Les croisières rapportent à Monaco 150 euros par jour en moyenne et près de 500 euros pour la croisière de luxe !
Le trafic croisière autrefois marginal de Monaco, a rattrapé celui du port de Nice et a largement dépassé celui de Cannes. Cette année, le port de Monaco accueillera 208 croisières et 190.000 passagers. Une croisière dont la caractéristique première et le haut de gamme avec une clientèle à haut pouvoir d’achat (150 euros par jour en moyenne et près de 500 euros pour la croisière de luxe !).
Phénomène nouveau, la hausse continue de tête de lignes (76 cette année) qui permettent à la Principauté de bénéficier de retombées économiques supplémentaires avec l’hébergement à terre d’une clientèle qui profite d e l’embarquement ou du débarquement pour profiter de ses nombreux atouts touristiques.
Tout cela contribue à la bonne santé du tourisme monégasque. Les retombées économiques en Principauté de cette nouvelle activité sont évaluées entre 50 et 70 ME par an autant dire l’investissement sur la digue sera rapidement amorti.
Plaisance privée : près d’un million d’euros les dépenses annuelles
Le poids de cette économie maritime était le thème d’un petit-déjeuner organisé par la JCE de Monaco le 4 juillet en présence d’Aleco Keusseoglou, président délégué de la société ses ports de Monaco (Hercule et Fontvieille), Pierre Yves Canton, président de l’association monégasque des services à la croisière et Luc Pettavino, président de la chambre monégasque du yachting.
Quant à la plaisance privée, les études évaluent les retombées à près d’un million d’euros les dépenses annuelles liées à un yacht de plus de 60 m. Trente places pour unité de ce type seront créées dans le nouveau bassin du port Hercule.
La plaisance est aussi génératrice de ressources financières. La loi monégasque impose à l’acquéreur d’un yacht en principauté de déposer 10 % du montant d de la facture sur un compte monégasque au titre de garantie. Somme qui monte à 50 % lors d’une location en charter.
Phénomène nouveau, la hausse continue de tête de lignes (76 cette année) qui permettent à la Principauté de bénéficier de retombées économiques supplémentaires avec l’hébergement à terre d’une clientèle qui profite d e l’embarquement ou du débarquement pour profiter de ses nombreux atouts touristiques.
Tout cela contribue à la bonne santé du tourisme monégasque. Les retombées économiques en Principauté de cette nouvelle activité sont évaluées entre 50 et 70 ME par an autant dire l’investissement sur la digue sera rapidement amorti.
Plaisance privée : près d’un million d’euros les dépenses annuelles
Le poids de cette économie maritime était le thème d’un petit-déjeuner organisé par la JCE de Monaco le 4 juillet en présence d’Aleco Keusseoglou, président délégué de la société ses ports de Monaco (Hercule et Fontvieille), Pierre Yves Canton, président de l’association monégasque des services à la croisière et Luc Pettavino, président de la chambre monégasque du yachting.
Quant à la plaisance privée, les études évaluent les retombées à près d’un million d’euros les dépenses annuelles liées à un yacht de plus de 60 m. Trente places pour unité de ce type seront créées dans le nouveau bassin du port Hercule.
La plaisance est aussi génératrice de ressources financières. La loi monégasque impose à l’acquéreur d’un yacht en principauté de déposer 10 % du montant d de la facture sur un compte monégasque au titre de garantie. Somme qui monte à 50 % lors d’une location en charter.