Près du site Airbus et des pistes de l’aéroport Toulouse Blagnac, le musée Aéroscopia est le témoin de l’exceptionnel patrimoine aéronautique toulousain, d’hier à demain - DR : J.-F.R.
Où peut-on mieux qu’à Toulouse, berceau de l’aéronautique française, présenter les fleurons de la production hexagonale ?
Près du site Airbus et des pistes de l’aéroport Toulouse Blagnac, le musée Aéroscopia est le témoin de l’exceptionnel patrimoine toulousain, d’hier à demain.
Depuis le premier « bond » de Clément Ader jusqu’à l’aventure de l’A380, sur 15 000 m² d’expositions, il présente une collection rare d’aéronefs, de la Caravelle au Concorde, de l’Airbus 300B au Super Guppy, l’avion qui a transporté les plus grosses pièces d’Airbus d’Hambourg à Toulouse.
Aéronefs militaires, jets d’affaires ou de loisirs… plus de 25 appareils sont exposés. Pour certains, on peut même monter à bord.
Point fort de la visite, une fresque de 58 m retrace l’histoire de la filière aéronautique toulousaine, de 1900 à nos jours. A découvrir aussi, des maquettes, une collection de fonds photographiques et six espaces thématiques, ludiques et interactifs (« métiers aéro », « assembler un avion »…).
Il est possible de coupler la visite du musée avec celle de la chaîne de montage de l’A380 et des usines Airbus. Il faudrait être fou pour s’en priver !
Près du site Airbus et des pistes de l’aéroport Toulouse Blagnac, le musée Aéroscopia est le témoin de l’exceptionnel patrimoine toulousain, d’hier à demain.
Depuis le premier « bond » de Clément Ader jusqu’à l’aventure de l’A380, sur 15 000 m² d’expositions, il présente une collection rare d’aéronefs, de la Caravelle au Concorde, de l’Airbus 300B au Super Guppy, l’avion qui a transporté les plus grosses pièces d’Airbus d’Hambourg à Toulouse.
Aéronefs militaires, jets d’affaires ou de loisirs… plus de 25 appareils sont exposés. Pour certains, on peut même monter à bord.
Point fort de la visite, une fresque de 58 m retrace l’histoire de la filière aéronautique toulousaine, de 1900 à nos jours. A découvrir aussi, des maquettes, une collection de fonds photographiques et six espaces thématiques, ludiques et interactifs (« métiers aéro », « assembler un avion »…).
Il est possible de coupler la visite du musée avec celle de la chaîne de montage de l’A380 et des usines Airbus. Il faudrait être fou pour s’en priver !
Épicentre de la ville opulente
Envie d’un hébergement cocooning lors de votre séjour toulousain ? Cap sur la Cour des Consuls.
A cinq minutes à pied de la place du Capitole, ce boutique Hôtel & Spa McGallery by Sofitel offre depuis 2015 le confort urbain élégant et cinq étoiles qui manquait à la ville.
Le cadre ? Imaginez un hôtel particulier familial du 18e s. niché au cœur du Vieux Toulouse, quartier des Carmes, près de la Garonne.
Voyez les éléments d’architecture classés et le bel et large escalier central : vous voilà à l’épicentre de la ville opulente, quand le commerce fit la fortune de grandes familles toulousaines.
Depuis trois ans, ce lieu du bon goût est devenu un hôtel de luxe.
32 chambres et suites à l’esthétique sobre et cosy se partagent les étages de la demeure. Toutes sont lumineuses, dotées de grands volumes et de salles de bains extra-large, dans des tons majoritairement blancs et noirs. Marbre, cuir, bois… les matériaux sont nobles, comme l’histoire de la maison.
Pour la table, Le Cénacle, adresse prestigieuse dont la carte est signée par le chef Jérôme Ryon, mélange tradition et subtilité. En été, elle fait place à Côté Cour, une cuisine bistronomique « allégée » servie en terrasse. Le Champagne Bar, lui, se veut le rendez-vous des cadres et des hommes d’affaires, face à la cour intérieure de l’hôtel.
