Car des quatre candidats déclarés en juillet 2005 soit Unibail Holding, de Gl Events, d’Acropolis Forum (Nice Acropolis et le groupe Turner) et de la chambre de commerce de Nice associé au groupe Cari, seul ce dernier restait en lice. Les autres avaient abandonné.
Mais ce candidat a des exigences comme un contrat d’affermage sur 10 ans, un plan de rénovation d’un montant de 10 ME HT financé par la ville et la restructuration de l’effectif toujours avec une aide de 3 ME HT de la ville, qui ont été jugées par cette dernière inacceptables.
Dans moins de 4 mois, le palais se retrouvera sans gestionnaire. L’association Nice Acropolis qui le gère bénéficiait déjà d’une prolongation de son contrat d’affermage sur deux ans. La situation devient difficile et la ville va devoir recourir à la négociation directe avec les 4 candidats déclarés auquel s’ajoute Expomédia qui s’est déclaré intéréssé il y quelques mois.
Depuis deux ans, la commercialisation du palais n’est plus assez performante, et la baisse de l’activité dans le tourisme d’affaires menace certains hôtels ayant beaucoup investi au cours des dernières années.
Selon le syndicat des hôteliers de Nice, l’hôtellerie réalise en partie avec le tourisme d’affaires un chiffre d’affaires annuel de 350 millions d’euros et emploie des milliers de personnes. Si cette activité chute, c’est l’avenir économique de Nice qui risque d’en pâtir…
Mais ce candidat a des exigences comme un contrat d’affermage sur 10 ans, un plan de rénovation d’un montant de 10 ME HT financé par la ville et la restructuration de l’effectif toujours avec une aide de 3 ME HT de la ville, qui ont été jugées par cette dernière inacceptables.
Dans moins de 4 mois, le palais se retrouvera sans gestionnaire. L’association Nice Acropolis qui le gère bénéficiait déjà d’une prolongation de son contrat d’affermage sur deux ans. La situation devient difficile et la ville va devoir recourir à la négociation directe avec les 4 candidats déclarés auquel s’ajoute Expomédia qui s’est déclaré intéréssé il y quelques mois.
Depuis deux ans, la commercialisation du palais n’est plus assez performante, et la baisse de l’activité dans le tourisme d’affaires menace certains hôtels ayant beaucoup investi au cours des dernières années.
Selon le syndicat des hôteliers de Nice, l’hôtellerie réalise en partie avec le tourisme d’affaires un chiffre d’affaires annuel de 350 millions d’euros et emploie des milliers de personnes. Si cette activité chute, c’est l’avenir économique de Nice qui risque d’en pâtir…