"Nous tenons, par notre droit de réponse, à rétablir la vérité en répondant à chacun des points soulevés par l’article que nous contestons,
Il est fort dommage de constater une telle malveillance (à priori de salariés isolés) trop rapidement relayée par un article qui comportait une multitude d’erreurs et ou fausses informations nous concernant.
Nous tenons donc à rétablir la vérité sur la situation relatée avec mensonge dans l’article que nous estimons diffamatoire et de nature à nous porter préjudice :
- L’article met clairement en doute la capacité de notre société à intégrer les 38 agences reprises après la faillite de Thomas Cook, la présentant comme « un groupe qui n’était pas à même d’absorber une telle expansion ».
OR, nous tenons à préciser que l’entité Navitour qui intervient dans le secteur du tourisme appartient au groupe Sainte Claire lequel opère dans le secteur de la grande distribution alimentaire qui ne rencontre strictement aucune difficulté et était parfaitement à même d’absorber une telle expansion.
A cet égard, nous précisons que l’activité tourisme est devenue minoritaire dans le portefeuille du groupe. Reprendre de si nombreuses agences a permis, rappelons-le, de sauver un très grand nombre d’emplois !
-Concernant la fermeture de certaines agences La société souhaite répondre en toute transparence sur la fermeture de quelques agences présentée comme « le résultat d’une incapacité lui étant inhérente » ce qui est diffamant et faux.
-L’article comporte des informations tout simplement fausses indiquant que « les agences de Mulhouse et d’Aquatour Cambrai sont fermées » : tel n’est pas le cas et cet article mensonger relayant sans vérification des propos que nous estimons diffamatoires a eu des conséquences évidentes sur les salariés de ces agences qui apprenaient par publication d’un article mensonger la fermeture de leur lieu de travail....
Un représentant du personnel confirme que les agences de Mulhouse et Aquatour Cambrai, annoncées comme fermées dans l’article, n’ont jamais fait l’objet d’un plan de restructuration mais confirme surtout que ces propos diffamatoires sont attentatoires à la société et encore plus, à ses salariés : «
Nous pouvons lire que des agences comme Mulhouse ou Aquatour Cambrai vont fermer ? vous imaginez un peu le mal que ce mensonge aurait pu faire à mes collègues qui bossent dans celles-ci ? De tel propos mensongers peuvent faire énormément de mal ! ».
La société souhaite donc rappeler et rassurer ses collaboratrices, bien qu’elle l’ait déjà fait en présentiel, que les agences de Mulhouse et d’Aquatour Cambrai présentées comme fermées, n’ont jamais fait partie d’un quelconque plan de restructuration.
Il est fort dommage de constater une telle malveillance (à priori de salariés isolés) trop rapidement relayée par un article qui comportait une multitude d’erreurs et ou fausses informations nous concernant.
Nous tenons donc à rétablir la vérité sur la situation relatée avec mensonge dans l’article que nous estimons diffamatoire et de nature à nous porter préjudice :
- L’article met clairement en doute la capacité de notre société à intégrer les 38 agences reprises après la faillite de Thomas Cook, la présentant comme « un groupe qui n’était pas à même d’absorber une telle expansion ».
OR, nous tenons à préciser que l’entité Navitour qui intervient dans le secteur du tourisme appartient au groupe Sainte Claire lequel opère dans le secteur de la grande distribution alimentaire qui ne rencontre strictement aucune difficulté et était parfaitement à même d’absorber une telle expansion.
A cet égard, nous précisons que l’activité tourisme est devenue minoritaire dans le portefeuille du groupe. Reprendre de si nombreuses agences a permis, rappelons-le, de sauver un très grand nombre d’emplois !
-Concernant la fermeture de certaines agences La société souhaite répondre en toute transparence sur la fermeture de quelques agences présentée comme « le résultat d’une incapacité lui étant inhérente » ce qui est diffamant et faux.
