Le centre de thalasso de Douarnenez a été dévasté par une grosse vague le 2 février 2014 - DR : Thalasso.com
Inondée à la suite de la tempête qui a frappé le Finistère le 2 février 2014, la thalasso de Douarnenez, du groupe Thalasso.com, a subi de très importants dégâts.
Des dommages dont le préjudice financier total est évalué entre 1,4 et 1,5 million d'euros. Un montant qui prend en compte les dégâts matériels, la perte d'exploitation et le chômage technique du personnel.
"Nous avons pour objectif de rouvrir l'établissement le 11 avril 2014", explique Christelle Le Ho, Directrice Marketing.
Les équipes du centre sont actuellement très occupées. "Nous nous afférons actuellement sur les demandes et les devis, en accord avec nos assureurs", poursuit-elle.
Des dommages dont le préjudice financier total est évalué entre 1,4 et 1,5 million d'euros. Un montant qui prend en compte les dégâts matériels, la perte d'exploitation et le chômage technique du personnel.
"Nous avons pour objectif de rouvrir l'établissement le 11 avril 2014", explique Christelle Le Ho, Directrice Marketing.
Les équipes du centre sont actuellement très occupées. "Nous nous afférons actuellement sur les demandes et les devis, en accord avec nos assureurs", poursuit-elle.
Déménager les locaux techniques
Première opération à accomplir : remplacer les locaux techniques, "morts à la suite de la tempête", précise la Directrice Marketing, et les installer dans les étages pour éviter des les détruire à nouveau.
La direction du centre envisage par ailleurs d'installer un système de paravents sur les baies vitrées afin de les protéger. Le dispositif pourrait être activé en cas d'alerte à la tempête ou aux forts vents.
Mais avant tout cela, "nous attendons toujours l'arrêté de catastrophe naturelle, indispensable pour débloquer les remboursements par les assurances", prévient Christelle Le Ho.
A ce titre, le centre a reçu la visite du Préfet le 7 février 2014.
La direction du centre envisage par ailleurs d'installer un système de paravents sur les baies vitrées afin de les protéger. Le dispositif pourrait être activé en cas d'alerte à la tempête ou aux forts vents.
Mais avant tout cela, "nous attendons toujours l'arrêté de catastrophe naturelle, indispensable pour débloquer les remboursements par les assurances", prévient Christelle Le Ho.
A ce titre, le centre a reçu la visite du Préfet le 7 février 2014.