En Russie, le projet de première ligne ferroviaire à grande vitesse, promis en juin 2013 par le Président Vladimir Poutine et auquel s'intéressent notamment la SNCF et Alstom, prend du retard à cause de difficultés de financement, selon Vedomosti.
Le quotidien économique russe dévoile qu'une réunion du gouvernement sur la construction de la ligne de 770 km entre Moscou et Kazan a été organisée il y a deux semaines environ.
Les responsables y auraient décidé de ne mettre en service qu'un tronçon de 200 km en 2018 et non la totalité comme initialement prévu.
Ainsi, l'appel d'offres pour les études de conception du projet qui devait être lancé ce mercredi 6 novembre 2013, a été reporté à la dernière minute, précise le journal.
Selon ses informations, il manquerait 310 milliards de roubles (7 milliards d'euros) pour compléter le budget, estimé au total à 1 060 milliards de roubles (24 milliards d'euros).
Il ajoute que 2 consortiums menés par la SNCF et la Deutsche Bahn auraient déjà fait part de leur intérêt.
Le quotidien économique russe dévoile qu'une réunion du gouvernement sur la construction de la ligne de 770 km entre Moscou et Kazan a été organisée il y a deux semaines environ.
Les responsables y auraient décidé de ne mettre en service qu'un tronçon de 200 km en 2018 et non la totalité comme initialement prévu.
Ainsi, l'appel d'offres pour les études de conception du projet qui devait être lancé ce mercredi 6 novembre 2013, a été reporté à la dernière minute, précise le journal.
Selon ses informations, il manquerait 310 milliards de roubles (7 milliards d'euros) pour compléter le budget, estimé au total à 1 060 milliards de roubles (24 milliards d'euros).
Il ajoute que 2 consortiums menés par la SNCF et la Deutsche Bahn auraient déjà fait part de leur intérêt.