Si tous les bénévoles des associations de défense de la nature qui se battent souvent sans moyen et souvent sans la moindre reconnaissance baissaient les bras à chaque déconvenue à cause d’un ego façon Hulot, l’écologie en serait encore au niveau de celle de Monsieur Trump - Photo Facebook
Panique dans le microcosme écologique : Nicolas Hulot a disparu volontairement de la scène politique.
Pour certains, cette démission serait un électrochoc qui permettrait un sursaut nécessaire à l’avancée de la cause écologique. Pour d’autres, cette démission serait un constat d’échec personnel.
Mais il est évident que les dossiers auxquels il souhaitait s’attaquer tels que les pesticides, l’artificialisation des sols, la diminution de la part du nucléaire dans la politique énergétique où la régression de la biodiversité sont quelques exemples de chantiers ouverts mais inachevés par l’intéressé.
Cet abandon en plein exercice de sa mission ne permettra pas à Nicolas Hulot de laisser une trace honorable dans l’histoire de la transition écologique car le cadre des actions était posé au plus haut niveau de l’état, les moyens structurels étaient ceux d’un ministère important avec trois secrétaires d’état, il semble que les états d’âme de Monsieur Hulot l’aient emporté sur la cause écologique dans sa prise de décision…
Il est plus facile de se « stariser » plutôt que d’effectuer un travail de fond sur un long terme.
Si tous les bénévoles des associations de défense de la nature qui se battent souvent sans moyen et souvent sans la moindre reconnaissance baissaient les bras à chaque déconvenue à cause d’un ego façon Hulot, l’écologie en serait encore au niveau de celle de Monsieur Trump.
Pour certains, cette démission serait un électrochoc qui permettrait un sursaut nécessaire à l’avancée de la cause écologique. Pour d’autres, cette démission serait un constat d’échec personnel.
Mais il est évident que les dossiers auxquels il souhaitait s’attaquer tels que les pesticides, l’artificialisation des sols, la diminution de la part du nucléaire dans la politique énergétique où la régression de la biodiversité sont quelques exemples de chantiers ouverts mais inachevés par l’intéressé.
Cet abandon en plein exercice de sa mission ne permettra pas à Nicolas Hulot de laisser une trace honorable dans l’histoire de la transition écologique car le cadre des actions était posé au plus haut niveau de l’état, les moyens structurels étaient ceux d’un ministère important avec trois secrétaires d’état, il semble que les états d’âme de Monsieur Hulot l’aient emporté sur la cause écologique dans sa prise de décision…
Il est plus facile de se « stariser » plutôt que d’effectuer un travail de fond sur un long terme.
Si tous les bénévoles des associations de défense de la nature qui se battent souvent sans moyen et souvent sans la moindre reconnaissance baissaient les bras à chaque déconvenue à cause d’un ego façon Hulot, l’écologie en serait encore au niveau de celle de Monsieur Trump.
Le tourisme n'a pas été évoqué par Nicolas Hulot
Le tourisme est un des chantiers que Nicolas Hulot n’avait pas abordé.
Pourtant avec ses 80 millions de visiteurs, la France est le premier pays d’accueil au monde et aurait dû donc être une des priorités d’un vaillant et éphémère combattant des lobbies.
Malheureusement cette activité réceptive non seulement n’est pas régie par des indicateurs fiables sur le plan statistique, mais ne fait l’objet d’aucune réflexion nationale sur l’encadrement de l’accueil des touristes sur notre territoire. Ce secteur réceptif au management essentiellement nationalisé et « fonctionnarisé » devrait prendre exemple sur nos métiers « out going », notamment dans le domaine du tourisme durable.
Depuis plusieurs années, des entreprises privées du tourisme consacrent des moyens pour mettre en place des mesures et des actions qui préservent les hommes et les environnements des pays dans les quels ils envoient leurs clients et font ainsi la promotion d’un tourisme plus respectueux.
Ce mouvement, sous l’impulsion d’une association comme ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) et réunissant des grands noms du Tour Operating n’a jamais démissionné malgré des difficultés et les résistances dues aux sensibilités politiques et sociales de chaque région du monde.
Pourtant avec ses 80 millions de visiteurs, la France est le premier pays d’accueil au monde et aurait dû donc être une des priorités d’un vaillant et éphémère combattant des lobbies.
Malheureusement cette activité réceptive non seulement n’est pas régie par des indicateurs fiables sur le plan statistique, mais ne fait l’objet d’aucune réflexion nationale sur l’encadrement de l’accueil des touristes sur notre territoire. Ce secteur réceptif au management essentiellement nationalisé et « fonctionnarisé » devrait prendre exemple sur nos métiers « out going », notamment dans le domaine du tourisme durable.
Depuis plusieurs années, des entreprises privées du tourisme consacrent des moyens pour mettre en place des mesures et des actions qui préservent les hommes et les environnements des pays dans les quels ils envoient leurs clients et font ainsi la promotion d’un tourisme plus respectueux.
Ce mouvement, sous l’impulsion d’une association comme ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) et réunissant des grands noms du Tour Operating n’a jamais démissionné malgré des difficultés et les résistances dues aux sensibilités politiques et sociales de chaque région du monde.
Nul besoin de star médiatique
Ces convictions sur le tourisme durable seront renforcées grâce au séminaire en Bretagne qu’organise ATR en septembre chez un de ses adhérents, SALAÜN HOLIDAYS pendant lequel il sera beaucoup question de compensation Carbone.
Les palmes du Tourisme Durable organisées pour la deuxième année par TourMaG.com et ATD (Acteurs du Tourisme durable) sont aussi un événement prouvant que le secteur touristique sait aussi s’organiser pour promouvoir les entreprises innovant dans le domaine du tourisme durable.
Ces initiatives privées sont la preuve qu’à l’instar du tourisme, chaque secteur économique peut travailler en profondeur sur une transition écologique adaptée à son cœur de métier sans avoir besoin d’une star médiatique pour respecter ses engagements.
Les palmes du Tourisme Durable organisées pour la deuxième année par TourMaG.com et ATD (Acteurs du Tourisme durable) sont aussi un événement prouvant que le secteur touristique sait aussi s’organiser pour promouvoir les entreprises innovant dans le domaine du tourisme durable.
Ces initiatives privées sont la preuve qu’à l’instar du tourisme, chaque secteur économique peut travailler en profondeur sur une transition écologique adaptée à son cœur de métier sans avoir besoin d’une star médiatique pour respecter ses engagements.
Les Palmes du Tourisme Durable 2018
Les Palmes du Tourisme Durable ont été créées par le groupe TourMaG.com et l'association ATD (Acteurs du Tourisme Durable) en 2017, dans le cadre de l'Année Internationale du Tourisme Durable pour le Développement.
Leur but : récompenser les professionnels qui s'investissent dans le tourisme durable ou s'engagent dans une démarche éco-responsable.
C'est votre cas ? Inscrivez-vous en remplissant le dossier de candidature sur le site des Palmes du Tourisme Durable
Suivez les Palmes du Tourisme du Durable sur Facebook !
Retrouvez les candidats aux Palmes du Tourisme Durable en cliquant ICI
Leur but : récompenser les professionnels qui s'investissent dans le tourisme durable ou s'engagent dans une démarche éco-responsable.
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Contactez Charlène Ravella Animatrice de réseau. ATD – Acteurs du Tourisme Durable
Par mail à l'adresse : info@tourisme-durable.org
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