En 2002, année de son ouverture, le parc a enregistré 628.000 entrées. La société gestionnaire (dont la région est actionnaire majoritaire) prévoyait une fréquentation moyenne de 800.000 visiteurs les années suivantes. Mais le nombre d'entrées a chuté de 38% depuis, pour stagner à 387.000 entrées payantes en 2004, provoquant un déficit d'exploitation de 1,7 million d'euros.
L'audit avait été commandé après l'élection de Pierre-Joël Bonté (PS) à la tête du conseil régional d'Auvergne, succédant à Valéry Giscard d'Estaing, le père du projet Vulcania. Il souligne que le parc est "une réussite architecturale", mais que l'argent mis dans les murs (118 millions d'euros) manque à la scénographie et au contenu (12 millions d'euros investis).
Parc pensé sans concertation
"Vulcania n'est pas une locomotive touristique attirant en masse de nouveaux touristes en Auvergne. On ne vient pas en Auvergne pour voir Vulcania", regrette l'audit.
Le parc "a été pensé et construit seul, sans concertation. C'est au contraire dans les échanges et l'intégration de Vulcania dans l'offre touristique de l'Auvergne qui présidera aux décisions futures", a estimé Pierre-Joël Bonté dans un communiqué.
Le nouveau président de la région, et à ce titre président de la société gestionnaire du parc, s'est donné "jusqu'au mois de juin pour définirles mesures souhaitables pour relancer Vulcania".
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
L'audit avait été commandé après l'élection de Pierre-Joël Bonté (PS) à la tête du conseil régional d'Auvergne, succédant à Valéry Giscard d'Estaing, le père du projet Vulcania. Il souligne que le parc est "une réussite architecturale", mais que l'argent mis dans les murs (118 millions d'euros) manque à la scénographie et au contenu (12 millions d'euros investis).
Parc pensé sans concertation
"Vulcania n'est pas une locomotive touristique attirant en masse de nouveaux touristes en Auvergne. On ne vient pas en Auvergne pour voir Vulcania", regrette l'audit.
Le parc "a été pensé et construit seul, sans concertation. C'est au contraire dans les échanges et l'intégration de Vulcania dans l'offre touristique de l'Auvergne qui présidera aux décisions futures", a estimé Pierre-Joël Bonté dans un communiqué.
Le nouveau président de la région, et à ce titre président de la société gestionnaire du parc, s'est donné "jusqu'au mois de juin pour définirles mesures souhaitables pour relancer Vulcania".
La Rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com