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Organiser un Salon de la Distribution à Saint Tropez, il fallait s’appeler Jean-François Alexandre pour oser. L’homme en a vu d’autres. L’inventeur de TOP RESA, se souvient que le lancement de ce qui est devenu le premier (l’unique) grand salon professionnel du tourisme, n’a pas été rose tous les jours. « Il a fallu plusieurs années, se souvient-il, pour faire accepter le lieu… »
Aujourd’hui le pari n’est pas moins téméraire. Saint Tropez et Deauville ont des similitudes troublantes. Deux stations balnéaires célébrissimes avec les défauts de leurs qualités : peu d’établissements ouverts hors saison, des touristes aux abonnés absents et ambiance tristounette au rendez-vous…
Mais il en faudrait davantage pour décourager l’organisateur, soutenu mordicus par le maître céans Jean-Michel Couve. Le député-maire, rapporteur du budget du Tourisme, adepte convaincu et militant de la « désaisonnalisation » y croit dur comme fer.
Alors, comment échouer ?
Un millier et demi d’agences pré-inscrites
Sur le papier, les choses se présentent plutôt bien. Les nombre de marques inscrites au 15 février est de 114. On y trouve essentiellement des prestataires, des hôteliers, des GDS, des spécialistes en solutions informatiques et internet, et des assureurs-assisteurs.
Côté participation, un millier et demi d’agences se sont pré-inscrites. Rappelons que la plupart bénéficient d’un hébergement gratuit offert par l’organisation. Côté géographique, si le Sud est bien représenté, les agences de Paris et de la région parisienne sont présents en masse. Il restera à voir combien feront réellement le déplacement...
Côté convivialité, on notera vendredi 24 mars à partir de 22h30 une soirée au célèbre night-club « le Papagayo », parrainée par le DITEX et SABRE. Enfin, comme il faut aussi réfléchir un peu à l’avenir, un thème très chaud actuellement sera abordé lors du débat animé par notre confrère Pierre AMALOU (Stratégos) qui aura lieu le samedi matin à 9h30 sur le thème : « Le couple tour-opérateur/distributeur entame-t-il un processus de divorce ? »
Pour en savoir davantage et vous inscrire : www.ditex.fr/accueil.htm
Aujourd’hui le pari n’est pas moins téméraire. Saint Tropez et Deauville ont des similitudes troublantes. Deux stations balnéaires célébrissimes avec les défauts de leurs qualités : peu d’établissements ouverts hors saison, des touristes aux abonnés absents et ambiance tristounette au rendez-vous…
Mais il en faudrait davantage pour décourager l’organisateur, soutenu mordicus par le maître céans Jean-Michel Couve. Le député-maire, rapporteur du budget du Tourisme, adepte convaincu et militant de la « désaisonnalisation » y croit dur comme fer.
Alors, comment échouer ?
Un millier et demi d’agences pré-inscrites
Sur le papier, les choses se présentent plutôt bien. Les nombre de marques inscrites au 15 février est de 114. On y trouve essentiellement des prestataires, des hôteliers, des GDS, des spécialistes en solutions informatiques et internet, et des assureurs-assisteurs.
Côté participation, un millier et demi d’agences se sont pré-inscrites. Rappelons que la plupart bénéficient d’un hébergement gratuit offert par l’organisation. Côté géographique, si le Sud est bien représenté, les agences de Paris et de la région parisienne sont présents en masse. Il restera à voir combien feront réellement le déplacement...
Côté convivialité, on notera vendredi 24 mars à partir de 22h30 une soirée au célèbre night-club « le Papagayo », parrainée par le DITEX et SABRE. Enfin, comme il faut aussi réfléchir un peu à l’avenir, un thème très chaud actuellement sera abordé lors du débat animé par notre confrère Pierre AMALOU (Stratégos) qui aura lieu le samedi matin à 9h30 sur le thème : « Le couple tour-opérateur/distributeur entame-t-il un processus de divorce ? »
Pour en savoir davantage et vous inscrire : www.ditex.fr/accueil.htm
![Futuroscopie - Et si le ski n'était pas mort ? [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85557114-60965998.jpg?v=1736872016 "Futuroscopie - Et si le ski n'était pas mort ? [ABO]")
