Dans l'édition de Tourmag de lundi 15 novembre 2010, un article intitulé « Tourisme durable : les pros n’y croient pas », nous apprenons que sur 244 sondés sur le tourisme responsable :
-27 ,46% soit 67 professionnels pensent que la « chose » ( ?) est inévitable
-26 ,64% soit 65 professionnels estiment « qu’il s’agit d’un effet de mode »
-29 ,1% soit 70 professionnels déclarent que « le client s’en fout »
-8,2% soit 20 professionnels constatent que « les clients demandent ce type de produit »
-6,15% soit 15 professionnels reconnaissent « qu’ils n’ont pas en magasin ce qu’il faut »
-2,45% soit 6 professionnels se sont abstenus.
Pour les nombreux fervents partisans du tourisme responsable ces chiffres bruts donnent envie de se mettre la tête dans le four et d’allumer le gaz.
Mais après une seconde lecture l’espoir revient parce que le résultat d’un sondage est à l’action ce que le rêve est à la réalité : c’est à dire un danger si on le prend comme modèle pour engager des stratégies d’avenir.
Ce sondage, comme tous ceux réalisés dans d’autres domaines, outre le mérite d’exister représente avant tout une alarme, ce qui est le cas pour notre profession car les 27 ,46% qui pensent que la « chose » est inévitable » ont raison.
-27 ,46% soit 67 professionnels pensent que la « chose » ( ?) est inévitable
-26 ,64% soit 65 professionnels estiment « qu’il s’agit d’un effet de mode »
-29 ,1% soit 70 professionnels déclarent que « le client s’en fout »
-8,2% soit 20 professionnels constatent que « les clients demandent ce type de produit »
-6,15% soit 15 professionnels reconnaissent « qu’ils n’ont pas en magasin ce qu’il faut »
-2,45% soit 6 professionnels se sont abstenus.
Pour les nombreux fervents partisans du tourisme responsable ces chiffres bruts donnent envie de se mettre la tête dans le four et d’allumer le gaz.
Mais après une seconde lecture l’espoir revient parce que le résultat d’un sondage est à l’action ce que le rêve est à la réalité : c’est à dire un danger si on le prend comme modèle pour engager des stratégies d’avenir.
Ce sondage, comme tous ceux réalisés dans d’autres domaines, outre le mérite d’exister représente avant tout une alarme, ce qui est le cas pour notre profession car les 27 ,46% qui pensent que la « chose » est inévitable » ont raison.
SOMMAIRE
Page 2 - Attention de ne pas recommencer le syndrome du Net...
Page 3 - Quand la demande de masse arrivera nous serons démunis
Page 4 - Le challenge pèse sur toute notre activité
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Page 3 - Quand la demande de masse arrivera nous serons démunis
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