Chaque année, dans un cadre unique, l’édifice accueille l’« Estival de la Bâtie », un festival offrant danse, théâtre, cirque, musiques du monde et musique classique - DR : Nikole Daussin, La Batie d'Urfé
Du mont Gerbier-de-Jonc à Saint-Nazaire, la Loire est le plus long fleuve de France, avec plus de 1000 km.
Célèbre pour ses châteaux de la Renaissance, bâtis en Sologne, le long fleuve a aussi donné son nom à un département qu’il parcourt du sud au nord.
A quelques encablures de sa source, la Loire chemine dans des gorges aux parois abruptes, offrant un miroir aux communes qu’elle traverse.
Dominé par les monts du Forez et du Pilat, le département éponyme est une vaste campagne à portée de villes.
Jadis réputée pour Manufrance, ses cycles, ses armureries, Saint-Etienne, la préfecture, encore au vert avec ses footballeurs, porte toujours les couleurs du dynamisme et du design, en particulier avec son musée d’Art Moderne et contemporain.
Ancienne capitale de la bonneterie, Roanne affiche toujours ses belles et bonnes étoiles avec la table de Michel Troisgros, digne successeur de son père Pierre et de son oncle Jean.
Montbrison, la « Venise médiévale » invite à la flânerie dans ses ruelles du centre-ville.
C’est aussi sur ce territoire qu’ont été construits les premiers châteaux de la Loire, comme celui de la Bâtie, à Saint-Etienne-le-Molard.
Chaque année, dans un cadre unique, l’édifice accueille l’« Estival de la Bâtie », un festival offrant danse, théâtre, cirque, musiques du monde et musique classique.
Célèbre pour ses châteaux de la Renaissance, bâtis en Sologne, le long fleuve a aussi donné son nom à un département qu’il parcourt du sud au nord.
A quelques encablures de sa source, la Loire chemine dans des gorges aux parois abruptes, offrant un miroir aux communes qu’elle traverse.
Dominé par les monts du Forez et du Pilat, le département éponyme est une vaste campagne à portée de villes.
Jadis réputée pour Manufrance, ses cycles, ses armureries, Saint-Etienne, la préfecture, encore au vert avec ses footballeurs, porte toujours les couleurs du dynamisme et du design, en particulier avec son musée d’Art Moderne et contemporain.
Ancienne capitale de la bonneterie, Roanne affiche toujours ses belles et bonnes étoiles avec la table de Michel Troisgros, digne successeur de son père Pierre et de son oncle Jean.
Montbrison, la « Venise médiévale » invite à la flânerie dans ses ruelles du centre-ville.
C’est aussi sur ce territoire qu’ont été construits les premiers châteaux de la Loire, comme celui de la Bâtie, à Saint-Etienne-le-Molard.
Chaque année, dans un cadre unique, l’édifice accueille l’« Estival de la Bâtie », un festival offrant danse, théâtre, cirque, musiques du monde et musique classique.
Cap sur la Méditerranée avec plus de 40 représentations
Chaque été, l’événement organisé par le département de la Loire rencontre un public éclectique, amateur d’arts vivants.
Cette année, 13 000 personnes sont attendues durant douze jours, dans le cadre du château de la Bâtie d’Urfé, pour plus de 40 représentations.
Le cru 2018 met le cap sur la Méditerranée. Du flamenco à la tarentelle napolitaine, en passant par les chants de la côte algérienne, l’Estival accueille dans sa cour d’honneur des artistes dont le souhait est de faire partager leur passion pour leur musique et danse traditionnelle.
Les parrains, quant à eux, invitent à une découverte de la musique classique, à travers les grandes œuvres revisitées. C’est en quelque sorte la marque de fabrique de l’Estival.
Au programme : les pièces romantiques et impressionnistes de Berlioz, Dvorak et Ravel jouées par l’ "Orchestre symphonique Ose !", dirigé par Daniel Kawka, une flûte enchantée au texte modernisé et la vie du compositeur Georges Cziffra contée et jouée au piano par Pascal Amoyel.
