Soudain, on me tape à l'épaule…
Michaël, lui, revient régulièrement me voir, un verre de champagne ou de whisky à la main. Il encaisse bien l’alcool. Il faut le dire.
Il a trouvé un siège disponible au rang 2 de l’appareil, en Business. Il continue à s’abreuver aux frais de la princesse et de fumer des clopes (une tous les 1/4 d’heures).
Et il bouffe sandwich sur sandwich, bol de nouilles sur bol de nouilles.
Moi, je somnole puis m’assoupis quelques instants, en chien de fusil, quand soudain on me tape à l'épaule.
Aussitôt j’imagine que c’est Michaël qui s’est fait virer de la Business et qui réintègre sa place.
Je me redresse et un mec vient s’avachir sur la place de Michaël. Un gars bourré comme une cantine.
Il a trouvé un siège disponible au rang 2 de l’appareil, en Business. Il continue à s’abreuver aux frais de la princesse et de fumer des clopes (une tous les 1/4 d’heures).
Et il bouffe sandwich sur sandwich, bol de nouilles sur bol de nouilles.
Moi, je somnole puis m’assoupis quelques instants, en chien de fusil, quand soudain on me tape à l'épaule.
Aussitôt j’imagine que c’est Michaël qui s’est fait virer de la Business et qui réintègre sa place.
Je me redresse et un mec vient s’avachir sur la place de Michaël. Un gars bourré comme une cantine.
Je me prends des coups de pied furieux
Il s’endort instantanément, la bouche ouverte, le corps secoué de spasmes bizarres. Il me balance de furieux coups de pied dans les jambes.
Je le secoue, lui signale qu’il n’a rien à faire ici. Il entrouvre un œil et sombre à nouveau.
Je patiente un peu… quand passe sur ma gauche un mec barbu qui traîne derrière lui une odeur de tabac. Mais cette fois, ce n’est pas "mon Michaël". C’en est un autre. Quelques passagers grommellent tellement ça chlingue dans la carlingue.
Tiens, justement, voilà Michaël qui rapplique. Comment va-t-il réagir à la vue de l’autre zouave qui "squatte" son siège.
« Qu’est-ce qu’il fout celui-là ?»
« Il est ivre. Il est venu s’avachir ici ».
« Attends, je reviens », m’annonce Michaël.
Je le secoue, lui signale qu’il n’a rien à faire ici. Il entrouvre un œil et sombre à nouveau.
Je patiente un peu… quand passe sur ma gauche un mec barbu qui traîne derrière lui une odeur de tabac. Mais cette fois, ce n’est pas "mon Michaël". C’en est un autre. Quelques passagers grommellent tellement ça chlingue dans la carlingue.
Tiens, justement, voilà Michaël qui rapplique. Comment va-t-il réagir à la vue de l’autre zouave qui "squatte" son siège.
« Qu’est-ce qu’il fout celui-là ?»
« Il est ivre. Il est venu s’avachir ici ».
« Attends, je reviens », m’annonce Michaël.