Clap de fin pour Level Europe, avec la fermeture des bases de Vienne et Amsterdam © IAG
Level Europe (Autriche), qui a stoppé tous ses vols au sol à partir de mars 2020, vient d'annoncer qu'elle cesse ses activités avec effet immédiat.
La compagnie low cost basée à Vienne qui assurait des destinations court et moyen-courriers, ne revolera plus. Dans un communiqué, la filiale d'IAG indique être entrée en insolvabilité ce 18 juin 2020.
Un administrateur va être nommé dans les prochains jours. D'ores et déjà, les bases de Vienne et Amsterdam sont fermées. Pour le moment, celles de Paris Orly et Barcelone ne sont pas concernées.
Déjà depuis quelques temps, les rumeurs couraient sur la santé financière de Level Europe.
La compagnie low cost basée à Vienne qui assurait des destinations court et moyen-courriers, ne revolera plus. Dans un communiqué, la filiale d'IAG indique être entrée en insolvabilité ce 18 juin 2020.
Un administrateur va être nommé dans les prochains jours. D'ores et déjà, les bases de Vienne et Amsterdam sont fermées. Pour le moment, celles de Paris Orly et Barcelone ne sont pas concernées.
Déjà depuis quelques temps, les rumeurs couraient sur la santé financière de Level Europe.
Quid d'Orly ?
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Certaines évoquaient déjà les fermetures des bases de Barcelone et de Paris pour un rapatriement des activités à Londres Gatwick. Les doutes sur l’avenir de la compagnie low cost étaient renforcés par le climat tendu au sein d’IAG.
En janvier dernier, Level avait arrêté ses nouvelles dessertes américaines depuis Orly, seulement quelques semaines après leur lancement.
La première compagnie du groupe, British Airways, a d’ores et déjà annoncé un plan de suppression de 12 000 emplois, soit plus d’un quart de ses effectifs.
Lire aussi : IAG : Level, pas vraiment au niveau après le Covid-19 ?
En janvier dernier, Level avait arrêté ses nouvelles dessertes américaines depuis Orly, seulement quelques semaines après leur lancement.
La première compagnie du groupe, British Airways, a d’ores et déjà annoncé un plan de suppression de 12 000 emplois, soit plus d’un quart de ses effectifs.
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