« Avec un prévisionnel de 30 000 passagers pour 2012, au départ de Marseille, Toulon et Le Havre, nous devrions enregistrer une croissance de 10 000 passagers supplémentaires par rapport à 2011, » confie Robiha Deloubrière / Photo DR
Après 18 mois de présence directe sur le marché français, Royal Carribean International (RCI), est plutôt rassurée par ses résultats.
« Avec un prévisionnel de 30 000 passagers pour 2012, au départ de Marseille, Toulon et Le Havre, nous devrions enregistrer une croissance de 10 000 passagers supplémentaires par rapport à 2011, » confie Robiha Deloubrière, la directrice commerciale France du croisiériste international, qui tient la boutique depuis le départ de son ex-Président France, Frédéric Martinez.
Sur le plan financier, Robiha Deloubrière constate que le panier moyen baisse légèrement en France, comme partout en Europe.
« Pour autant, je n’ai pas d’écho particulier sur une baisse des dépenses à bord, » souligne-t-elle toutefois, en estimant également que la croisière continue à se démocratiser, surtout lors des vacances scolaires.
5ème marché européen derrière l’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, la France est un marché capital pour RCI :
« Nous sommes une compagnie internationale et nous avons des bureaux presque partout dans le monde, avec 72 pays et 280 destinations en brochure, » explique la directrice commerciale.
«Mais la France est l’un des marchés où la marge de progression est la plus nette. »
« Avec un prévisionnel de 30 000 passagers pour 2012, au départ de Marseille, Toulon et Le Havre, nous devrions enregistrer une croissance de 10 000 passagers supplémentaires par rapport à 2011, » confie Robiha Deloubrière, la directrice commerciale France du croisiériste international, qui tient la boutique depuis le départ de son ex-Président France, Frédéric Martinez.
Sur le plan financier, Robiha Deloubrière constate que le panier moyen baisse légèrement en France, comme partout en Europe.
« Pour autant, je n’ai pas d’écho particulier sur une baisse des dépenses à bord, » souligne-t-elle toutefois, en estimant également que la croisière continue à se démocratiser, surtout lors des vacances scolaires.
5ème marché européen derrière l’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, la France est un marché capital pour RCI :
« Nous sommes une compagnie internationale et nous avons des bureaux presque partout dans le monde, avec 72 pays et 280 destinations en brochure, » explique la directrice commerciale.
«Mais la France est l’un des marchés où la marge de progression est la plus nette. »
Renforcer les rotations au départ de Marseille
Partant de ce constat, la compagnie a choisi de renforcer sa présence au départ de l’hexagone.
Certes, elle se retire du Havre, mais c’est pour mieux se concentrer sur la Méditerranée, où elle va augmenter les rotations du Legend of the Seas au départ de Marseille, entre la mi-mai et la fin août 2013.
Au départ de Toulon, les rotations du Liberty of the Seas dureront quant à elles, du début mai jusqu’à la fin octobre 2013.
Cela dit, RCI ne nourrit pas l’ambition de devenir leader au départ des ports français.
« Nous restons évidemment des challengers, mais nous voulons prendre des parts de marché. » précise Robiha Deloubrière.
Certes, elle se retire du Havre, mais c’est pour mieux se concentrer sur la Méditerranée, où elle va augmenter les rotations du Legend of the Seas au départ de Marseille, entre la mi-mai et la fin août 2013.
Au départ de Toulon, les rotations du Liberty of the Seas dureront quant à elles, du début mai jusqu’à la fin octobre 2013.
Cela dit, RCI ne nourrit pas l’ambition de devenir leader au départ des ports français.
« Nous restons évidemment des challengers, mais nous voulons prendre des parts de marché. » précise Robiha Deloubrière.
Les agences invitées à l’inauguration du Celebrity Reflection
Il n’empêche que pour développer encore ses ventes, RCI compte beaucoup sur l’inauguration le 10 octobre prochain, à Amsterdam, de son nouveau navire, le Celebrity Reflection, un bateau de 1400 cabines capable d’accueillir plus 3000 passagers.
« Ce paquebot va proposer des croisières Rome-Rome de 11 ou 12 jours, » souligne la directrice commerciale, qui a prévu d’inviter les distributeurs à l’occasion de cette cérémonie.
« Il appartient à la classe Solstice, comme le Celebrity Silhouette que nous avons inauguré l’an dernier. »
La seule mauvaise nouvelle, finalement, concerne les Antilles françaises.
Si Fort de France continuera à recevoir en escale le Vision of the Seas, les départs de Pointe à Pitre, en revanche, vont être abandonnés.
Un coup dur pour La Guadeloupe.
« Ce paquebot va proposer des croisières Rome-Rome de 11 ou 12 jours, » souligne la directrice commerciale, qui a prévu d’inviter les distributeurs à l’occasion de cette cérémonie.
« Il appartient à la classe Solstice, comme le Celebrity Silhouette que nous avons inauguré l’an dernier. »
La seule mauvaise nouvelle, finalement, concerne les Antilles françaises.
Si Fort de France continuera à recevoir en escale le Vision of the Seas, les départs de Pointe à Pitre, en revanche, vont être abandonnés.
Un coup dur pour La Guadeloupe.