-L’article comporte des informations tout simplement fausses indiquant que « les agences de Mulhouse et d’Aquatour Cambrai sont fermées » : tel n’est pas le cas et cet article mensonger relayant sans vérification des propos que nous estimons diffamatoires a eu des conséquences évidentes sur les salariés de ces agences qui apprenaient par publication d’un article mensonger la fermeture de leur lieu de travail....
Un représentant du personnel confirme que les agences de Mulhouse et Aquatour Cambrai, annoncées comme fermées dans l’article, n’ont jamais fait l’objet d’un plan de restructuration mais confirme surtout que ces propos diffamatoires sont attentatoires à la société et encore plus, à ses salariés : «
Nous pouvons lire que des agences comme Mulhouse ou Aquatour Cambrai vont fermer ? vous imaginez un peu le mal que ce mensonge aurait pu faire à mes collègues qui bossent dans celles-ci ? De tel propos mensongers peuvent faire énormément de mal ! ».
La société souhaite donc rappeler et rassurer ses collaboratrices, bien qu’elle l’ait déjà fait en présentiel, que les agences de Mulhouse et d’Aquatour Cambrai présentées comme fermées, n’ont jamais fait partie d’un quelconque plan de restructuration.
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Ces informations sont infondées et ne viennent que renforcer le caractère mensonger et selon nous diffamatoire de l’article.
L’article qui se présente pourtant sous la forme d’une « enquête exclusive », gageant de révéler la situation de la société et de faire la lumière sur des zones d’ombres, a néanmoins omis de remettre les informations dans leur contexte réel.
Pire a souhaité préciser ce représentant du personnel de la société, stupéfait de la publication de cet article car il est en effet question de l’interview de « 2 peut-être 3 collègues (voir anciens collègues) sur 80 salariés et qui ne reflète absolument pas l’avis général de l’ensemble des collaborateurs ».
En ce sens, la société souhaite répondre aux accusations sur la qualité de l’encadrement qualifiée « à l’abandon ». Il est évoqué que le groupe navigue « sans réel leader ni meneur ».
Or la société organise, depuis le début de la pandémie, des points d’informations bimestriels avec tous les collaborateurs et des réunions de secteur bimensuelles avec le Directeur de Réseau et les responsables de secteur. Le caractère mensonger de ces propos est confirmé par le représentant du personnel qui en témoigne et qui conteste l’allégation selon laquelle il n’y aurait pas de réel leadeur ni meneur.
« Nous recevons régulièrement depuis que cela est possible la visite physique de nos chefs des ventes, nous recevons des mails par ces derniers ainsi que par la direction commerciale plusieurs fois par jour même, ils sont facilement joignables par téléphone et à notre écoute ».
Malgré la situation très saine et positive du Groupe, il n’en demeure pas moins qu’il est des nécessités économiques évidentes de sauvegarde de la compétitivité et que dans un tel contexte de crise sanitaire il était impossible de maintenir certaines agences qui avaient une activité réduite.
Nous tenons à rétablir la vérité sur la situation relatée avec mensonge dans l’article : après la faillite annoncée de Thomas Cook le 23 septembre 2019, notre réseau s’est porté acquéreur de 38 fonds de commerce ayant permis la sauvegarde d’un peu moins de 100 emplois, 4 mois plus tard le premier confinement a été mis en place.
Alors que la majorité des sociétés de notre secteur a pu bénéficier d’un soutien exceptionnel de l’Etat, la société Navitour dont le nouvel effectif excédait largement les 50 salariés n’a pas pu bénéficier du fonds de solidarité de mars 2020 à novembre 2020. Le réseau n’a pas non plus bénéficié du fonds de solidarité sur le périmètre des 38 nouvelles agences en 2021, la raison étant que celui-ci est autorisé sur le taux de variation du chiffre d’affaires 2021 versus 2019, or Navitour ayant acquis ces agences en décembre 2019, le chiffre d’affaires 2019 était inexistant sur ce périmètre.
