2 heures ont été nécessaires pour réaliser la prouesse de dessiner une silhouette de 747 dans le ciel © DR
48 années… En matière de longévité de service, difficile de battre les Boeing 747 de la compagnie d’Israël El Al.
Depuis 1971, la compagnie israélienne a opéré sur 41 de ces appareils, et avait notamment battu le record du nombre de passagers transportés en un seul vol : 1 087 lors du rapatriement des Juifs d’Ethiopie en 1991.
Le dernier appareil qu’elle exploitait, un 747-400, a effectué, dimanche 3 novembre 2019, un baroud d’honneur pour son dernier vol commercial entre Rome Fiumicino et la base de Tel Aviv - Ben Gourion.
A l’occasion de cette fin de carrière très particulière, l’appareil d’El Al a fait un léger détour au-dessus de la mer Méditerranée pour une opération de « gps drawing », dessinant les contours d’un 747 géant.
Le rendu est splendide et a affolé la twittosphère aérienne qui était branchée sur Flightradar24.com.
Résultat : un joli souvenir pour fêter la fin de carrière de « la reine du ciel », un retard de près de deux heures pour des passagers visiblement ravis et… la colère des plus fervents défenseurs de l’environnement qui n’ont pas manqué sur les réseaux sociaux de dénoncer les émissions de CO2 supplémentaires engendrées.
Depuis 1971, la compagnie israélienne a opéré sur 41 de ces appareils, et avait notamment battu le record du nombre de passagers transportés en un seul vol : 1 087 lors du rapatriement des Juifs d’Ethiopie en 1991.
Le dernier appareil qu’elle exploitait, un 747-400, a effectué, dimanche 3 novembre 2019, un baroud d’honneur pour son dernier vol commercial entre Rome Fiumicino et la base de Tel Aviv - Ben Gourion.
A l’occasion de cette fin de carrière très particulière, l’appareil d’El Al a fait un léger détour au-dessus de la mer Méditerranée pour une opération de « gps drawing », dessinant les contours d’un 747 géant.
Le rendu est splendide et a affolé la twittosphère aérienne qui était branchée sur Flightradar24.com.
Résultat : un joli souvenir pour fêter la fin de carrière de « la reine du ciel », un retard de près de deux heures pour des passagers visiblement ravis et… la colère des plus fervents défenseurs de l’environnement qui n’ont pas manqué sur les réseaux sociaux de dénoncer les émissions de CO2 supplémentaires engendrées.