Silvio Berlusconi, leader de la droite italienne que l’on dit gagnante aux prochaines élections et qui prendrait, de ce fait, la tête du futur gouvernement, s’est montré farouchement contre la reprise par le groupe européen.
Il lui a préféré une solution totalement italienne, en l’occurrence celle d’Air One. Or c’est ce futur gouvernement qui aura à signer l’acte de vente de la compagnie Alitalia. Un obstacle de taille pour les repreneurs « étrangers ».
Cela c’était jusqu’à avant-hier. Jusqu’à ce que Silvio Berlusconi fasse de nouvelles déclarations à la RAI, tard dans la soirée. Depuis, l’homme politique italien a admis l’idée d’un rachat par Air France-KLM, à condition que la compagnie Alitalia garde ses couleurs italiennes et qu‘elle continue d‘opérer sur les deux hubs.
La meilleure solution restant, pour Silvio Berlusconi, qu’une poignée d’affaires d’affaires italiens déterminés se réunissent pour faire une contre-proposition. Dans ces conditions, il promet même une aide publique…
Il lui a préféré une solution totalement italienne, en l’occurrence celle d’Air One. Or c’est ce futur gouvernement qui aura à signer l’acte de vente de la compagnie Alitalia. Un obstacle de taille pour les repreneurs « étrangers ».
Cela c’était jusqu’à avant-hier. Jusqu’à ce que Silvio Berlusconi fasse de nouvelles déclarations à la RAI, tard dans la soirée. Depuis, l’homme politique italien a admis l’idée d’un rachat par Air France-KLM, à condition que la compagnie Alitalia garde ses couleurs italiennes et qu‘elle continue d‘opérer sur les deux hubs.
La meilleure solution restant, pour Silvio Berlusconi, qu’une poignée d’affaires d’affaires italiens déterminés se réunissent pour faire une contre-proposition. Dans ces conditions, il promet même une aide publique…
Le rachat de Volare par Alitalia voici deux ans, jugé illégal
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Si la droite italienne baisse néanmoins la garde devant l’offre franco-hollandaise, tout n’est pas acquis pour autant. Une autre condition de taille reste à remplir. Celle de rallier au projet les syndicats d’Alitalia.
C’est la tâche de Maurizio Prato le patron d’Alitalia qui a commencé à rencontrer les représentants syndicaux hier. Des représentants totalement opposés à la réduction de l’activité sur l’aéroport de Milan, telle qu’elle a été inscrite au projet de restructuration.
Air France-KLM devrait présenter la proposition finale de rachat à son conseil d’administration le 10 mars et dans la foulée, aux autorités italiennes.
Et bien sûr, il faudra, par la suite, trouver une solution au jugement d’un tribunal romain qui, la semaine dernière, a estimé que le rachat de Volare par Alitalia voici deux ans, était illégal.
Un tout petit épisode en pleine "Alitasaga"...
C’est la tâche de Maurizio Prato le patron d’Alitalia qui a commencé à rencontrer les représentants syndicaux hier. Des représentants totalement opposés à la réduction de l’activité sur l’aéroport de Milan, telle qu’elle a été inscrite au projet de restructuration.
Air France-KLM devrait présenter la proposition finale de rachat à son conseil d’administration le 10 mars et dans la foulée, aux autorités italiennes.
Et bien sûr, il faudra, par la suite, trouver une solution au jugement d’un tribunal romain qui, la semaine dernière, a estimé que le rachat de Volare par Alitalia voici deux ans, était illégal.
Un tout petit épisode en pleine "Alitasaga"...