L'Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, Bahreïn et l'Égypte ont rompu tout contact diplomatique avec le Qatar depuis un an.
L’émirat était alors accusé de financer le terrorisme.
L'embargo qui a suivi la décision n'a pas été sans conséquence pour Qatar Airways.
La compagnie a subi une perte nette de 60 millions €, pour l'exercice 2017/18 (clôture en mars).
L’émirat était alors accusé de financer le terrorisme.
L'embargo qui a suivi la décision n'a pas été sans conséquence pour Qatar Airways.
La compagnie a subi une perte nette de 60 millions €, pour l'exercice 2017/18 (clôture en mars).
Plus d'une vingtaine de liaisons ont du être supprimées. D'autres trajets ont du être modifiés pour éviter de survoler les espaces aériens concernés, ce qui a pu allonger la durée du vol - et donc, le prix en kérosène.
Le directeur général de Qatar Airways Group, M. Akbar Al Baker dénonce "les effets négatifs du blocus illégal sur notre compagnie"
Outre ces problèmes, la compagnie annonce tout de même une hausse des revenus de 7,4%, soit autour des 36 milliards €.
Le directeur général de Qatar Airways Group, M. Akbar Al Baker dénonce "les effets négatifs du blocus illégal sur notre compagnie"
Outre ces problèmes, la compagnie annonce tout de même une hausse des revenus de 7,4%, soit autour des 36 milliards €.