Plusieurs milliers de participants et leurs accompagnants sont attendus à la 7ème édition des Jeux de la Francophonie, à partir du 7 septembre 2013, à Nice.
Pour loger une partie des participants, la ville a dû louer un navire de croisière qui sera ancré au port de Nice.
La cérémonie d'ouverture sera présidée par le président de la République, en présence de six chefs d'État.
Contrairement aux Jeux olympiques, les Jeux de la Francophonie concernent à la fois le sport (athlétisme, basket-ball, football, handisport, judo, lutte, tennis de table) et la culture (arts de la rue, arts plastiques visuels, chanson, conte, danse de création, littérature, photographie).
Pour loger une partie des participants, la ville a dû louer un navire de croisière qui sera ancré au port de Nice.
La cérémonie d'ouverture sera présidée par le président de la République, en présence de six chefs d'État.
Contrairement aux Jeux olympiques, les Jeux de la Francophonie concernent à la fois le sport (athlétisme, basket-ball, football, handisport, judo, lutte, tennis de table) et la culture (arts de la rue, arts plastiques visuels, chanson, conte, danse de création, littérature, photographie).
La capacité hôtelière niçoise, un handicap ?
Toutefois, la manifestation pose la question de la capacité hôtelière niçoise qui, du fait de certaines fermetures, apparaît aujourd’hui insuffisante pour certains grands évènements.
« Nombre d’établissements de moins de 30 chambres vont fermer face aux nouvelles normes de sécurité ou d'accessibilité imposant de lourds investissements », prophétise Michel Tschann, président du syndicat des hôteliers de Nice.
Le CRT observe que depuis 2003, quasiment chaque année, une dizaine d'établissements ferment leurs portes soit un solde négatif de 87 hôtels en huit ans. Parallèlement, aucune création n’est venue combler le déficit.
Et l’accueil des Jeux de la Francophonie met en lumière ce qui pourrait constituer à terme un handicap pour la ville qui veut se doter d’un centre international d’exposition de plus de 70.000 m2.
« Nombre d’établissements de moins de 30 chambres vont fermer face aux nouvelles normes de sécurité ou d'accessibilité imposant de lourds investissements », prophétise Michel Tschann, président du syndicat des hôteliers de Nice.
Le CRT observe que depuis 2003, quasiment chaque année, une dizaine d'établissements ferment leurs portes soit un solde négatif de 87 hôtels en huit ans. Parallèlement, aucune création n’est venue combler le déficit.
Et l’accueil des Jeux de la Francophonie met en lumière ce qui pourrait constituer à terme un handicap pour la ville qui veut se doter d’un centre international d’exposition de plus de 70.000 m2.