DR ADP
Chez Marmara, le bilan du week-end n’était pas encore totalement tiré lundi en début d’après-midi, mais globalement, le seuil d’alerte n’a pas été atteint au cours du week-end, d’après Sébastien Boucher, le directeur de la communication.
Alors que le programme des charters est opéré à CDG plutôt qu’à Orly, plate-forme moins touchée par les intempéries de dimanche, les avions ont bien sûr accusé des retards plus ou moins importants.
Mais aucun vol charter n’a été annulé. Retards aussi sur les vols réguliers comme celui de la Royal Air Maroc entre Luxembourg et Agadir.
Pas de panique non plus chez Look Voyages même si, lundi après-midi, Cyril Cousin, le directeur commercial n’avait pas eu tous les rapports de vols.
« Il y a eu des retards de vols, de plusieurs heures pour certains d’entre eux, mais les avions ont fini par partir quand même ».
Alors que le programme des charters est opéré à CDG plutôt qu’à Orly, plate-forme moins touchée par les intempéries de dimanche, les avions ont bien sûr accusé des retards plus ou moins importants.
Mais aucun vol charter n’a été annulé. Retards aussi sur les vols réguliers comme celui de la Royal Air Maroc entre Luxembourg et Agadir.
Pas de panique non plus chez Look Voyages même si, lundi après-midi, Cyril Cousin, le directeur commercial n’avait pas eu tous les rapports de vols.
« Il y a eu des retards de vols, de plusieurs heures pour certains d’entre eux, mais les avions ont fini par partir quand même ».
Look Voyages : une dizaine de no show de clients
Look Voyages a constaté néanmoins une dizaine de no show de clients n’ayant pas pu se rendre à l’aéroport. Cyril Cousin s’attend donc à prendre quelques décisions commerciales.
« Dans certains cas, il est possible de négocier un report avec les prestataires terrestres mais, pour ce qui est des vols charters, ils nous ont été facturés.
Il faudra donc que les clients rachètent au moins la partie aérien s’ils souhaitent partir à une autre date. Sinon, tout est perdu car les intempéries sont un cas de force majeure ».
Des annulations au cas par cas, c’est également ce que gère Philippe Bertholet pour Best Tours. « J’ai, par exemple, une famille de deux adultes et deux enfants qui n’a pas pu partir. Il faut voir avec l’hôtelier s’il accepte un report ».
Mais Best Tours doit également prendre une décision pour rapatrier les clients français du vol de XL Airways en provenance de Phuket qui sera vraisemblablement bloqué lundi soir, et probablement jusqu'à mercredi à l’aéroport de Bruxelles qui est totalement à l’arrêt par manque crucial de produit de dégivrage.
« Dans certains cas, il est possible de négocier un report avec les prestataires terrestres mais, pour ce qui est des vols charters, ils nous ont été facturés.
Il faudra donc que les clients rachètent au moins la partie aérien s’ils souhaitent partir à une autre date. Sinon, tout est perdu car les intempéries sont un cas de force majeure ».
Des annulations au cas par cas, c’est également ce que gère Philippe Bertholet pour Best Tours. « J’ai, par exemple, une famille de deux adultes et deux enfants qui n’a pas pu partir. Il faut voir avec l’hôtelier s’il accepte un report ».
Mais Best Tours doit également prendre une décision pour rapatrier les clients français du vol de XL Airways en provenance de Phuket qui sera vraisemblablement bloqué lundi soir, et probablement jusqu'à mercredi à l’aéroport de Bruxelles qui est totalement à l’arrêt par manque crucial de produit de dégivrage.
FRAM : des problèmes avec le préacheminement
Héliades de son côté a dû gérer les retards des vols sur le Cap Vert aussi bien samedi que lundi. Le vol du Brésil lundi soir est également prévu de partir en retard, les appareils de XL Airways étant dépendants de la gestion du trafic à CDG.
« Nous n’avons pas eu à loger les clients car les départs, même retardés se sont effectués dans la journée.
Nous n’avons pas constaté de no show non plus car si les clients sont arrivés tardivement à l’aéroport, comme les avions étaient en retard, cela s’est plutôt bien arrangé ! », constate Jean Brajon, le directeur général.
Chez Fram, on fait la différence entre les vols charters et les vols réguliers. Si les vols charters sont tous partis avec, en moyenne deux à trois heures de retard en fonction des aéroports, certains clients en partance sur des vols réguliers ont rencontré davantage de difficultés.
« Nous avons eu le cas de compagnies qui ne voulaient enregistrer les clients que sur le pré acheminement et non sur l’ensemble du voyage ».
Une façon pour ces compagnies d’éviter à avoir à prendre en charge ces clients au cas où la connexion ne pouvait se faire dans les différents hubs européens…
Quelques cas sont ainsi en cours de négociation…
« Nous n’avons pas eu à loger les clients car les départs, même retardés se sont effectués dans la journée.
Nous n’avons pas constaté de no show non plus car si les clients sont arrivés tardivement à l’aéroport, comme les avions étaient en retard, cela s’est plutôt bien arrangé ! », constate Jean Brajon, le directeur général.
Chez Fram, on fait la différence entre les vols charters et les vols réguliers. Si les vols charters sont tous partis avec, en moyenne deux à trois heures de retard en fonction des aéroports, certains clients en partance sur des vols réguliers ont rencontré davantage de difficultés.
« Nous avons eu le cas de compagnies qui ne voulaient enregistrer les clients que sur le pré acheminement et non sur l’ensemble du voyage ».
Une façon pour ces compagnies d’éviter à avoir à prendre en charge ces clients au cas où la connexion ne pouvait se faire dans les différents hubs européens…
Quelques cas sont ainsi en cours de négociation…