La société tient donc à exprimer que si elle a été contrainte de procéder à la fermeture d’un très petit nombre d’agences, elle avait avant tout fait le choix de la sauvegarde de l’emploi que la crise sanitaire a inévitablement impacté, faute de pouvoir bénéficier du soutien de l’Etat sur le périmètre des 38 agences, à l’exception de l’activité partielle.
L’article qui se présente pourtant sous la forme d’une « enquête exclusive », gageant de révéler la situation de la société et de faire la lumière sur des zones d’ombres, a néanmoins omis de remettre les informations dans leur contexte réel.
Pire a souhaité préciser ce représentant du personnel de la société, stupéfait de la publication de cet article car il est en effet question de l’interview de « 2 peut-être 3 collègues (voir anciens collègues) sur 80 salariés et qui ne reflète absolument pas l’avis général de l’ensemble des collaborateurs ».
En ce sens, la société souhaite répondre aux accusations sur la qualité de l’encadrement qualifiée « à l’abandon ». Il est évoqué que le groupe navigue « sans réel leader ni meneur ».
Or la société organise, depuis le début de la pandémie, des points d’informations bimestriels avec tous les collaborateurs et des réunions de secteur bimensuelles avec le Directeur de Réseau et les responsables de secteur. Le caractère mensonger de ces propos est confirmé par le représentant du personnel qui en témoigne et qui conteste l’allégation selon laquelle il n’y aurait pas de réel leadeur ni meneur.
« Nous recevons régulièrement depuis que cela est possible la visite physique de nos chefs des ventes, nous recevons des mails par ces derniers ainsi que par la direction commerciale plusieurs fois par jour même, ils sont facilement joignables par téléphone et à notre écoute ».
Malgré la situation très saine et positive du Groupe, il n’en demeure pas moins qu’il est des nécessités économiques évidentes de sauvegarde de la compétitivité et que dans un tel contexte de crise sanitaire il était impossible de maintenir certaines agences qui avaient une activité réduite.
Nous tenons à rétablir la vérité sur la situation relatée avec mensonge dans l’article : après la faillite annoncée de Thomas Cook le 23 septembre 2019, notre réseau s’est porté acquéreur de 38 fonds de commerce ayant permis la sauvegarde d’un peu moins de 100 emplois, 4 mois plus tard le premier confinement a été mis en place.
Alors que la majorité des sociétés de notre secteur a pu bénéficier d’un soutien exceptionnel de l’Etat, la société Navitour dont le nouvel effectif excédait largement les 50 salariés n’a pas pu bénéficier du fonds de solidarité de mars 2020 à novembre 2020. Le réseau n’a pas non plus bénéficié du fonds de solidarité sur le périmètre des 38 nouvelles agences en 2021, la raison étant que celui-ci est autorisé sur le taux de variation du chiffre d’affaires 2021 versus 2019, or Navitour ayant acquis ces agences en décembre 2019, le chiffre d’affaires 2019 était inexistant sur ce périmètre.
La société tient donc à exprimer que si elle a été contrainte de procéder à la fermeture d’un très petit nombre d’agences, elle avait avant tout fait le choix de la sauvegarde de l’emploi que la crise sanitaire a inévitablement impacté, faute de pouvoir bénéficier du soutien de l’Etat sur le périmètre des 38 agences, à l’exception de l’activité partielle.
La société a, en son temps, informé personnellement chacun de ses collaborateurs de la fermeture de leur agence en proposant des solutions individualisées de reclassement et dément les propos que nous estimons donc diffamatoires selon lesquels les salariés auraient découvert cette fermeture sur leur planning.
Ces propos infondés ne font que renforcer le caractère mensonger de l’article.
-Sur le courrier de la CFDT L’article publié questionne en gros titre « Navitour : un plan social déguisé ? » et évoque un courrier de la CFDT, Or il convient de préciser que ce courrier visé dans l’article publié le 26 octobre 2021, n’a été réceptionné par la société que le 28 octobre 2021 par mail soit 2 jours après la publication de l’article !...
