Stanislas Brun, 44 ans, a un profil polyvalent dans l’opérationnel - DR
Il est sportif, très, pendant ses études, il avait même pensé devenir prof de gym, mais le DESS comportait un stage dans une entreprise de tourisme sportif. Et voilà comment le vent tourne.
Pendant ses trois mois chez un TO parisien, il rencontre un fou de windsurf, créateur du marché des voyages windsurf.
Après un an de collaboration, ils s’associent pour se diversifier et lancer la destination Cap Vert sur le marché français. Et l’Education nationale a ainsi perdu un prof motivé.
« J’ai travaillé pendant 15 ans pour notre société, Autre Mer Voyages, basée à Marseille.
J’y ai tout fait, tout appris, depuis la prise de devis jusqu’au service après-vente, ainsi que les relations BtoB car les agences avaient vite repéré notre connaissance du terrain et nous consultaient beaucoup pour les séjours à la carte. »
Pendant ses trois mois chez un TO parisien, il rencontre un fou de windsurf, créateur du marché des voyages windsurf.
Après un an de collaboration, ils s’associent pour se diversifier et lancer la destination Cap Vert sur le marché français. Et l’Education nationale a ainsi perdu un prof motivé.
« J’ai travaillé pendant 15 ans pour notre société, Autre Mer Voyages, basée à Marseille.
J’y ai tout fait, tout appris, depuis la prise de devis jusqu’au service après-vente, ainsi que les relations BtoB car les agences avaient vite repéré notre connaissance du terrain et nous consultaient beaucoup pour les séjours à la carte. »
Les gros opérateurs sont arrivés et le business s'est fait rare
Le Cap Vert n’est effectivement pas une destination facile. A l’époque où les deux amis s’y implantent, il n’existe pas encore d’offre généraliste.
Ils ont le temps de trouver les bons interlocuteurs, de nouer un réseau avec les meilleurs et de comprendre les rouages de l’archipel.
« Nous n’étions pas très orientés balnéaire à l’époque, ce n’est pas la spécificité de ces îles. Nous avions une clientèle découverte, qui demandait souvent des combinés inter-îles, pas toujours faciles à mettre en place. Cela nous a aguerris. »
En parallèle, le TO développe d’autres destinations ciblées windsurf et kite-surf, la Corse, le Brésil entre autres.
Mais sont arrivés les gros opérateurs et leur logique de stocks, et « les petits TO ont des difficultés à mettre en avant leur vraie valeur ajoutée face à eux ». Le business se fait rare, et les associés se séparent il y a deux mois.
Ils ont le temps de trouver les bons interlocuteurs, de nouer un réseau avec les meilleurs et de comprendre les rouages de l’archipel.
« Nous n’étions pas très orientés balnéaire à l’époque, ce n’est pas la spécificité de ces îles. Nous avions une clientèle découverte, qui demandait souvent des combinés inter-îles, pas toujours faciles à mettre en place. Cela nous a aguerris. »
En parallèle, le TO développe d’autres destinations ciblées windsurf et kite-surf, la Corse, le Brésil entre autres.
Mais sont arrivés les gros opérateurs et leur logique de stocks, et « les petits TO ont des difficultés à mettre en avant leur vraie valeur ajoutée face à eux ». Le business se fait rare, et les associés se séparent il y a deux mois.
Stanislas vise un poste à responsabilité
Le problème de Stanislas aujourd’hui, à 44 ans, est peut-être de choisir parmi ses compétences. « J’ai un profil polyvalent dans l’opérationnel. Je maîtrise la chaîne fonctionnelle et j’ai une vision globale du marché. »
Avec 15 ans d’ancienneté et de gestion d’un petit TO, il vise bien sûr un poste à responsabilité et ne serait pas contre retenter l’aventure d’une création de société.
Il est attiré par le commercial aérien, et se tourne aussi vers une mise à niveau en tourisme corporate, « j’ai toujours travaillé dans le loisir, mais le métier de Travel Manager m’intéresse beaucoup, j’ai adhéré à l’association pour être prêt à toute éventualité ».
Dans la vie comme sur les courts de tennis, qu’il pratique à haut niveau, en famille, Stanislas est un battant.
« Je travaille dur, tout simplement. Je vais toujours au-delà de ce qu’on me demande, c’est ma façon d’être, et je reste attentif au fonctionnement de l’entreprise en permanence. »
Enthousiasme et professionnalisme, fraîcheur et expérience, il n’en faut pas plus pour nous donner envie de hisser Stanislas au rang de candidat du mois.
Avec 15 ans d’ancienneté et de gestion d’un petit TO, il vise bien sûr un poste à responsabilité et ne serait pas contre retenter l’aventure d’une création de société.
Il est attiré par le commercial aérien, et se tourne aussi vers une mise à niveau en tourisme corporate, « j’ai toujours travaillé dans le loisir, mais le métier de Travel Manager m’intéresse beaucoup, j’ai adhéré à l’association pour être prêt à toute éventualité ».
Dans la vie comme sur les courts de tennis, qu’il pratique à haut niveau, en famille, Stanislas est un battant.
« Je travaille dur, tout simplement. Je vais toujours au-delà de ce qu’on me demande, c’est ma façon d’être, et je reste attentif au fonctionnement de l’entreprise en permanence. »
Enthousiasme et professionnalisme, fraîcheur et expérience, il n’en faut pas plus pour nous donner envie de hisser Stanislas au rang de candidat du mois.