« Go to Madagascar » : des pros solidaires
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Les principaux tour-opérateurs réceptifs, hôteliers, organisateurs de circuits, propriétaires d'éco-lodges et de parcs naturels, compagnies aériennes privées se sont regroupés dans une association : Go TO Mada (Groupement des Opérateurs du Tourisme de Madagascar). Site : www.go2mada.com
L'association qui a son siège à Antananarivo fut créée durant la crise politique de 2001/2002. « Ce fut la plus difficile. Nous sommes restés bloqués durant six mois. Nous nous sommes regroupés afin de reprendre les choses en main » explique Vincent Desobry, patron d'Océane Voyages.
Aujourd'hui Go2 Mada qui regroupe plus de 70 opérateurs qui représentent 70 % du tourisme réceptif malgache. Très impliqués ils avaient posé les premiers jalons de l'Office de Tourisme du pays et donné du sens au tourisme durable sur cette île aux ressources naturelles multiples et fragiles à la fois.
« Le tourisme durable doit être rentable et socialement acceptable et accepté. Il doit aussi amener les populations locales à respecter l'environnement naturel, à ne plus déboiser en dépit du poids des traditions » souligne le président fondateur de l'association.
Si la déforestation est l'un des grands problèmes de Madagascar, le charbon de bois lui, il est essentiel pour la vie des populations. Parlez-leur de « butane » et ils vous riront au nez : un butane et sa recharge équivalent à deux mois de « salaire ». Alors, ils n'ont pas le choix.
Aujourd'hui, toujours très actifs à l'intérieur et à l'extérieur de leur pays les membres de l'association font du lobbying. Ils se déplacent en Europe et sur les marché de proximité que sont l'Afrique du Sud ou la Réunion. Ils organisent des work-shops, participent à l'élaboration d'un « master plan » pour la relance du tourisme.
L'association qui a son siège à Antananarivo fut créée durant la crise politique de 2001/2002. « Ce fut la plus difficile. Nous sommes restés bloqués durant six mois. Nous nous sommes regroupés afin de reprendre les choses en main » explique Vincent Desobry, patron d'Océane Voyages.
Aujourd'hui Go2 Mada qui regroupe plus de 70 opérateurs qui représentent 70 % du tourisme réceptif malgache. Très impliqués ils avaient posé les premiers jalons de l'Office de Tourisme du pays et donné du sens au tourisme durable sur cette île aux ressources naturelles multiples et fragiles à la fois.
« Le tourisme durable doit être rentable et socialement acceptable et accepté. Il doit aussi amener les populations locales à respecter l'environnement naturel, à ne plus déboiser en dépit du poids des traditions » souligne le président fondateur de l'association.
Si la déforestation est l'un des grands problèmes de Madagascar, le charbon de bois lui, il est essentiel pour la vie des populations. Parlez-leur de « butane » et ils vous riront au nez : un butane et sa recharge équivalent à deux mois de « salaire ». Alors, ils n'ont pas le choix.
Aujourd'hui, toujours très actifs à l'intérieur et à l'extérieur de leur pays les membres de l'association font du lobbying. Ils se déplacent en Europe et sur les marché de proximité que sont l'Afrique du Sud ou la Réunion. Ils organisent des work-shops, participent à l'élaboration d'un « master plan » pour la relance du tourisme.