Il est surprenant qu’un courrier soit visé dans la presse avant même que nous ne l’ayons reçu, sauf évidemment à vouloir nous nuire ; Cela démontre sans aucun doute et à l’évidence une intention malveillante de la personne qui l’a communiqué.
Pire, l’article en déduit au nom du syndicat que ce dernier « suspecte la direction de procéder à un plan social déguisé » alors même qu’en réalité ce courrier de la CFDT a pour objet de rappeler les règles en matière d’information et de consultation des représentants du personnel.
Nous avons évidemment pris contact avec la CFDT pour répondre à leur demande dans un esprit de dialogue social. Il convient immédiatement de préciser qu’à ce jour il n’y a eu strictement aucun licenciement économique ce qui est pour le moins important dans le contexte de crise que nous avons traversé.
Pendant la pandémie, nous avons enregistré quelques démissions et RC courantes, comme dans beaucoup de sociétés opérant dans notre secteur. -Sans contexte aucun et au soutien de l’allégation de « plan social déguisé », l’article cible les ressources humaines de Navitour accusées d’une gestion dite « lamentable », en rapportant les propos, – dont on imagine qu’ils viennent d’un ancien collaborateur – , qu’« Il y avait beaucoup de démissions à l’époque où je travaillais encore ».
Or il n’est ni précisé quelle(s) agence(s) est (sont) concernée(s) ni même de quelle époque il est question. Pas plus qu’il n’est fait la moindre précision sur les prétendus « arrêts de travail et maladie qui se multiplient » ... Les informations sont jetées, sans contexte, sans fondement et ne visent qu’à porter atteinte à la société.
-L’article insinue ensuite que des partenariats demandés par des agents auraient été refusés alors que tous les partenariats du groupe sont ceux d’Havas Voyages et il n’a jamais été demandé aux agents de démarcher et négocier d’éventuels partenariats, ce type de mission étant tout simplement exclusivement dévolue au Directeur de Réseau.
Ces propos infondés ne font que renforcer le caractère mensonger de l’article.
-Sur le courrier de la CFDT L’article publié questionne en gros titre « Navitour : un plan social déguisé ? » et évoque un courrier de la CFDT, Or il convient de préciser que ce courrier visé dans l’article publié le 26 octobre 2021, n’a été réceptionné par la société que le 28 octobre 2021 par mail soit 2 jours après la publication de l’article !...
Il est surprenant qu’un courrier soit visé dans la presse avant même que nous ne l’ayons reçu, sauf évidemment à vouloir nous nuire ; Cela démontre sans aucun doute et à l’évidence une intention malveillante de la personne qui l’a communiqué.
Pire, l’article en déduit au nom du syndicat que ce dernier « suspecte la direction de procéder à un plan social déguisé » alors même qu’en réalité ce courrier de la CFDT a pour objet de rappeler les règles en matière d’information et de consultation des représentants du personnel.
Nous avons évidemment pris contact avec la CFDT pour répondre à leur demande dans un esprit de dialogue social. Il convient immédiatement de préciser qu’à ce jour il n’y a eu strictement aucun licenciement économique ce qui est pour le moins important dans le contexte de crise que nous avons traversé.
Pendant la pandémie, nous avons enregistré quelques démissions et RC courantes, comme dans beaucoup de sociétés opérant dans notre secteur. -Sans contexte aucun et au soutien de l’allégation de « plan social déguisé », l’article cible les ressources humaines de Navitour accusées d’une gestion dite « lamentable », en rapportant les propos, – dont on imagine qu’ils viennent d’un ancien collaborateur – , qu’« Il y avait beaucoup de démissions à l’époque où je travaillais encore ».
Or il n’est ni précisé quelle(s) agence(s) est (sont) concernée(s) ni même de quelle époque il est question. Pas plus qu’il n’est fait la moindre précision sur les prétendus « arrêts de travail et maladie qui se multiplient » ... Les informations sont jetées, sans contexte, sans fondement et ne visent qu’à porter atteinte à la société.
