"J'ai rencontré le Pdg de TBSA, Richard Bailey, qui m'a présenté un projet hôtelier quatre étoiles", a expliqué à Tahitipresse Paul Ropiteau.
"Rien ne sera fait dans l'immédiat m'a prévenu Richard Bailey, très occupé par ailleurs. Nous souhaiterions de notre côté que cela se concrétise le plus rapidement possible", a-t-il poursuivi.
Maupiti ne dispose aujourd'hui d'aucune structure hôtelière, "du fait des terres en indivis. Il est difficile d'obtenir le consensus de l'ensemble des propriétaires pour un même site", a précisé Paul Ropiteau.
Un projet cautionné par la "grande majorité"
"Cependant, nous avons trouvé un terrain, à proximité de la pension 'Jeannine', sur le motu de l'aéroport, ou les co-propriétaires seraient d'accord pour laisser leurs parcelles pour un projet hôtelier", a-t-il ajouté.
Selon le maire de l'île, la "grande majorité" de la population cautionne ce dessein.
"Nous voulons retenir nos enfants sur Maupiti. Un hôtel serait la meilleure des choses pour l'emploi", a indiqué Paul Ropiteau.
"Nous restons ouvert à tout autre projet. Nous étudierons toutes les propositions", a-t-il poursuivi. Une douzaine de pensions de famille est aujourd'hui en activité sur l'île.
"Rien ne sera fait dans l'immédiat m'a prévenu Richard Bailey, très occupé par ailleurs. Nous souhaiterions de notre côté que cela se concrétise le plus rapidement possible", a-t-il poursuivi.
Maupiti ne dispose aujourd'hui d'aucune structure hôtelière, "du fait des terres en indivis. Il est difficile d'obtenir le consensus de l'ensemble des propriétaires pour un même site", a précisé Paul Ropiteau.
Un projet cautionné par la "grande majorité"
"Cependant, nous avons trouvé un terrain, à proximité de la pension 'Jeannine', sur le motu de l'aéroport, ou les co-propriétaires seraient d'accord pour laisser leurs parcelles pour un projet hôtelier", a-t-il ajouté.
Selon le maire de l'île, la "grande majorité" de la population cautionne ce dessein.
"Nous voulons retenir nos enfants sur Maupiti. Un hôtel serait la meilleure des choses pour l'emploi", a indiqué Paul Ropiteau.
"Nous restons ouvert à tout autre projet. Nous étudierons toutes les propositions", a-t-il poursuivi. Une douzaine de pensions de famille est aujourd'hui en activité sur l'île.