D'autant que, finalement, cette "maladresse" de la part de TUI présage peut-être les grandes manœuvres que détiennent dans leurs besaces les actionnaires germains qui ont, enfin, réussi à prendre le pouvoir sur ce Groupe.
N'oublions pas que les grands-bretons de TUI, minoritaires dans l'actionnariat, détenaient jusqu'il y a peu, le pouvoir opérationnel.
Apparemment, la Grande Albion a plié devant la Germanie et le Basque Bondissant va devoir, encore une fois, expliquer, convaincre… et passer quelques nuits blanches !
En clair, se soumettre ou se démettre…
A moins que tout ceci ne soit que l'œuvre d'un webmaster (j'y peux rien, j'ai pas la traduc') fou, qui, dans un pas de deux (je vous l'avais dit, on reste dans le musical) endiablé, n'ai voulu offrir à son chef d'orchestre l'occasion de brader le stock.
Mais il reste le fusible incontournable et je pense que, tel que pour Monsieur Thevenoud, on nous dira lors de la conférence de mercredi chez TUI France, que tout ceci n'était qu'une "négligence" de la part…
De qui, au fait ?
La confiance et le respect de la parole ne seraient-ils, dans ce pays, que balivernes et billevesées ?
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