Fastueuses villas de propriétaires terriens
Niigata a prospéré avec des activités tournées vers la mer. Lorsque, après 2 siècles de sakoku, fermeture du pays pendant la période d’Edo, son port s’ouvrit au commerce international, émergea alors une classe de riziculteurs, agriculteurs, marchands et financiers. Nouvellement enrichis et devenus propriétaires terriens, ils firent construire de magnifiques villas, résidences et hôtels particuliers dans le plus pur style traditionnel japonais, à l’instar de la Villa Saitō ou la résidence de famille Ozawa.
Le plus typique de ces résidences, le musée de la Culture du Nord, devenu un musée privé après la Seconde Guerre mondiale, appartenait au clan Ito. Outre la grande salle de réception ouverte sur le jardin, 65 pièces égrènent une collection de près de 6000 antiquités venues du Japon, de Chine et de Corée. Le jardin aux influences kyotoïtes n’est pas sans rappeler celui du Ginkaku-ji, le Pavillon d’Argent. Ce petit coin de paradis est propice à la contemplation des beautés de chaque saison : hanami au printemps, momijigari à l’automne.
Le plus typique de ces résidences, le musée de la Culture du Nord, devenu un musée privé après la Seconde Guerre mondiale, appartenait au clan Ito. Outre la grande salle de réception ouverte sur le jardin, 65 pièces égrènent une collection de près de 6000 antiquités venues du Japon, de Chine et de Corée. Le jardin aux influences kyotoïtes n’est pas sans rappeler celui du Ginkaku-ji, le Pavillon d’Argent. Ce petit coin de paradis est propice à la contemplation des beautés de chaque saison : hanami au printemps, momijigari à l’automne.
Activités agricoles et brasserie du saké
Dans l’arrière-pays de Niigata s’étend la grande plaine fertile d’Echigo. La proximité de la mer du Japon et la présence de fleuves, de lacs, plans d’eau et lagunes fait de la préfecture de Niigata une région propice à une production agricole riche et diversifiée.
On y pratique ainsi la riziculture, le maraîchage, la pêche et l’ostréiculture, ainsi que le brassage de saké. La brasserie Imayo Tsukasa est l’une des plus célèbres de la région. L’île de Sado compte également quelques plants de thé.
Les activités agricoles sont pratiquées dans le respect de la biodiversité locale. La richesse en nutriments des eaux locales est l’une des clés des saveurs du riz et du saké. Le riz Koshihikari, certifié, et les sakés locaux sont réputés parmi les meilleurs de tout l’Archipel nippon.
On y pratique ainsi la riziculture, le maraîchage, la pêche et l’ostréiculture, ainsi que le brassage de saké. La brasserie Imayo Tsukasa est l’une des plus célèbres de la région. L’île de Sado compte également quelques plants de thé.
Les activités agricoles sont pratiquées dans le respect de la biodiversité locale. La richesse en nutriments des eaux locales est l’une des clés des saveurs du riz et du saké. Le riz Koshihikari, certifié, et les sakés locaux sont réputés parmi les meilleurs de tout l’Archipel nippon.
Culture populaire, artisanat et arts du spectacle
Le souci environnemental prévalant dans la riziculture donne lieu à la réutilisation de la paille de riz. Une fois séchée, elle est tressée en vue de la fabrication des waraji, les sandales japonaises. Traditionnellement utilisées pour marcher dans les rizières, elles ne sont plus aujourd’hui portées que lors des matsuri.
Pendant l’ère Meiji, une culture de cour s’est développée autour du port de Niigata. Elle était destinée au divertissement des marins en escale. Les geishas locales, appelées geigi, donnaient des représentations très codifiées mêlant musique et danse. Une vingtaine de geigi perpétuent encore la tradition.
Au chapitre des arts du spectacle toujours, l’île de Sado est le berceau de l’ondeko, une danse du démon rythmée par un tambour (taiko). Certaines chorégraphies associent la danse du lion à la danse du diable. Près de 120 collectifs de villages continuent de donner des prestations lors des cérémonies et la danse du démon. Ces festivals sont célébrés dans les sanctuaires et chez les habitants des villages comme le Sanno-Hiyoshi à Niibo.
Le théâtre nō et le théâtre de marionnettes sont eux aussi profondément ancré sur l’île de Sado. Les masques nōmen sont peints à la main.
Au rayon culinaire, mochi-tsuki, le battage du mochi, ces gâteaux de riz gluant, prend la forme d’un fascinant cérémonial. Deux à trois personnes pétrissent la pâte et la frappent à l’aide de maillets. Si les mochis sont traditionnellement consommés au Nouvel An, cette confiserie est en réalité consommée tout au long de l’année.
Pendant l’ère Meiji, une culture de cour s’est développée autour du port de Niigata. Elle était destinée au divertissement des marins en escale. Les geishas locales, appelées geigi, donnaient des représentations très codifiées mêlant musique et danse. Une vingtaine de geigi perpétuent encore la tradition.
Au chapitre des arts du spectacle toujours, l’île de Sado est le berceau de l’ondeko, une danse du démon rythmée par un tambour (taiko). Certaines chorégraphies associent la danse du lion à la danse du diable. Près de 120 collectifs de villages continuent de donner des prestations lors des cérémonies et la danse du démon. Ces festivals sont célébrés dans les sanctuaires et chez les habitants des villages comme le Sanno-Hiyoshi à Niibo.
Le théâtre nō et le théâtre de marionnettes sont eux aussi profondément ancré sur l’île de Sado. Les masques nōmen sont peints à la main.
Au rayon culinaire, mochi-tsuki, le battage du mochi, ces gâteaux de riz gluant, prend la forme d’un fascinant cérémonial. Deux à trois personnes pétrissent la pâte et la frappent à l’aide de maillets. Si les mochis sont traditionnellement consommés au Nouvel An, cette confiserie est en réalité consommée tout au long de l’année.
TOKIMEKI SADO NIIGATA TOURISM ZONE
https://sado-niigata.com/
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Niigata Visitors & Convention Bureau
https://www.nvcb.or.jp/travelguide/en/
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