L'EuroAirport de Bâle-Mulhouse : 7e aéroport français et 3e aéroport suisse © Nomoco Wikimedia Commons
Alors que Paris a vu débarquer les compagnies low cost long-courriers, de Level à French Bee en passant par Norwegian et Primera Air, le modèle fera-t-il des émules en région ?
Quatre anciens pilotes suisses veulent y croire et tentent ces derniers jours de convaincre des investisseurs pour lancer leur propre compagnie low cost long-courrier.
Leur but : rassembler au plus vite 100 millions de dollars pour lancer, d’ici un an, Swiss Skies, nouveau venu dans le monde des liaisons à bas coûts.
D’après la presse suisse, la compagnie souhaiterait être basée à l’aéroport international de Bâle-Mulhouse-Fribourg (Euroairport), 7e aéroport français en 2017 avec près de 8 millions de passagers transportés.
Disposant d’un double code IATA, français et suisse, l’aéroport, situé sur les communes alsaciennes de Saint-Louis et Blotzheim, pointe aussi au 3e rang des aéroports helvétiques.
Le nouveau transporteur vise avant tout les liaisons à bas prix en direction de l’Amérique du Nord. Leur business plan évoque également des vols vers les Caraïbes, le Brésil ou le Moyen-Orient.
D’après l’un des fondateurs, le réseau complet serait déjà prêt, mais ne sera pas dévoilé dans la presse par crainte de la concurrence. Seule certitude : Swiss Skies aimerait débuter ses opérations dès le second semestre 2019.
Quatre anciens pilotes suisses veulent y croire et tentent ces derniers jours de convaincre des investisseurs pour lancer leur propre compagnie low cost long-courrier.
Leur but : rassembler au plus vite 100 millions de dollars pour lancer, d’ici un an, Swiss Skies, nouveau venu dans le monde des liaisons à bas coûts.
D’après la presse suisse, la compagnie souhaiterait être basée à l’aéroport international de Bâle-Mulhouse-Fribourg (Euroairport), 7e aéroport français en 2017 avec près de 8 millions de passagers transportés.
Disposant d’un double code IATA, français et suisse, l’aéroport, situé sur les communes alsaciennes de Saint-Louis et Blotzheim, pointe aussi au 3e rang des aéroports helvétiques.
Le nouveau transporteur vise avant tout les liaisons à bas prix en direction de l’Amérique du Nord. Leur business plan évoque également des vols vers les Caraïbes, le Brésil ou le Moyen-Orient.
D’après l’un des fondateurs, le réseau complet serait déjà prêt, mais ne sera pas dévoilé dans la presse par crainte de la concurrence. Seule certitude : Swiss Skies aimerait débuter ses opérations dès le second semestre 2019.
40 avions et 5 000 emplois ?
D’après l’un des fondateurs, Alvaro Oliveira, qui s’exprime dans un communiqué, « de nombreux voyageurs sont fatigués de devoir prendre une correspondance dans de grands aéroports en Europe ou aux Etats-Unis.
Ils seront ravis de pouvoir profiter de vols internationaux depuis des aéroports moins surchargés et plus proches de chez eux, ce qui leur permettra de réduire sensiblement les coûts engagés tout en diminuant de 30% le temps de voyage ».
D’après lui, Swiss Skies deviendra « un véritable disrupteur au sein de l’industrie du transport aérien ».
Niveau matériel, la future compagnie compte s’équiper d’Airbus A321neoLR. Elle aimerait en avoir 16 à la fin de sa deuxième année d’exploitation, et 38 au bout de 4 ans.
Enfin, la future compagnie à bas coûts espère être rentable en l’espace de 3 ans avec un chiffre d’affaires de 1,5 milliard de dollars, et promet de créer 5 000 emplois.
Ils seront ravis de pouvoir profiter de vols internationaux depuis des aéroports moins surchargés et plus proches de chez eux, ce qui leur permettra de réduire sensiblement les coûts engagés tout en diminuant de 30% le temps de voyage ».
D’après lui, Swiss Skies deviendra « un véritable disrupteur au sein de l’industrie du transport aérien ».
Niveau matériel, la future compagnie compte s’équiper d’Airbus A321neoLR. Elle aimerait en avoir 16 à la fin de sa deuxième année d’exploitation, et 38 au bout de 4 ans.
Enfin, la future compagnie à bas coûts espère être rentable en l’espace de 3 ans avec un chiffre d’affaires de 1,5 milliard de dollars, et promet de créer 5 000 emplois.