« Pour un tourisme à impact positif à Paris » rédigée par Jean-François Martins (adjoint au tourisme de la Maire de Paris) et Jean-François Rial (PDG de « Voyageurs du Monde ») - DR
La France est ou serait la championne mondiale du tourisme, mais notre pays fait aussi face à une gronde d'une partie de la population contre ces visiteurs parfois trop envahissants.
Alors que le Grand Paris se met en ordre de marche pour accueillir le monde en 2024 dans le cadre des Jeux Olympiques, le think-thank Terra Nova vient de publier une note pour repenser le tourisme dans la Capitale.
Baptisé « Pour un tourisme à impact positif à Paris » et rédigé par Jean-François Martins (adjoint au tourisme de la Mairie de Paris) et Jean-François Rial (PDG de « Voyageurs du Monde »), le document de 59 pages revient en profondeur sur quelques propositions et constats.
Alors que le Grand Paris se met en ordre de marche pour accueillir le monde en 2024 dans le cadre des Jeux Olympiques, le think-thank Terra Nova vient de publier une note pour repenser le tourisme dans la Capitale.
Baptisé « Pour un tourisme à impact positif à Paris » et rédigé par Jean-François Martins (adjoint au tourisme de la Mairie de Paris) et Jean-François Rial (PDG de « Voyageurs du Monde »), le document de 59 pages revient en profondeur sur quelques propositions et constats.
Les propositions ?
Parmi les solutions pour un tourisme positif et durable, le document recommande d'interdire le stationnement des bus touristiques dans Paris, limiter fortement le développement des Airbnb’s et des hôtels, développer le transport fluvial sur la Seine, mise en place d’une contribution Planète Paris qui absorbera les émissions de co2 des touristes étrangers venant en avion à Paris.
Si dans les conclusions, il est admis que la Capitale française ne connaît, pas encore le phénomène de surtourisme, il convient toutefois de gommer les effets néfastes de l'industrie sous peine d'un revirement.
Car le rejet du tourisme intervient quand les externalités négatives de cette activité sont supérieures aux bénéfices pour les habitants.
Pour lire le rapport « Pour un tourisme à impact positif à Paris », cliquez ici.
Si dans les conclusions, il est admis que la Capitale française ne connaît, pas encore le phénomène de surtourisme, il convient toutefois de gommer les effets néfastes de l'industrie sous peine d'un revirement.
Car le rejet du tourisme intervient quand les externalités négatives de cette activité sont supérieures aux bénéfices pour les habitants.
Pour lire le rapport « Pour un tourisme à impact positif à Paris », cliquez ici.