Pour l'heure le président des USA a botté en touche et remet la décision aux experts scientifiques - Depositphotos
Depuis que les agences ont rouvert, mais surtout que les restrictions s'allègent aussi rapidement que la courbe des contaminations au coronavirus décroit, toute l'industrie touristique n'attend qu'une chose : la réouverture des frontières entre les USA et la France.
Une telle décision donnera alors réellement le coup d'envoi de la reconquête de la clientèle par les professionnels du tourisme.
Malgré les nombreux signaux et la lourdeur européenne à monter patte planche aux autorités des Etats-Unis, pour l'heure la Maison-Blanche se montre inflexible.
Pourtant Thierry Breton en a remis une couche, ce lundi 21 juin 2021 lors du Paris Air Forum "j’ai bon espoir que nous retrouverons la réciprocité dès le mois de juillet."
Une affirmation qui fait suite à la visite d'un Joe Biden ayant réaffirmé sa volonté de resserrer les liens entre les USA et le Vieux Continent.
"L'Amérique est de retour (en Europe, ndlr). J'ai un point de vue très différent de celui de mon prédécesseur," a déclaré un président américain, voulant enterrer la hache de guerre avec les Européens.
Si la question figure dorénavant en haut de la pile des sujets à traiter outre-Atlantique, il va sans dire que l'Europe attend de pied ferme la réciprocité permettant à ses citoyens de se rendre dans le pays de l'Oncle Sam.
Une telle décision donnera alors réellement le coup d'envoi de la reconquête de la clientèle par les professionnels du tourisme.
Malgré les nombreux signaux et la lourdeur européenne à monter patte planche aux autorités des Etats-Unis, pour l'heure la Maison-Blanche se montre inflexible.
Pourtant Thierry Breton en a remis une couche, ce lundi 21 juin 2021 lors du Paris Air Forum "j’ai bon espoir que nous retrouverons la réciprocité dès le mois de juillet."
Une affirmation qui fait suite à la visite d'un Joe Biden ayant réaffirmé sa volonté de resserrer les liens entre les USA et le Vieux Continent.
"L'Amérique est de retour (en Europe, ndlr). J'ai un point de vue très différent de celui de mon prédécesseur," a déclaré un président américain, voulant enterrer la hache de guerre avec les Européens.
Si la question figure dorénavant en haut de la pile des sujets à traiter outre-Atlantique, il va sans dire que l'Europe attend de pied ferme la réciprocité permettant à ses citoyens de se rendre dans le pays de l'Oncle Sam.
USA : "des décisions d'une manière qui donne la priorité à la santé et à la sécurité"
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"Il va sans dire que nous attendrions la même chose des pays partenaires en dehors de l'UE pour les citoyens de l'UE voyageant dans ces pays", a affirmé le porte-parole de la Commission européenne Adalbert Jahnz à la radio américaine National Public Radio (NPR).
Malheureusement les derniers échos en provenance de la Maison-Blanche ne laissent pas indiquer que le feu vert est pour maintenant. D'autant plus qu'aux USA, il suffit de feuilleter la presse pour comprendre que l'Europe inquiète de nouveau en raison de la propagation du variant Delta.
Cette dernière souche du coronavirus sème le trouble non seulement au Royaume-Uni, mais aussi au Portugal, où Lisbonne a été mis sous cloche (nationale) pendant 48 heures.
Dans ces conditions et malgré une amélioration générale de la situation sanitaire en Europe, le porte-parole du département d'État américain a été plutôt évasif quant à la reprise des échanges entre les deux rives de l'Atlantique.
"Nous attendons avec impatience la reprise des voyages transatlantiques dès que la science le permettra, et c'est vraiment la clé," a déclaré Ned Price, lundi 21 juin 2021.
Alors qu'un groupe de travail a été spécialement constitué sur cette question, dont les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), pour le moment il n'est pas possible de donner de planning, ni de date.
"Le Département d'État est également engagé dans ce groupe de travail, mais je ne suis pas en mesure d'émettre un calendrier précis uniquement car cela dépendra en grande partie du déroulement de l'épidémiologie, de la réponse au virus autour le monde, les évolutions y compris l'impact et la présence de variants.
Le groupe de travail examinera donc de près tous les facteurs.
Il prendra, encore une fois, ces décisions d'une manière qui donne la priorité à la santé et à la sécurité non seulement des Américains, mais de tous les voyageurs, y compris dans ce cas les voyageurs européens" a expliqué le porte-parole du département d'État américain.
Il faut alors prendre son mal en patience et attendre que la pression sanitaire redescende partout en Europe, à mesure que la vaccination elle s'améliore...
Malheureusement les derniers échos en provenance de la Maison-Blanche ne laissent pas indiquer que le feu vert est pour maintenant. D'autant plus qu'aux USA, il suffit de feuilleter la presse pour comprendre que l'Europe inquiète de nouveau en raison de la propagation du variant Delta.
Cette dernière souche du coronavirus sème le trouble non seulement au Royaume-Uni, mais aussi au Portugal, où Lisbonne a été mis sous cloche (nationale) pendant 48 heures.
Dans ces conditions et malgré une amélioration générale de la situation sanitaire en Europe, le porte-parole du département d'État américain a été plutôt évasif quant à la reprise des échanges entre les deux rives de l'Atlantique.
"Nous attendons avec impatience la reprise des voyages transatlantiques dès que la science le permettra, et c'est vraiment la clé," a déclaré Ned Price, lundi 21 juin 2021.
Alors qu'un groupe de travail a été spécialement constitué sur cette question, dont les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), pour le moment il n'est pas possible de donner de planning, ni de date.
"Le Département d'État est également engagé dans ce groupe de travail, mais je ne suis pas en mesure d'émettre un calendrier précis uniquement car cela dépendra en grande partie du déroulement de l'épidémiologie, de la réponse au virus autour le monde, les évolutions y compris l'impact et la présence de variants.
Le groupe de travail examinera donc de près tous les facteurs.
Il prendra, encore une fois, ces décisions d'une manière qui donne la priorité à la santé et à la sécurité non seulement des Américains, mais de tous les voyageurs, y compris dans ce cas les voyageurs européens" a expliqué le porte-parole du département d'État américain.
Il faut alors prendre son mal en patience et attendre que la pression sanitaire redescende partout en Europe, à mesure que la vaccination elle s'améliore...