« J’ai été confrontée depuis 2 mois, à 3 surbook d’Air France en long courriers : 2 sur le Mexique, 1er le 8 avril, sur la Rep dom, et 1 sur Cuba et je me pose des questions. En ce qui concerne ce dernier, le personnel a clairement dit aux clients du T.O. : « vous avez des tarifs négociés sur AIR FRANCE et donc vous êtes les derniers sur la LISTE !".
Ceci signifie clairement, qu'il y a bien eu des consignes et que les clients T.O. sont bel et bien les premiers visés lors des surbook pratiqués par la cie. J’aimerais juste savoir si mon cas est isolé ou si d'autres agences ont subi les mêmes problèmes que moi. J’ai tendance à dire : si Air France ne veut pas de clients T.O., alors il ne faut pas passer d'accord avec eux !
Et je pense, d'autre part, que les dédommagements clients ne sont pas suffisants. En effet, si la Cie a vendu trop de billets, c’est dans les dernières classes tarifaires, donc les plus hautes. Elle gagne donc, beaucoup d'argent en faisant la culbute 2 fois sur le même siège, si j'ose dire !
Dans ce cas, 600 euros de dédommagement ce n'est donc suffisant. Il faudrait que le passager soit indemnisé sur la base du plus haut tarif en classe éco et là, les Compagnies y réfléchiraient peut-être à 2 fois.
Mes clients qui n'ont pu embarquer samedi dernier, ont passé leur samedi au Campanile de Roissy avec vue sur l'autoroute. Air France a promis de les embarquer le lendemain, mais sur Santo Domingo ! Autrement dit avec 5 heures de transfert à l'arrivée. Or, il faut quand même savoir que les places avaient été réservées en octobre dernier !
Air France est-elle victime de son succès ? Il est vrai que, après l'été noir de 2005 en matière de transport aérien, avec le miracle du vol de la Cie tricolore sur Toronto, les clients demandent Air France, payent pour Air France et… vive vive le surbook !
Je serais curieuse de connaître les explications de la compagnie sur sa gestion des vols.
Bien cordialement"
Laurence
Ceci signifie clairement, qu'il y a bien eu des consignes et que les clients T.O. sont bel et bien les premiers visés lors des surbook pratiqués par la cie. J’aimerais juste savoir si mon cas est isolé ou si d'autres agences ont subi les mêmes problèmes que moi. J’ai tendance à dire : si Air France ne veut pas de clients T.O., alors il ne faut pas passer d'accord avec eux !
Et je pense, d'autre part, que les dédommagements clients ne sont pas suffisants. En effet, si la Cie a vendu trop de billets, c’est dans les dernières classes tarifaires, donc les plus hautes. Elle gagne donc, beaucoup d'argent en faisant la culbute 2 fois sur le même siège, si j'ose dire !
Dans ce cas, 600 euros de dédommagement ce n'est donc suffisant. Il faudrait que le passager soit indemnisé sur la base du plus haut tarif en classe éco et là, les Compagnies y réfléchiraient peut-être à 2 fois.
Mes clients qui n'ont pu embarquer samedi dernier, ont passé leur samedi au Campanile de Roissy avec vue sur l'autoroute. Air France a promis de les embarquer le lendemain, mais sur Santo Domingo ! Autrement dit avec 5 heures de transfert à l'arrivée. Or, il faut quand même savoir que les places avaient été réservées en octobre dernier !
Air France est-elle victime de son succès ? Il est vrai que, après l'été noir de 2005 en matière de transport aérien, avec le miracle du vol de la Cie tricolore sur Toronto, les clients demandent Air France, payent pour Air France et… vive vive le surbook !
Je serais curieuse de connaître les explications de la compagnie sur sa gestion des vols.
Bien cordialement"
Laurence