-L’article insinue ensuite que des partenariats demandés par des agents auraient été refusés alors que tous les partenariats du groupe sont ceux d’Havas Voyages et il n’a jamais été demandé aux agents de démarcher et négocier d’éventuels partenariats, ce type de mission étant tout simplement exclusivement dévolue au Directeur de Réseau.
-Il est par ailleurs insinué ouvertement, que la société n’aurait pas « les reins solides » au motif que « certains salariés ne sont pas toujours payés à temps ou pas payés du tout, pendant quelques mois ». En effet, selon l’article, cela constituerait un des « indicateurs [qui] laissent penser le contraire » sur le fait avancé que « des responsables martèlent que l’entreprise a les reins solides ».
Or la société tient à répondre à ces propos pour le moins calomnieux et diffamatoires qui ne reposent sur aucun fait réel. L’article généralise ouvertement les retards de paiement qui concernent uniquement les salariés en arrêt maladie en raison des délais anormalement longs, pris par l’organisme de prévoyance pour reverser le complément de salaire dû.
Les salaires ont toujours été payés à date par la société. Un représentant du personnel le confirme, « il s'agit de nos 4 collègues en longue maladie, mais ce ne sont pas les salaires mais la prévoyance qui prend le relais et des soucis de communications entre le courtier de nos complémentaires et prévoyance et l'assurance. Pourquoi attaquer les ressources humaines de Navitour ? ».
-Encore plus loin dans les attaques, l’article accuse personnellement la responsable des ressources humaines en insinuant qu’elle ne serait pas assidue et « ferait des déclarations inquiétantes devant les services de l’Etat » alors même que ces propos ne se fondent sur aucun fait matériel.
-L’article avance que « le directeur financier a jeté l'éponge », cela est selon le témoignage même du représentant du personnel « un mensonge de plus (l'auteur de cet article aurait-il dû téléphoner à l'intéressé), car notre directeur financier doit depuis plus de deux ans quitter la société mais a prolongé sa mission pour mettre en place l'extension du réseau Navitour) » ...
-enfin de manière encore mensongère, l’article indique à tort et de mauvaise foi certaine, que « Les salariés interrogés s’inquiètent de voir leurs outils de confiés à un financier plus intéressé par les chiffres que par l’humain ». L’article ne précise aucunement combien de salariés ont été interrogés, et rapporte des propos pour la majeure partie, d’anciens collaborateurs, nous permettant de douter très fortement de cette allégation qui n’a par ailleurs pas plus sens dans la mesure où il était prévu que le directeur financier n’ait qu’une mission temporaire.
L’article finit par insinuer à tort, en visant nommément Eric KUO, lui portant clairement atteinte, que ce dernier aurait « jeté son dévolu sur des agences TUI ». Or la société tient à rappeler qu’il y a là manifestement une méconnaissance évidente sur le très fort partenariat noué avec le Groupe TUI depuis de nombreuses années !!
En effet, l’article avance à tort que « au total 16 points de vente étaient visés, avec pour objectif de racheter à prix cassé les agences pour les revendre par la suite ». Or depuis 2012 la réalité est telle, que la société a construit un partenariat extrêmement solide avec ce groupe, c’est pourquoi sur près d’une dizaine d’années le groupe TUI a progressivement cédé une trentaine d’agences au groupe Sainte Claire sans qu’aucune d’entre elles n’ait fait l’objet de cession.
Cette année, le succès de cette collaboration a conduit le groupe TUI à céder 14 agences au groupe Sainte Claire en début d’année et il n’a bien entendu jamais été question de revente ! Nous tenions, par notre droit de réponse, à rétablir la vérité en répondant à chacun des points soulevés par l’article, voici chose faite.
Nous réitérons qu’il est fort dommage de constater une telle malveillance trop rapidement relayée par un article qui comportait autant d’erreurs et ou fausses informations nous concernant. Notre société et notre passion du tourisme passent évidemment par nos salariés et le dialogue social que nous privilégierons toujours.
