Les deux escales, Paris et Nice, rescapées de la réévaluation du réseau français d’Alitalia vont s’enrichir d’une troisième adresse : Toulouse, où la compagnie italienne prévoit d’opérer six vols par semaine à partir du 27 mars.
Une opération qui sera en concurrence directe avec la low cost Easyjet mais qui aura l’appui de la compagnie alliée Air France.
Alitalia aura son propre chef d’escale mais gérera sa politique commerciale locale depuis Paris avec des blitz réguliers dans la région de Toulouse.
« Nous avons choisi Toulouse car l’escale a un potentiel intéressant, notamment pour la clientèle Affaires mais ce n’est pas la seule ouverture que nous ferons en province », prévoit Lorenzo Donato, le directeur d’Alitalia en France.
Une opération qui sera en concurrence directe avec la low cost Easyjet mais qui aura l’appui de la compagnie alliée Air France.
Alitalia aura son propre chef d’escale mais gérera sa politique commerciale locale depuis Paris avec des blitz réguliers dans la région de Toulouse.
« Nous avons choisi Toulouse car l’escale a un potentiel intéressant, notamment pour la clientèle Affaires mais ce n’est pas la seule ouverture que nous ferons en province », prévoit Lorenzo Donato, le directeur d’Alitalia en France.
Quatre nouveaux A 330
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Toulouse, c’est également Airbus dont Alitalia est cliente.
Quatre nouveaux A 330 lui seront d’ailleurs livrés cette année qui entreront en exploitation sur les deux nouvelles lignes longs courriers qui s’ajoutent au hub de Rome : Rio de Janeiro et Pékin dont les ouvertures sont prévues début juin.
Pour le marché français, la compagnie réitérera son expérience de ligne saisonnière directe au départ de Paris.
Après la Sardaigne avec Alghero, c’est une destination du sud de l’Italie qui devrait être choisie pour cet été.
Quatre nouveaux A 330 lui seront d’ailleurs livrés cette année qui entreront en exploitation sur les deux nouvelles lignes longs courriers qui s’ajoutent au hub de Rome : Rio de Janeiro et Pékin dont les ouvertures sont prévues début juin.
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