Concernant le package dynamique lancé il y a un an et demi, P.P. reconnaît que le démarrage n'a pas été facile, la France étant moins "accro" à ce système que dans les pays anglo-saxons.
Cependant, "les ventes se mettent à décoller depuis un mois et ce produit représenterait maintenant 7% du CA de l'entreprise soit 55 % de forfaits. L'entreprise table sur la rentabilité cette année avec une croissance sur les 9 derniers mois aux alentours de 40 % et un CA qui se situerait aux environs de 220 millions d'euros.
Les prix bas ne sont pas antinomiques avec la qualité
Si les produits haut de gamme intéressent Lastminute qui a ouvert en mai dernier une section luxe dans la partie séjours du site, P.P. s'affirme davantage comme un "Darty" du voyage avec prix choix et service. "Nous sommes les seuls à proposer autant de loisirs comme le parachutisme, les sorties spectacles, les voitures, les restaurants..."
Concernant, la contradiction prix-produit, il estime que les prix bas ne sont pas antinomiques avec la qualité et revendique le caractère hétéroclite des produits pour éviter "de s'encroûter dans le ronron d'un métier, de surprendre par le fait de faire zig quand les autres font zag..."
Billetterie train, chasse gardée de la Sncf
Il note que la vente de billetterie train est la chasse gardée de la Sncf qui en assure 98 % avec un seul site et les 2 % restants étant vendus par 85 autres sites, et est persuadé qu'il gagnera son procès contre Voyages-Sncf et dit avoir le soutien de Promovacances et du SNAV sur ce sujet.
Le PDG de Lastminute qui avoue gagner 10 % sur une nuit d'hôtel à 150 euros, reconnaît un salaire d'environ 150.000 euros par an et mentionne les implantations physiques d'agences parmi les grandes tendances pour les années à venir .
Le tchat complet sur le Journal du Net : cliquer ici
J.daL. - redaction@tourmag.com
Cependant, "les ventes se mettent à décoller depuis un mois et ce produit représenterait maintenant 7% du CA de l'entreprise soit 55 % de forfaits. L'entreprise table sur la rentabilité cette année avec une croissance sur les 9 derniers mois aux alentours de 40 % et un CA qui se situerait aux environs de 220 millions d'euros.
Les prix bas ne sont pas antinomiques avec la qualité
Si les produits haut de gamme intéressent Lastminute qui a ouvert en mai dernier une section luxe dans la partie séjours du site, P.P. s'affirme davantage comme un "Darty" du voyage avec prix choix et service. "Nous sommes les seuls à proposer autant de loisirs comme le parachutisme, les sorties spectacles, les voitures, les restaurants..."
Concernant, la contradiction prix-produit, il estime que les prix bas ne sont pas antinomiques avec la qualité et revendique le caractère hétéroclite des produits pour éviter "de s'encroûter dans le ronron d'un métier, de surprendre par le fait de faire zig quand les autres font zag..."
Billetterie train, chasse gardée de la Sncf
Il note que la vente de billetterie train est la chasse gardée de la Sncf qui en assure 98 % avec un seul site et les 2 % restants étant vendus par 85 autres sites, et est persuadé qu'il gagnera son procès contre Voyages-Sncf et dit avoir le soutien de Promovacances et du SNAV sur ce sujet.
Le PDG de Lastminute qui avoue gagner 10 % sur une nuit d'hôtel à 150 euros, reconnaît un salaire d'environ 150.000 euros par an et mentionne les implantations physiques d'agences parmi les grandes tendances pour les années à venir .
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