Selon Deloitte et In Extenso THR, la tendance à la baisse de l'hôtellerie en France se poursuit en 2013. Un recul qualifié par le cabinet d'étude de "lente érosion".
Depuis deux ans, l’occupation des hôtels est en baisse (1%).
Paris reste l'exception, toutefois, les progressions de chiffre d’affaires sont "modestes" et les résultats restent "assurément en-deçà de son potentiel."
L’hôtellerie de luxe affiche de son côté, une hausse de près de 5% de son chiffre d’affaires hébergement. Marseille tire également son épingle du jeu, boostée par son statut de capitale européenne de la culture.
L'étude fait apparaître que le "premier défi à relever pour que la France fasse du secteur du tourisme dans son ensemble un atout est celui de l’accueil : la stratégie touristique doit intégrer toutes les problématiques de sécurité, santé, environnement, etc. "
D'autres défis sont à relever tels que ceux de l’investissement et de la saisonnalité.
"La concurrence internationale, les attentes des consommateurs partout conduisent à plus d’investissements (...) Cet investissement est matériel et immatériel (formation aux langues étrangères).", indique Deloitte In Extenso THR
Le cabinet ajoute qu'il faut également travailler l'avant et l'après saison, "avec par exemple des offres dédiées aux retraités ou encore aux entreprises."
Depuis deux ans, l’occupation des hôtels est en baisse (1%).
Paris reste l'exception, toutefois, les progressions de chiffre d’affaires sont "modestes" et les résultats restent "assurément en-deçà de son potentiel."
L’hôtellerie de luxe affiche de son côté, une hausse de près de 5% de son chiffre d’affaires hébergement. Marseille tire également son épingle du jeu, boostée par son statut de capitale européenne de la culture.
L'étude fait apparaître que le "premier défi à relever pour que la France fasse du secteur du tourisme dans son ensemble un atout est celui de l’accueil : la stratégie touristique doit intégrer toutes les problématiques de sécurité, santé, environnement, etc. "
D'autres défis sont à relever tels que ceux de l’investissement et de la saisonnalité.
"La concurrence internationale, les attentes des consommateurs partout conduisent à plus d’investissements (...) Cet investissement est matériel et immatériel (formation aux langues étrangères).", indique Deloitte In Extenso THR
Le cabinet ajoute qu'il faut également travailler l'avant et l'après saison, "avec par exemple des offres dédiées aux retraités ou encore aux entreprises."