Quand la demande de masse arrivera nous serons démunis
J’ai du mal à croire que Renault, Leclerc ou Total, pour ne citer qu’eux, soient uniquement des entreprises militantes écologiques !
Comment un consommateur dont le quotidien est conditionné dans tous les domaines : voiture, alimentation, construction, par les bienfaits du développement durable peut-il par miracle échapper à ce conditionnement quand il s’agit de tourisme ?
Il n’y échappera pas. Et quand la demande qui se fera obligatoirement et progressivement pour devenir un marché de masse arrivera, nous serons totalement démunis car nous aurons laissé à d’autres la voie royale pour créer ce nouveau business.
Il existe déjà un tourisme responsable dit de « niche », tel que le pratiquent les opérateurs de randonnée ou les associations de tourisme solidaire et équitable qui ont su créer des formules de voyage plus proche des hommes et de la nature.
Mais le tourisme responsable est surtout l’affaire des opérateurs et distributeurs dits de « masse » que nous sommes.
Car si nous avons fait quelques dégâts écologiques et sociétaux sans le savoir c’est à cause des volumes importants de clients que nous avons traités. Notre enjeu est de démontrer que nous savons aussi faire du tourisme de masse autrement.
Nous avons grâce au tourisme responsable une véritable opportunité de reconquérir une clientèle en transformant notre message et nos productions comme l’ont déjà fait d’autres secteurs d’activités.
D’autant plus que nous avons la chance de travailler deux matières premières qui sont la base même du développement durable : les hommes et leurs environnements et ce que demanderont nos clients c’est justement la préservation de l’authenticité de ces deux pierres angulaires de nos métiers.
Comment un consommateur dont le quotidien est conditionné dans tous les domaines : voiture, alimentation, construction, par les bienfaits du développement durable peut-il par miracle échapper à ce conditionnement quand il s’agit de tourisme ?
Il n’y échappera pas. Et quand la demande qui se fera obligatoirement et progressivement pour devenir un marché de masse arrivera, nous serons totalement démunis car nous aurons laissé à d’autres la voie royale pour créer ce nouveau business.
Il existe déjà un tourisme responsable dit de « niche », tel que le pratiquent les opérateurs de randonnée ou les associations de tourisme solidaire et équitable qui ont su créer des formules de voyage plus proche des hommes et de la nature.
Mais le tourisme responsable est surtout l’affaire des opérateurs et distributeurs dits de « masse » que nous sommes.
Car si nous avons fait quelques dégâts écologiques et sociétaux sans le savoir c’est à cause des volumes importants de clients que nous avons traités. Notre enjeu est de démontrer que nous savons aussi faire du tourisme de masse autrement.
Nous avons grâce au tourisme responsable une véritable opportunité de reconquérir une clientèle en transformant notre message et nos productions comme l’ont déjà fait d’autres secteurs d’activités.
D’autant plus que nous avons la chance de travailler deux matières premières qui sont la base même du développement durable : les hommes et leurs environnements et ce que demanderont nos clients c’est justement la préservation de l’authenticité de ces deux pierres angulaires de nos métiers.