Ce vendredi 10 mars, c'est parti pour l'étape 2. Pour nos Gazelles 600, il s'agit d'une journée entre cailloux, dunettes de sable et herbes à chameaux - DR : Armelle Medard Lang
L'aventure continue pour cette 32e édition du Rallye Aïcha des Gazelles avec la 2e étape de la course, dans le désert marocain, ce vendredi 10 mars 2023.
Pour la 11e fois, Armelle Medard Lang s'est lancé le défi de participer à ce rallye, avec le soutien de TourMaG.com.
Elle est accompagnée cette année par Cindy Dehail, qui fait ses premiers pas dans la compétition, à bord d'un véhicule électrique !
Car Cindy est une femme engagée. Lorsqu'elle a proposé à Armelle de faire le Rallye à ses côtés, « différemment », pour éveiller les consciences, c’est assez naturellement que cette équipe a vu le jour, l'équipage 600.
Toutes deux souhaitent faire le rallye le plus responsable possible et profiter de la médiatisation des 32 ans du Rallye des Gazelles pour mettre un coup de projecteur sur ce mode de vie.
Pour la 11e fois, Armelle Medard Lang s'est lancé le défi de participer à ce rallye, avec le soutien de TourMaG.com.
Elle est accompagnée cette année par Cindy Dehail, qui fait ses premiers pas dans la compétition, à bord d'un véhicule électrique !
Car Cindy est une femme engagée. Lorsqu'elle a proposé à Armelle de faire le Rallye à ses côtés, « différemment », pour éveiller les consciences, c’est assez naturellement que cette équipe a vu le jour, l'équipage 600.
Toutes deux souhaitent faire le rallye le plus responsable possible et profiter de la médiatisation des 32 ans du Rallye des Gazelles pour mettre un coup de projecteur sur ce mode de vie.
Une course d’orientation et non de vitesse
Pour rappel, le Rallye Aïcha des Gazelles est une course d’orientation et non de vitesse. Exit les GPS, téléphones ou autres moyens de communication.
Les participantes se dirigent à l’aide d’une boussole, d’un compas, d’une règle et d’une carte et font appel à leur bon sens, à leur analyse du terrain.
Libres de choisir leur parcours, elles relèvent chaque jour ce défi : analyser la carte avec des coordonnées géographiques, appréhender les difficultés du terrain et choisir le parcours le plus court possible.
Ces « gazelles » venues d’horizons différents vont se lancer sur les pistes et défier les paysages grandioses du sud marocain. Le parcours 100% hors pistes est réactualisé chaque année.
Les participantes se dirigent à l’aide d’une boussole, d’un compas, d’une règle et d’une carte et font appel à leur bon sens, à leur analyse du terrain.
Libres de choisir leur parcours, elles relèvent chaque jour ce défi : analyser la carte avec des coordonnées géographiques, appréhender les difficultés du terrain et choisir le parcours le plus court possible.
Ces « gazelles » venues d’horizons différents vont se lancer sur les pistes et défier les paysages grandioses du sud marocain. Le parcours 100% hors pistes est réactualisé chaque année.
Une journée fatigante, avec 6 balises à "taper"
« Bonjour Mesdames ! Il est 5h ! » . Voici comment Dominique Serra, la fondatrice du Rallye des Gazelles, réveille les concurrentes tous les jours depuis 32 rallyes…
Vite ! on se débarbouille, on range ses affaires et hop ! au petit-déjeuner.
A 6h45 vient l'heure du briefing par Ludo, le directeur de course. Infos, consignes, rappel du règlement… Et la journée peut commencer.
On va chercher sa voiture, on l’avance dans son sas de départ (qui dépend du classement de la veille), on regonfle ses pneus, souvent on se lave les dents au pied du véhicule… Le plein d’eau est fait, les points posés, c’est parti !
