Radiales : Easyjet étudie Toulouse, Bordeaux…
François Bachetta (au centre, entouré d'Hervé de Place, directeur de l’aéroport (dte) et de Philip Soete, directeur marketing
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Entre l’aéroport et la low cost, c’est donc une belle histoire qui se poursuit depuis 15 ans.
Première ligne internationale entre Londres et Nice, c’est ici en 1996 que la compagnie s’est attaqué au marché intérieur avec la ligne vers Paris.
En 15 ans son trafic à Nice est passé de 56.000 à plus de 2 millions passagers en 2009. « On est le deuxième opérateur sur la plateforme et aussi au plan national derrière Air France. »
Easyjet poursuit les adaptations de son réseau niçois.
« On a supprimé un vol sur Roissy pour en créer un plus matinal vers Orly afin de répondre à la demande. » Inscrit en GDS, Easyjet souhaite accroître ses relations avec les agences de voyages tant pour la clientèle affaires que loisirs.
« Je vais rencontrer prochainement les gens d’Amadeus », annonce François Bacchetta.
Quand aux radiales domestiques, Easyjet n’exclut pas de s’y installer notamment au départ de Nice vers Toulouse, Bordeaux… « On est prêt on possède les appareils et les hommes. »
Il ne craint pas la réaction d’Air France qui pourrait contrer l’intrus avec Transavia. « Nous avons un savoir faire et un coût d’exploitation qui nous permettra d’y résister, » conclut avec un sourire qui en dit long François Bacchetta.
Première ligne internationale entre Londres et Nice, c’est ici en 1996 que la compagnie s’est attaqué au marché intérieur avec la ligne vers Paris.
En 15 ans son trafic à Nice est passé de 56.000 à plus de 2 millions passagers en 2009. « On est le deuxième opérateur sur la plateforme et aussi au plan national derrière Air France. »
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« On a supprimé un vol sur Roissy pour en créer un plus matinal vers Orly afin de répondre à la demande. » Inscrit en GDS, Easyjet souhaite accroître ses relations avec les agences de voyages tant pour la clientèle affaires que loisirs.
« Je vais rencontrer prochainement les gens d’Amadeus », annonce François Bacchetta.
Quand aux radiales domestiques, Easyjet n’exclut pas de s’y installer notamment au départ de Nice vers Toulouse, Bordeaux… « On est prêt on possède les appareils et les hommes. »
Il ne craint pas la réaction d’Air France qui pourrait contrer l’intrus avec Transavia. « Nous avons un savoir faire et un coût d’exploitation qui nous permettra d’y résister, » conclut avec un sourire qui en dit long François Bacchetta.