Monsieur KUO Monsieur RAUX Société NAVITOUR
Or la société tient à répondre à ces propos pour le moins calomnieux et diffamatoires qui ne reposent sur aucun fait réel. L’article généralise ouvertement les retards de paiement qui concernent uniquement les salariés en arrêt maladie en raison des délais anormalement longs, pris par l’organisme de prévoyance pour reverser le complément de salaire dû.
Les salaires ont toujours été payés à date par la société. Un représentant du personnel le confirme, « il s'agit de nos 4 collègues en longue maladie, mais ce ne sont pas les salaires mais la prévoyance qui prend le relais et des soucis de communications entre le courtier de nos complémentaires et prévoyance et l'assurance. Pourquoi attaquer les ressources humaines de Navitour ? ».
-Encore plus loin dans les attaques, l’article accuse personnellement la responsable des ressources humaines en insinuant qu’elle ne serait pas assidue et « ferait des déclarations inquiétantes devant les services de l’Etat » alors même que ces propos ne se fondent sur aucun fait matériel.
-L’article avance que « le directeur financier a jeté l'éponge », cela est selon le témoignage même du représentant du personnel « un mensonge de plus (l'auteur de cet article aurait-il dû téléphoner à l'intéressé), car notre directeur financier doit depuis plus de deux ans quitter la société mais a prolongé sa mission pour mettre en place l'extension du réseau Navitour) » ...
-enfin de manière encore mensongère, l’article indique à tort et de mauvaise foi certaine, que « Les salariés interrogés s’inquiètent de voir leurs outils de confiés à un financier plus intéressé par les chiffres que par l’humain ». L’article ne précise aucunement combien de salariés ont été interrogés, et rapporte des propos pour la majeure partie, d’anciens collaborateurs, nous permettant de douter très fortement de cette allégation qui n’a par ailleurs pas plus sens dans la mesure où il était prévu que le directeur financier n’ait qu’une mission temporaire.
L’article finit par insinuer à tort, en visant nommément Eric KUO, lui portant clairement atteinte, que ce dernier aurait « jeté son dévolu sur des agences TUI ». Or la société tient à rappeler qu’il y a là manifestement une méconnaissance évidente sur le très fort partenariat noué avec le Groupe TUI depuis de nombreuses années !!
En effet, l’article avance à tort que « au total 16 points de vente étaient visés, avec pour objectif de racheter à prix cassé les agences pour les revendre par la suite ». Or depuis 2012 la réalité est telle, que la société a construit un partenariat extrêmement solide avec ce groupe, c’est pourquoi sur près d’une dizaine d’années le groupe TUI a progressivement cédé une trentaine d’agences au groupe Sainte Claire sans qu’aucune d’entre elles n’ait fait l’objet de cession.
Cette année, le succès de cette collaboration a conduit le groupe TUI à céder 14 agences au groupe Sainte Claire en début d’année et il n’a bien entendu jamais été question de revente ! Nous tenions, par notre droit de réponse, à rétablir la vérité en répondant à chacun des points soulevés par l’article, voici chose faite.
Nous réitérons qu’il est fort dommage de constater une telle malveillance trop rapidement relayée par un article qui comportait autant d’erreurs et ou fausses informations nous concernant. Notre société et notre passion du tourisme passent évidemment par nos salariés et le dialogue social que nous privilégierons toujours.
Monsieur KUO Monsieur RAUX Société NAVITOUR
NOTA BENE
N'en déplaise à M. KUO, TourMaG.com n'a aucune animosité ni envie de porter préjudice au Groupe Sainte-Claire. J'ai mené mon enquête en me basant sur des témoignages de différentes personnes, à l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise, en ayant soin de recouper les informations. J'ai par ailleurs tenté à maintes reprises, mais en vain, de joindre M. Kuo, qui n'a jamais daigné répondre, comme en témoigne la capture d'écran (n° de portable caché volontairement) ci-contre.
Dont acte.
Romain Pommier
Journaliste
Dont acte.
Romain Pommier
Journaliste