Le superbe Vista Palace, accroché tel un nid d’aigle, au-dessus de la Principauté, est dans l’attente d’une décision du Tribunal de Commerce de Nice qui devrait intervenir en septembre 2014.
Au cours de l’été, l’administrateur judiciaire n’a pas hésité à publier une annonce pour trouver un repreneur à la fois sur le bien immobilier que l’exploitation hôtelière.
L'objectif est de présenter toutes les solutions possibles. Le bien immobilier possède une valeur indéniable du fait de sa situation. Mais la solution d’une continuation d’une exploitation hôtelière semble privilégiée pour l’intérêt économique.
On sait que l’intérêt des promoteurs pour ce type de produit est actuellement très fort, comme l’illustre récemment la transformation du Palais Maeterlinck, ex 4 étoiles, en résidence immobilière de luxe ou celle à venir du Park Hôtel (ex Boscolo) dans le centre-ville de Nice.
La disparition d’une offre hôtelière haut de gamme compromet par ailleurs la volonté de la Côte d’Azur de se positionner sur le tourisme d’affaires.
Le propriétaire du Vista Palace, la société italienne Tank, propriété de deux fonds d'investissements, est en liquidation judiciaire.
L’exploitant actuel avance un "plan de continuation élaboré avec Ernst & Young". Il prévoit "d'éponger le passif, d’engager une restructuration et de dévoiler un plan d'investissement avec pour objectif un bénéfice net de 837 000 euros en 2016".
Mais cette offre convaincra-t-elle ? L'établissement, qui tourne avec près de 70 employés en saison, une trentaine en CDI, a réalisé en 2013 un chiffre d'affaires d'un peu plus de 5 millions d'euros, avec un déficit qui a entraîne la cessation de paiement et le lancement de la procédure.
Au cours de l’été, l’administrateur judiciaire n’a pas hésité à publier une annonce pour trouver un repreneur à la fois sur le bien immobilier que l’exploitation hôtelière.
L'objectif est de présenter toutes les solutions possibles. Le bien immobilier possède une valeur indéniable du fait de sa situation. Mais la solution d’une continuation d’une exploitation hôtelière semble privilégiée pour l’intérêt économique.
On sait que l’intérêt des promoteurs pour ce type de produit est actuellement très fort, comme l’illustre récemment la transformation du Palais Maeterlinck, ex 4 étoiles, en résidence immobilière de luxe ou celle à venir du Park Hôtel (ex Boscolo) dans le centre-ville de Nice.
La disparition d’une offre hôtelière haut de gamme compromet par ailleurs la volonté de la Côte d’Azur de se positionner sur le tourisme d’affaires.
Le propriétaire du Vista Palace, la société italienne Tank, propriété de deux fonds d'investissements, est en liquidation judiciaire.
L’exploitant actuel avance un "plan de continuation élaboré avec Ernst & Young". Il prévoit "d'éponger le passif, d’engager une restructuration et de dévoiler un plan d'investissement avec pour objectif un bénéfice net de 837 000 euros en 2016".
Mais cette offre convaincra-t-elle ? L'établissement, qui tourne avec près de 70 employés en saison, une trentaine en CDI, a réalisé en 2013 un chiffre d'affaires d'un peu plus de 5 millions d'euros, avec un déficit qui a entraîne la cessation de paiement et le lancement de la procédure.
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