Et je ne reviendrais pas sur les conditions de travail de nos "aiguilleurs du ciel", c'est un vieux débat. Pour des salaires qu'envieraient bon nombre de présidents de PME qui s'échinent à faire vivre des centaines de salariés... /photo dr
Désolé, mais là, franchement, ras le bol.
Voilà, une nouvelle fois, les contrôleurs aériens qui vous foutent un bordel monstre.
Pas seulement en France, non, trop simple, mais dans cette pauvre Europe!
Et pourquoi, me demanderez-vous ? Parce que, simplement, les instances européennes demandent tout simplement un peu d'harmonisation et d'organisation dans la navigation aérienne, laquelle, vous vous en doutez, devient de plus en plus complexe à gérer.
Bien évidemment, tout ceci nécessite quelques "aménagements" opérationnels, une coordination au niveau européen.
Bref, rien que du très banal. Sauf que, pour ça, ben va falloir travailler! Eh oui ! Et je ne reviendrais pas sur les conditions de travail de nos "aiguilleurs du ciel", c'est un vieux débat.
Pour des salaires qu'envieraient bon nombre de présidents de PME qui s'échinent à faire vivre des centaines de salariés. Mais bon, passons, puisque, dès ce soir, le mouvement devrait s'arrêter.
Je passe également sur la réaction de notre sous-ministre des transports français, Frédéric Cuvillier, lequel est sûrement très compétent en ce qui concerne le transport maritime, mais pas vraiment dans l'aérien.
Vous me direz que l'ancien, celui qui dormait pendant l'atchoumement du volcan fou, Bussereau pour ne pas le nommer, n'était pas mieux.
Voilà, une nouvelle fois, les contrôleurs aériens qui vous foutent un bordel monstre.
Pas seulement en France, non, trop simple, mais dans cette pauvre Europe!
Et pourquoi, me demanderez-vous ? Parce que, simplement, les instances européennes demandent tout simplement un peu d'harmonisation et d'organisation dans la navigation aérienne, laquelle, vous vous en doutez, devient de plus en plus complexe à gérer.
Bien évidemment, tout ceci nécessite quelques "aménagements" opérationnels, une coordination au niveau européen.
Bref, rien que du très banal. Sauf que, pour ça, ben va falloir travailler! Eh oui ! Et je ne reviendrais pas sur les conditions de travail de nos "aiguilleurs du ciel", c'est un vieux débat.
Pour des salaires qu'envieraient bon nombre de présidents de PME qui s'échinent à faire vivre des centaines de salariés. Mais bon, passons, puisque, dès ce soir, le mouvement devrait s'arrêter.
Je passe également sur la réaction de notre sous-ministre des transports français, Frédéric Cuvillier, lequel est sûrement très compétent en ce qui concerne le transport maritime, mais pas vraiment dans l'aérien.
Vous me direz que l'ancien, celui qui dormait pendant l'atchoumement du volcan fou, Bussereau pour ne pas le nommer, n'était pas mieux.
Bref, Cuvillier, lui, donne raison au bazar engendré par les contrôleurs, tant pis pour les compagnies aériennes qui n'en peuvent… savez quoi ? Mais ! (n'en peuvent mais, c'est du vieux François) et basta. Roule, ma poule !
En attendant, qui l'a dans le baba ? Savez pas ? A plus de 80%, les agences de voyages.
Tiens donc. Encore une fois, ces bonnes vieilles agences de voyages qui se décarcassent se retrouvent sur le carreau, parce que, ni plus, ni moins, elles auront fait leur métier.
Poujade ? Vous avez dit Poujade, cher Rick ? Allez vous faire… Ras le bol !
D'ailleurs, j'espère que personne ne me contredira lorsque j'aurai souligné la réactivité du Snav (Voyez cher Georges Colson, quand c'est bien je le dis, d'ailleurs, je dis toujours la vérité) qui est immédiatement monté au créneau.
Vrai que la Commission Air du Syndicat a saisi la balle au bond. Vrai que, dans son communiqué, signé Jean-Pierre Mas (Pdt. de la Commission Air, ndDG).
Ce dernier souligne l'importance de l'agence de voyage qui, ayant vendu un billet d'avion à son client, va tenter de tout faire pour lui trouver un moyen d'accomplir son voyage.
Et j'en ai rencontré quelques unes, hier, qui se démenaient pour trouver des solutions. Pour elles, d'ailleurs, la routine, pour une marge de misère...
Oh, j'en vois qui vont trouver un arrière-goût de campagne électorale à cette démarche. Pas bien !
N'empêche que cette démarche est la bonne et qu'il aurait fallu aller un tout petit peu plus loin, solliciter les grandes chaines radios ou télés. Mais c'est un premier pas.
Vous remarquerez que je n'ai même pas causé de Mademoiselle Pinel, visiblement pas concernée, malgré sa nouvelle notoriété de pourchasseuse d'auto-entrepreneurs…
En attendant, qui l'a dans le baba ? Savez pas ? A plus de 80%, les agences de voyages.
Tiens donc. Encore une fois, ces bonnes vieilles agences de voyages qui se décarcassent se retrouvent sur le carreau, parce que, ni plus, ni moins, elles auront fait leur métier.
Poujade ? Vous avez dit Poujade, cher Rick ? Allez vous faire… Ras le bol !
D'ailleurs, j'espère que personne ne me contredira lorsque j'aurai souligné la réactivité du Snav (Voyez cher Georges Colson, quand c'est bien je le dis, d'ailleurs, je dis toujours la vérité) qui est immédiatement monté au créneau.
Vrai que la Commission Air du Syndicat a saisi la balle au bond. Vrai que, dans son communiqué, signé Jean-Pierre Mas (Pdt. de la Commission Air, ndDG).
Ce dernier souligne l'importance de l'agence de voyage qui, ayant vendu un billet d'avion à son client, va tenter de tout faire pour lui trouver un moyen d'accomplir son voyage.
Et j'en ai rencontré quelques unes, hier, qui se démenaient pour trouver des solutions. Pour elles, d'ailleurs, la routine, pour une marge de misère...
Oh, j'en vois qui vont trouver un arrière-goût de campagne électorale à cette démarche. Pas bien !
N'empêche que cette démarche est la bonne et qu'il aurait fallu aller un tout petit peu plus loin, solliciter les grandes chaines radios ou télés. Mais c'est un premier pas.
Vous remarquerez que je n'ai même pas causé de Mademoiselle Pinel, visiblement pas concernée, malgré sa nouvelle notoriété de pourchasseuse d'auto-entrepreneurs…
Autres articles