La case de l’Oncle Dom : les grandes manœuvres ont commencé autour de l'APST...

La débâcle, pire que la retraite de Russie, venue de Thomas Cook, sera sûrement beaucoup plus dramatique et dangereuse que ce que l’on aurait pu le penser...

Pour l’APST, cette catastrophe industrielle est encore pire. Car, qu’on le veuille ou non, ce sont plus de 50 millions d'euros qu’il faut trouver… Et en urgence.

Et ce n’est probablement pas le moment de se livrer à des guerres intestines ou à de sournoises manœuvres au sein de cette institution, basée, je le rappelle, sur la « solidarité » entre professionnels exerçant « ensemble » une activité.

Et qui y aurait intérêt ? Probablement ceux qui se livrent à de vagues calculs personnels pour conserver une fonction, une prébende, ou une quelconque manière de continuer à exister… la vieillesse est un naufrage, on le sait tous !

Généralement, je ne publie pas les rumeurs, surtout anonymes. Pourtant, force est de constater, hélas, qu'au sein de l'APST, l'ambiance est pour le moins... délétère.

Chacun pourra juger de la pertinence ou pas de cette affirmation.

Ce qui est certain toutefois c'est que, en aucune manière, on ne peut remettre en cause l’efficacité, le dévouement et le professionnalisme, non seulement des dirigeants actuels de la Caisse de garantie, mais également de l’ensemble des salariés, qui ont absolument tout fait et tout donné pour éviter une véritable panique parmi le grand public.

Ce qui aura été aussi une réelle occasion de ne pas semer le doute envers ce même grand public sur une profession toujours accablée, tant par les mouvements sociaux, que par les événements géopolitiques ou les défaillances financières.

Et, bien entendu dans ces cas-là, sans vergogne, sans le moindre état d’âme, certains tentent de tirer leur épingle du jeu.

Les raisons en sont hélas dramatiquement humaines : l’attrait du pouvoir… en sous-main !

On a beaucoup reproché à la présidente son « absence ». Que l’on se rassure, l’APST a toujours à sa tête une dirigeante attentive, brillante et totalement investie dans la charge pour laquelle elle a été élue.

Et malheureusement, il y a parfois des impondérables « humains » qui empêchent de pouvoir totalement agir sur le terrain.

Personne n’est à l’abri d’une défaillance physique, heureusement maintenant résorbée.

Et c’est tant mieux, parce que Madame Philipon (petipatapon, ça c’est juste pour le sourire) mérite non seulement le respect de tous mais aussi le soutien sans limite de la profession.

Elle aura juste eu le tort de s’entourer sans avoir pris certaines précautions…

Je ne sais pas si elle briguera un nouveau mandat. La tache est lourde, difficile, mais la connaissant un peu, je pense qu’elle luttera jusqu’au bout.

Et que, si jamais elle ne rempilait pas, son successeur sera aussi compétent qu’elle l’aura été. Ce ne sera certainement pas un (ou une) vague personnage venu d’on ne sait trop où…

Et pour l’instant, le plus urgent est avant tout de préserver cette Caisse de Garantie. Trouver un prêt n’est pas la chose la plus simple, d’autant qu’il faudra préserver aussi l’indépendance de l’institution.

C’est primordial...