Durant le week-end, la cour d’honneur reçoit des artistes d’exception tels que Souad Massi, Plaza Francia Orchestra, le duo du cirque de la compagnie d’Irque & fien, Lalala Napoli…
Autant de soirées chaleureuses, précédées d’apéritifs concerts et pourquoi pas, prolongées par les « grandes tablées des festivaliers ».
Cette année, 13 000 personnes sont attendues durant douze jours, dans le cadre du château de la Bâtie d’Urfé, pour plus de 40 représentations.
Le cru 2018 met le cap sur la Méditerranée. Du flamenco à la tarentelle napolitaine, en passant par les chants de la côte algérienne, l’Estival accueille dans sa cour d’honneur des artistes dont le souhait est de faire partager leur passion pour leur musique et danse traditionnelle.
Les parrains, quant à eux, invitent à une découverte de la musique classique, à travers les grandes œuvres revisitées. C’est en quelque sorte la marque de fabrique de l’Estival.
Au programme : les pièces romantiques et impressionnistes de Berlioz, Dvorak et Ravel jouées par l’ "Orchestre symphonique Ose !", dirigé par Daniel Kawka, une flûte enchantée au texte modernisé et la vie du compositeur Georges Cziffra contée et jouée au piano par Pascal Amoyel.
Durant le week-end, la cour d’honneur reçoit des artistes d’exception tels que Souad Massi, Plaza Francia Orchestra, le duo du cirque de la compagnie d’Irque & fien, Lalala Napoli…
Autant de soirées chaleureuses, précédées d’apéritifs concerts et pourquoi pas, prolongées par les « grandes tablées des festivaliers ».
Coups de cœur
Hotel : La Charpinière est située à Saint Galmier, à 20 minutes du château de la Bâtie.
Dans un parc arboré de 3 hectares, l’hôtel propose 28 chambres Tradition (146€) et 26 chambres Privilège (161€). Ancienne gentilhommière tapissée de vigne vierge, l’hôtel 4 étoiles a été entièrement rénové en 2017, dans une décoration sobre et cosy. Ce Relais du silence dispose d’une piscine extérieure, d’un espace détente et bien-être et de deux restaurants (gastro et brasserie).
www.lacharpiniere.com
Restaurant : Egalement à Saint Galmier, l’Amphitryon, dans un cadre baroque, s’applique à proposer des plats surprenants comme le foie gras en croûte de lentille, le gaspacho d’aubergine et maki de tofu, le saltimbocca de veau aux pâtes.
La maison privilégie les produits locaux et vins de pays comme les Côtes de Loire ou du roannais, mais aussi l’eau de Badoit, produite sur place.
En semaine le menu déjeuner (15/ 17 €) est d’un excellent rapport qualité-prix.
Tel : 04 77 56 33 39
Dans un parc arboré de 3 hectares, l’hôtel propose 28 chambres Tradition (146€) et 26 chambres Privilège (161€). Ancienne gentilhommière tapissée de vigne vierge, l’hôtel 4 étoiles a été entièrement rénové en 2017, dans une décoration sobre et cosy. Ce Relais du silence dispose d’une piscine extérieure, d’un espace détente et bien-être et de deux restaurants (gastro et brasserie).
www.lacharpiniere.com
Restaurant : Egalement à Saint Galmier, l’Amphitryon, dans un cadre baroque, s’applique à proposer des plats surprenants comme le foie gras en croûte de lentille, le gaspacho d’aubergine et maki de tofu, le saltimbocca de veau aux pâtes.
La maison privilégie les produits locaux et vins de pays comme les Côtes de Loire ou du roannais, mais aussi l’eau de Badoit, produite sur place.
En semaine le menu déjeuner (15/ 17 €) est d’un excellent rapport qualité-prix.
Tel : 04 77 56 33 39
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