Ce vendredi 10 mars, c'est parti pour l'étape 2. Pour nos Gazelles 600, il s'agit d'une journée entre cailloux, dunettes de sable et herbes à chameaux.
La difficulté est de garder le cap en point de mire. Le véhicule a une garde au sol assez basse, sans doute devront-elles sortir la pelle quelques fois…
Autrement dit, c'est une journée fatigante qui les attend, avec 6 balises à taper.
Vite ! on se débarbouille, on range ses affaires et hop ! au petit-déjeuner.
A 6h45 vient l'heure du briefing par Ludo, le directeur de course. Infos, consignes, rappel du règlement… Et la journée peut commencer.
On va chercher sa voiture, on l’avance dans son sas de départ (qui dépend du classement de la veille), on regonfle ses pneus, souvent on se lave les dents au pied du véhicule… Le plein d’eau est fait, les points posés, c’est parti !
Ce vendredi 10 mars, c'est parti pour l'étape 2. Pour nos Gazelles 600, il s'agit d'une journée entre cailloux, dunettes de sable et herbes à chameaux.
La difficulté est de garder le cap en point de mire. Le véhicule a une garde au sol assez basse, sans doute devront-elles sortir la pelle quelques fois…
Autrement dit, c'est une journée fatigante qui les attend, avec 6 balises à taper.
Après un départ à 7h15, nos Gazelles 600 ont tapé la première balise à 8h45 entre cailloux et herbes à chameaux, le Volvo passe bien !
Une erreur de Cap les éloignera du CP 2 et après avoir tourné pendant presque 4h, elles réussiront à trianguler (prendre les coordonnées de 3 points « remarquables », tirer une ligne et vous êtes à la croisée des 3). Elles taperont le CP 2 à 14h 30…
Pour taper le CP 3, il faut partir à l’opposé du bivouac et elles ont consommé presque la moitié de leur batterie…
Si elles tentent, elles peuvent taper la balise, si elles y arrivent avant la fermeture… Elles peuvent aussi et surtout tomber en panne et là c’est un « appel Méca » : pénalité de 300 km… Il faut se poser et faire le bon choix.
C’est ce qu’elles ont fait 😊 Arrivée au bivouac « de jour » à 17h30.
On a beau avoir de l’expérience, une petite faute d’inattention et tout se complique.
Aujourd’hui elles auront expérimenté : l’erreur de cap, les capacités du Volvo dans le sable, le temps des décisions, la combativité, le soutien et sans doute auront-elles malgré tout beaucoup ri.
Là, elles sont en train de se détendre et de profiter de la vie du bivouac avant de se régaler de la délicieuse cuisine marocaine.
Vous pouvez suivre nos Gazelles 600 sur « Le Live ».
Une erreur de Cap les éloignera du CP 2 et après avoir tourné pendant presque 4h, elles réussiront à trianguler (prendre les coordonnées de 3 points « remarquables », tirer une ligne et vous êtes à la croisée des 3). Elles taperont le CP 2 à 14h 30…
Pour taper le CP 3, il faut partir à l’opposé du bivouac et elles ont consommé presque la moitié de leur batterie…
Si elles tentent, elles peuvent taper la balise, si elles y arrivent avant la fermeture… Elles peuvent aussi et surtout tomber en panne et là c’est un « appel Méca » : pénalité de 300 km… Il faut se poser et faire le bon choix.
C’est ce qu’elles ont fait 😊 Arrivée au bivouac « de jour » à 17h30.
On a beau avoir de l’expérience, une petite faute d’inattention et tout se complique.
Aujourd’hui elles auront expérimenté : l’erreur de cap, les capacités du Volvo dans le sable, le temps des décisions, la combativité, le soutien et sans doute auront-elles malgré tout beaucoup ri.
Là, elles sont en train de se détendre et de profiter de la vie du bivouac avant de se régaler de la délicieuse cuisine marocaine.
Vous pouvez suivre nos Gazelles 600 sur « Le Live ».