Répondant à la députée UMP de Gironde Marie-Hélène des Esgaulx sur les "inquiétudes" que connaît le secteur, le ministre a reconnu qu'il est "vrai" que l'on "sort d'une crise", mais que 2004 et 2005 s'annoncent "plus positives" selon l'OMT (Organisation mondiale du tourisme).
"Le temps de l'autosatisfaction est révolu", a-t-il toutefois reconnu, faisant allusion aux années où il suffisait à la France de camper sur sa position de "première destination mondiale", une place qui lui est maintenant disputée, notamment par la Chine.
"Le gouvernement a réagi, il faut que les professionnels le fassent aussi..."
Par ailleurs, en recettes touristiques, la France n'est que troisième derrière les Etats-Unis et l'Espagne. Il a rappelé l'action du gouvernement avec les récents Comités interministériels du tourisme et les Assises du tourisme.
"Nous avons mis en place un certain nombre d'outils qui devraient permettre d'avancer", a dit M. Bertrand, évoquant également "les progès à faire" dans la qualité et l'accueil.
"Nous sommes sur la bonne voie", a-t-il estimé, mais "plus que jamais le partenariat public-privé est une nécessité". "Le gouvernement a réagi, a-t-il ajouté. Il faut que les professionnels le fassent aussi". "J'ai confiance", a-t-il conclu.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com
"Le temps de l'autosatisfaction est révolu", a-t-il toutefois reconnu, faisant allusion aux années où il suffisait à la France de camper sur sa position de "première destination mondiale", une place qui lui est maintenant disputée, notamment par la Chine.
"Le gouvernement a réagi, il faut que les professionnels le fassent aussi..."
Par ailleurs, en recettes touristiques, la France n'est que troisième derrière les Etats-Unis et l'Espagne. Il a rappelé l'action du gouvernement avec les récents Comités interministériels du tourisme et les Assises du tourisme.
"Nous avons mis en place un certain nombre d'outils qui devraient permettre d'avancer", a dit M. Bertrand, évoquant également "les progès à faire" dans la qualité et l'accueil.
"Nous sommes sur la bonne voie", a-t-il estimé, mais "plus que jamais le partenariat public-privé est une nécessité". "Le gouvernement a réagi, a-t-il ajouté. Il faut que les professionnels le fassent aussi". "J'ai confiance", a-t-il conclu.
La rédaction avec AFP - redaction@tourmag.com