Avec Omicron, C’est une nouvelle période compliquée qui s’ouvre pour les agences de voyages qui vont être assaillies (c’est déjà le cas) par les b[clients affolés à l’idée de ne pouvoir rentrer à la maison./crédit DepositPhoto
Jusqu’à présent, tant bien que mal on parvenait à surfer sur cette énorme vague.
Les plus adroits arrivaient même à en sortir en passant par le “tube”.
Cette fois-ci, le “rouge écarlate” (mais pas que) ôte tout espoir à ceux qui voudront mais ne pourront rentrer. Nous y reviendrons.
L’Omicron va probablement réduire à néant tous les efforts et les progrès accomplis au cours des derniers mois.
Tant bien que mal, producteurs et distributeurs refaisaient leur apparition. Les Français reprenaient le chemin du voyage et des agences.
L’industrie se remettait à rêver de stratégie, de marketing et d’ouverture totale des frontières. Même les destinations les plus hermétiquement closes ouvraient des brèches.
Patatras ! Ce mercredi de triste mémoire l'huître s’est refermée et a englouti près de 20 mois d’espoirs, d’efforts, d’aides publiques, de PGE, de “Quoi qu’il en coûte”.
Nous sommes repartis sur une nouvelle galère et on se demande combien de mois il faudra ramer encore ?
Les plus adroits arrivaient même à en sortir en passant par le “tube”.
Cette fois-ci, le “rouge écarlate” (mais pas que) ôte tout espoir à ceux qui voudront mais ne pourront rentrer. Nous y reviendrons.
L’Omicron va probablement réduire à néant tous les efforts et les progrès accomplis au cours des derniers mois.
Tant bien que mal, producteurs et distributeurs refaisaient leur apparition. Les Français reprenaient le chemin du voyage et des agences.
L’industrie se remettait à rêver de stratégie, de marketing et d’ouverture totale des frontières. Même les destinations les plus hermétiquement closes ouvraient des brèches.
Patatras ! Ce mercredi de triste mémoire l'huître s’est refermée et a englouti près de 20 mois d’espoirs, d’efforts, d’aides publiques, de PGE, de “Quoi qu’il en coûte”.
Nous sommes repartis sur une nouvelle galère et on se demande combien de mois il faudra ramer encore ?
Omicron : 5 à 10 000 Français encore à l’Ile Maurice
Les clients vont certainement annuler en masse et cela aura des conséquences à court mais aussi à moyen terme.
La confiance dans les voyages à l’étranger va en pâtir également car les méthodes brutales de certains pays pour couper les flux migratoires ressemblent parfois à des actes de guerre.
Le Maroc est le dernier en date. Mais la France fait bien le job aussi, en bouclant en quelques heures ses aéroports à l’Afrique australe et en décrétant le “Rouge écarlate” à Maurice comme un fashion faux pas pour les voyageurs.
Une décision prise sans concertation et regrettée par les professionnels, EdV en tête.
C’est une nouvelle période compliquée qui s’ouvre pour les agences de voyages qui vont être assaillies (c’est déjà le cas) par les clients affolés à l’idée de ne pouvoir rentrer à la maison.
Des clients qu’il faudra, tant bien que mal, reprotéger et faire revenir. Encore faudrait-il que ce soit possible et que les transporteurs jouent le jeu.
La position du Gouvernement sur les retours est encore très floue. Nous devrions en apprendre davantage sur les modalités de rapatriement dans les heures et les jours à venir.
La confiance dans les voyages à l’étranger va en pâtir également car les méthodes brutales de certains pays pour couper les flux migratoires ressemblent parfois à des actes de guerre.
Le Maroc est le dernier en date. Mais la France fait bien le job aussi, en bouclant en quelques heures ses aéroports à l’Afrique australe et en décrétant le “Rouge écarlate” à Maurice comme un fashion faux pas pour les voyageurs.
Une décision prise sans concertation et regrettée par les professionnels, EdV en tête.
C’est une nouvelle période compliquée qui s’ouvre pour les agences de voyages qui vont être assaillies (c’est déjà le cas) par les clients affolés à l’idée de ne pouvoir rentrer à la maison.
Des clients qu’il faudra, tant bien que mal, reprotéger et faire revenir. Encore faudrait-il que ce soit possible et que les transporteurs jouent le jeu.
La position du Gouvernement sur les retours est encore très floue. Nous devrions en apprendre davantage sur les modalités de rapatriement dans les heures et les jours à venir.
Allons-nous sempiternellement vivre ce pitoyable “Jour sans fin” ?
Par exemple, un tour opérateur spécialiste de la destination m’a informé que 5 à 10 000 Français sont encore actuellement à l’Ile Maurice. Si rien ne bouge, Il va falloir un véritable pont aérien pour pouvoir les évacuer tous dans des délais raisonnables.
J'ai la pénible impression d’avoir déjà vécu ce moment là. Allons-nous sempiternellement vivre ce pitoyable “Jour sans fin”, cette pathétique “Fête à la marmotte” dont les lampions à peine allumés vacillent déjà ?
Bien malin qui pourrait y répondre. Une chose est certaine : l’arrivée du variant Omicron, démontre que la politique mondiale de vaccination a fait long feu. Qu’elle a failli dans son principe et son fonctionnement.
Nous vivons sur un village global dont nous partageons les bonnes et les moins bonnes ressources. Tant que nous nous regarderons le nombril sur notre taux de vaccination sans nous préoccuper de celui d’en face, les vagues et les virus continueront de déferler.
J'ai la pénible impression d’avoir déjà vécu ce moment là. Allons-nous sempiternellement vivre ce pitoyable “Jour sans fin”, cette pathétique “Fête à la marmotte” dont les lampions à peine allumés vacillent déjà ?
Bien malin qui pourrait y répondre. Une chose est certaine : l’arrivée du variant Omicron, démontre que la politique mondiale de vaccination a fait long feu. Qu’elle a failli dans son principe et son fonctionnement.
Nous vivons sur un village global dont nous partageons les bonnes et les moins bonnes ressources. Tant que nous nous regarderons le nombril sur notre taux de vaccination sans nous préoccuper de celui d’en face, les vagues et les virus continueront de déferler.
L'éditorial de Jean Da Luz
Directeur de la rédaction - TourMaG.com
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