L’esthétique urbaine est complétée par un Spa « Graine de Pastel » (marque toulousaine), une salle de fitness, un executive lounge, une bibliothèque et des espaces de réunion. So Toulouse, what else ?
A cinq minutes à pied de la place du Capitole, ce boutique Hôtel & Spa McGallery by Sofitel offre depuis 2015 le confort urbain élégant et cinq étoiles qui manquait à la ville.
Le cadre ? Imaginez un hôtel particulier familial du 18e s. niché au cœur du Vieux Toulouse, quartier des Carmes, près de la Garonne.
Voyez les éléments d’architecture classés et le bel et large escalier central : vous voilà à l’épicentre de la ville opulente, quand le commerce fit la fortune de grandes familles toulousaines.
Depuis trois ans, ce lieu du bon goût est devenu un hôtel de luxe.
32 chambres et suites à l’esthétique sobre et cosy se partagent les étages de la demeure. Toutes sont lumineuses, dotées de grands volumes et de salles de bains extra-large, dans des tons majoritairement blancs et noirs. Marbre, cuir, bois… les matériaux sont nobles, comme l’histoire de la maison.
Pour la table, Le Cénacle, adresse prestigieuse dont la carte est signée par le chef Jérôme Ryon, mélange tradition et subtilité. En été, elle fait place à Côté Cour, une cuisine bistronomique « allégée » servie en terrasse. Le Champagne Bar, lui, se veut le rendez-vous des cadres et des hommes d’affaires, face à la cour intérieure de l’hôtel.
L’esthétique urbaine est complétée par un Spa « Graine de Pastel » (marque toulousaine), une salle de fitness, un executive lounge, une bibliothèque et des espaces de réunion. So Toulouse, what else ?
Une étoile Michelin
What else… ? Et si l’on mangeait dans un restaurant en vogue ?
A l’Aparté, 10 minutes au nord-est de la Ville Rose, commune de Montrabé, le chef Jérémy Morin poursuit avec talent une belle aventure gastronomique., avec déjà une étoile Michelin, décrochée en 2017.
Avec ce Normand enraciné de longue date à Toulouse, il ne fallait pas s’attendre à moins. Passé chez Yannick Alléno, le chef a obtenu sa première étoile en 2008 et enchanté la clientèle locale lorsqu’il était aux commandes du Métropolitan.
Intimiste, joliment décoré avec briques apparentes et mobilier contemporain, L’Aparté revisite les codes d’une cuisine inventive et aboutie, fondée sur des produits de qualité et les circuits courts.
Des formules légères au déjeuner, d’autres en association mets-vins, des menus quatre plats, une terrasse d’été et un salon privatisable… l’escapade hors la ville se justifie sans réserve. So, bis repetita, Toulouse, what else !?
A l’Aparté, 10 minutes au nord-est de la Ville Rose, commune de Montrabé, le chef Jérémy Morin poursuit avec talent une belle aventure gastronomique., avec déjà une étoile Michelin, décrochée en 2017.
Avec ce Normand enraciné de longue date à Toulouse, il ne fallait pas s’attendre à moins. Passé chez Yannick Alléno, le chef a obtenu sa première étoile en 2008 et enchanté la clientèle locale lorsqu’il était aux commandes du Métropolitan.
Intimiste, joliment décoré avec briques apparentes et mobilier contemporain, L’Aparté revisite les codes d’une cuisine inventive et aboutie, fondée sur des produits de qualité et les circuits courts.
Des formules légères au déjeuner, d’autres en association mets-vins, des menus quatre plats, une terrasse d’été et un salon privatisable… l’escapade hors la ville se justifie sans réserve. So, bis repetita, Toulouse, what else !?
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