Expedia fait partie des sites mis en cause par la DGCCRF et le syndicat hôtelier SYNHORCAT
Après l'avoir alertée, le SYNHORCAT (Syndicat National des Hôteliers restaurateurs, cafetiers et traiteurs) a reçu l¹appui de la DGCCRF et de ses ministres de tutelle Christine Lagarde et Frédéric Lefebvre.
Hier le Secrétaire d'Etat à la Consommation a demandé à la direction de la répression des fraudes de saisir le tribunal correctionnel de Paris contre trois sites : expedia, hotel.com et tripadvisor.
En réalité, depuis 4 ans, le SYNHORCAT menait un combat en France et en Europe afin de moraliser un type de pratiques trompeuses de réservations en ligne et ceci dans l¹intérêt des consommateurs et des hôteliers.
« Nous apprécions tout particulièrement le soutien du gouvernement en faveur de la moralisation d¹internet, du e-commerce et de pratiques commerciales transparentes et loyales.
C’est une étape capitale » déclarait hier dans un communiqué Didier Chenet, Président du SYNHORCAT.
Les spécialistes du centre de surveillance dédié au commerce électronique de la DGCCRF – qui contrôlent quelque 8 000 sites chaque année sur 70 000 - ont enquêté durant trois mois.
De cette enquête approfondie qui repose sur des captures d'écran, il ressort de nombreuses preuves de ces pratiques trompeuses, preuves qui seront versées au dossier.
Hier le Secrétaire d'Etat à la Consommation a demandé à la direction de la répression des fraudes de saisir le tribunal correctionnel de Paris contre trois sites : expedia, hotel.com et tripadvisor.
En réalité, depuis 4 ans, le SYNHORCAT menait un combat en France et en Europe afin de moraliser un type de pratiques trompeuses de réservations en ligne et ceci dans l¹intérêt des consommateurs et des hôteliers.
« Nous apprécions tout particulièrement le soutien du gouvernement en faveur de la moralisation d¹internet, du e-commerce et de pratiques commerciales transparentes et loyales.
C’est une étape capitale » déclarait hier dans un communiqué Didier Chenet, Président du SYNHORCAT.
Les spécialistes du centre de surveillance dédié au commerce électronique de la DGCCRF – qui contrôlent quelque 8 000 sites chaque année sur 70 000 - ont enquêté durant trois mois.
De cette enquête approfondie qui repose sur des captures d'écran, il ressort de nombreuses preuves de ces pratiques trompeuses, preuves qui seront versées au dossier.
Des hôtels affichaient complet alors qu'il restait des places...
« Nous avons avons constaté de nombreuses informations trompeuses pour le consommateur notamment sur les disponibilités de chambres.
Des hôtels affichaient complet alors qu'il restait des places. Nous avons relevé de fausses annonces promotionnelles, le client croyait faire une bonne affaire alors que, in fine, il payait le prix normal.
Nous avons vérifié des erreurs de descriptifs, des 2 étoiles présentés comme des 3 étoiles, des chambres d'hôtes, comme des hôtels, les numéros de téléphone des hôtels remplacés par ceux d'une centrale de réservation.
Nous avons relevé des pratiques abusives dans les relations commerciales entre les sites et les hôteliers Sur certains sites la réservation pouvait donner lieu à des détournements de clientèle en annonçant l'hôtel choisi comme complet et en renvoyant le client vers un autre hôtel.
L'enquête se poursuit pour les voyageurs » nous expliquait hier un responsable de la répression des fraudes.
La DGCCRF, dans son action après du Tribunal de Commerce demande uniquement la cessation de pratiques frauduleuses.
Le syndicat, lui, demande des dommages et intérêts pour préjudice. La prochaine audience est fixée au 6 juillet au tribunal de Commerce de Paris.
Des hôtels affichaient complet alors qu'il restait des places. Nous avons relevé de fausses annonces promotionnelles, le client croyait faire une bonne affaire alors que, in fine, il payait le prix normal.
Nous avons vérifié des erreurs de descriptifs, des 2 étoiles présentés comme des 3 étoiles, des chambres d'hôtes, comme des hôtels, les numéros de téléphone des hôtels remplacés par ceux d'une centrale de réservation.
Nous avons relevé des pratiques abusives dans les relations commerciales entre les sites et les hôteliers Sur certains sites la réservation pouvait donner lieu à des détournements de clientèle en annonçant l'hôtel choisi comme complet et en renvoyant le client vers un autre hôtel.
L'enquête se poursuit pour les voyageurs » nous expliquait hier un responsable de la répression des fraudes.
La DGCCRF, dans son action après du Tribunal de Commerce demande uniquement la cessation de pratiques frauduleuses.
Le syndicat, lui, demande des dommages et intérêts pour préjudice. La prochaine audience est fixée au 6 juillet au tribunal de Commerce de Paris.